Christmas Magic is here !

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Christmas Magic is here !
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Summary
Il était là, attendant simplement qu’un client l’achète, espérant trouver une âme charitable pour qu’il puisse faire son office : Offrir un chocolat par jour pendant vingt-quatre jours pour attendre Noël. Un peu de bonheur dans cette période d’attente fébrile. Un certain John Watson le sauva en le glissant dans son panier de courses. Le Calendrier fut heureux. John, lui, ignorait qu’il trouverait bien plus que de simples chocolats dans ce calendrier de l’Avent.
Note
Ceci est un cadeau de Noël pour Maeglin Surion. J'espère que cela lui plaira, et à vous aussi. Comme c'est le principe du calendrier de l'Avent, il y aura un chapitre posté chaque jour jusqu'à Noël (enfin si tout va bien, on est jamais à l'abri d'un accident hein.). Bonne lecture. Lili
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Où Sherlock réalise un rêve et où John se découvre le pied marin.

Le soleil éclaira timidement la chambre de Sherlock, peinant à traverser les lourds nuages gris qui obstruaient le ciel de Londres en cette fin de Décembre. Bien blottis sous la couette, John et Sherlock émergèrent lentement de leur sommeil, profitant de la chaleur de l’autre avant de devoir affronter l’air plus frais de la chambre. John profita que Sherlock ne soit pas encore sur le pied de guerre pour le câliner un peu, se surprenant lui même dans ce besoin de serrer le détective contre lui.

Se faisant il sentit parfaitement une dureté contre sa cuisse. Une dureté qu’il identifia rapidement comme étant la célébrissime érection matinale, tout à fait normale et physiologique chez un homme bien portant et en pleine possession de ses moyens. Il avait d’ailleurs la même. L’idée que Sherlock puisse avoir des réactions corporelles aussi bassement humaines l’amusèrent beaucoup, le faisant même ricaner discrètement.

Mais pas assez discrètement sûrement.
- Sérieusement John ? grogna Sherlock. Ce genre de chose ne fait rire que les gamins normalement !
- Certes, admit John. Mais c’est toi... C’est ça qui est drôle.
- Je ne vois pas en quoi, marmonna Sherlock. Et arrête de frotter ta cuisse comme ça, sinon je te saute dessus.

John éclata franchement de rire cette fois, puis se penchant vers son compagnon il l’embrassa doucement avant de répondre :
- Pas que je sois totalement opposé à l’idée, mais on a une journée chargée en perspective, donc on sort du lit... maintenant !
Puis joignant le geste à la parole, John poussa brusquement Sherlock hors du lit, ce dernier tombant avec un cri de surprise ce qui ne fit qu’augmenter l’hilarité de John.

Sherlock se redressa, ses yeux gris apparaissant au dessus du matelas. Puis il gronda :
- Cours !
John ne se le fit pas dire deux fois et quitta le lit, puis la chambre en courant et alla s’enfermer dans la salle de bain tout en riant. Sherlock le suivit sans se presser, ne masquant même pas le sourire ourlant ses lèvres.

Une fois sous la douche, John se calma un peu, pouffant encore à la tête de Sherlock tombant du lit. Il soupira d’aise sous l’eau bien chaude, mais poussa un hurlement peu viril quand l’eau devint soudainement glaciale.
- Oh le con ! Rugit-il comprenant que Sherlock avait dû ouvrir à fond le robinet d’eau chaude de la cuisine. SHERLOCK !

Le rire du détective lui parvint même à travers la porte et John ne put que secouer la tête, amusé malgré lui.
- La vengeance est un plat qui se mange froid, plaisanta Sherlock de l’autre côté de la porte.
- Et je vais attraper une pneumonie, plaida John.
Un silence suivit, puis l’eau se réchauffa et John pu finir sa douche, non sans remercier Sherlock au passage.

En sortant de la salle de bain, John trouva Sherlock habillé de pied en cap, une tasse de thé fumante à la main et une autre l’attendant sagement sur la table.
- Tu n’es donc pas totalement opposé à l’idée ? demanda Sherlock l’air de rien.
John haussa un sourcil surpris, bu une gorgée de thé et répliqua :
- Non, il me semble même évident qu’on en arrivera là un jour ou l’autre. J’avoue en avoir envie. Mais j’ai aussi envie qu’on prenne notre temps.

Sherlock sembla soupeser le pour et le contre avant d’approuver les dires de John. Ils finirent leur thé puis John se saisit du calendrier et ouvrit la case vingt-et-une. Un chocolat en forme de cadeau y reposait paisiblement, attendant qu’une âme charitable veuille bien le manger. Sherlock contourna la table et vint enlacer John, déposant un furtif baiser dans son cou. John rit doucement et sortit le chocolat de sa case. Le tourbillon les emporta vers de nouvelles aventures.

Ils atterrirent sur le pont d’un bateau et furent immédiatement cernés par une troupes de marins aux airs peu engageants. Instinctivement John leva les mains en l’air. D’un coup d’œil il identifia ceux qui les entouraient ainsi, les menaçant d’armes diverses et variées : Des pirates ! Une voix retentit, faisant s’écarter les autres.
- Et bien, et bien ! Qu’avons nous là !
- Pourparler ! S’exclama Sherlock d’une voix forte.

Les moues déçues des pirates firent clairement comprendre à John que Sherlock avait dit ce qu’il fallait. Il se souvint alors que Mycroft lui avait avoué qu’enfant Sherlock rêvait d’être un pirate. Voilà qui expliquait comment il connaissait leurs langages et leurs coutumes. Celui qui avait parlé un peu plus tôt s’avança jusqu’à eux et les examina de près. De si près que John pouvait sentir le tabac à chiquer et le rhum dans son haleine.

- Pourparler... Vous avez entendu Messieurs ? Ils invoquent les pourparlers. Soit ! Jetez les en cellules, je verrai plus tard quoi faire d’eux, lança celui qui devait être le capitaine en tournant les talons.
- Je peux me rendre utile sur un navire, plaida Sherlock. Je sais briquer le pont, manipuler les voiles, et nouer les cordages. Quand à mon ami, il est médecin. Il peut soigner votre équipage.

John maudit intérieurement Sherlock et ses idées saugrenues. Lui ? Soigner un équipage de pirates ? Sans le moindre matériel surement en plus ! Voilà une brillante idée qui leur vaudrait sûrement la potence ! Mais les paroles de Sherlock eurent l’effet escompté et le capitaine se retourna brutalement vers eux.
- Un médecin ? Vraiment ?

Instinctivement John recula légèrement quand le capitaine vint coller son nez contre le sien, l’examinant de si près qu’il devait pouvoir lui compter les poils du nez.
- Êtes-vous réellement médecin ?
- Oui, confirma John.
- Parfait ! J’ai quelques hommes légèrement amochés, et un autre un peu plus salement. Vous allez me les remettre sur pied !
Puis se penchant vers John il souffla :
- Même si je doute que vous puissiez faire des miracles. Mais ne le lui dites pas !

Puis se tournant vers Sherlock il le détailla de la tête aux pieds avant de décréter :
- Toi, tu remplaceras notre cher Mouche ! Maître Gibbs, il est à vous !
- Comptez sur moi capitaine !
- Excusez moi, mais avec quel capitaine avons nous l’insigne honneur de naviguer ? s’enquit Sherlock.
Le capitaine sourit et porta la main à son tricorne, saluant outrageusement.
- Le capitaine du Black Pearl. Le capitaine Jack Sparrow pour vous servir ! Et à qui ai-je l’honneur ?
- Holmes, Sherlock Holmes, répondit Sherlock en s’inclinant. Et le Docteur Watson, John Watson.
- Bien, les présentations sont faites. Tous à vos postes !!!

John se sentit tirer par le bras et il n’eut d’autre choix que de suivre le pirate qui l’entraînait vers la soute. Un dernier coup d’œil lui montra un Sherlock aux anges, se délestant de sa veste et transformant une manche de sa chemise en foulard noué sur ses boucles brunes. Amusé, John descendit les marches étroites qui menaient au dortoirs de l’équipage. Dans l’un des hamacs suspendus là il trouva un homme, le fameux Mouche, inconscient.

- Qu’est-ce qu’il a ? s’enquit-il auprès du marin l’ayant accompagné.
- Il s’est fait mordre par une tortue, répondit le pirate en souriant moqueusement.
John fit la moue mais ne dit rien. C’était la première fois qu’il allait voir une morsure de tortue. Il se pencha donc sur son patient, notant au passage qu’il avait de la fièvre et vraiment une sale mine.

Il souleva le drap souillé qui couvrait le malheureux, chassant d’une main agacée les mouches qui bourdonnaient autour d’eux. A la vue de la plaie, il ne put retenir une légère grimace de dégoût. La cuisse mordue par la tortue était atrocement gonflée et bleuie, ce qui n’était définitivement pas bon signe. La morsure elle-même était encore plus moche, d’un violet des plus mauvais augures et suintante de pu. L’odeur n’avait rien à envier à l’aspect visuel : nauséabonde et mortifère.

John se recula et reposa le drap sur son patient, bien mal parti.
- Pourquoi ne pas l’avoir amputé ? demanda-t-il au pirate resté à ses côtés.
- Il n’a pas voulu, expliqua celui-ci.
Le médecin hésita quelques secondes, pesant le pour et le contre. Vu sa fièvre il avait fort à parier que l’infection s’était généralisée, et qu’il était alors bien trop tard pour amputer en espérant le sauver.
- Vous voulez que j’aille chercher la hache ? s’enquit le pirate.
- Non, c’est trop tard pour que ce soit salutaire, répondit John en soupirant. Qu’avez vous comme médicaments ?
- Du rhum.
- On s’en contentera alors, souffla John. Honnêtement, je ne donne pas cher de sa peau. Mais on va quand même tenter quelque chose. Allez me chercher un couteau bien aiguisé et propre, deux draps ou tissus propres, des braises et un fer à chauffer, un seau vide, et du rhum... beaucoup de rhum... Et si quelques uns de vos camarades peuvent venir aider ce serait plus simple.

Le pirate opina du chef et disparu rapidement dans l’escalier. John tourna sur lui même, examinant son environnement et cherchant ce qu’il pourrait utiliser pour soigner Monsieur Mouche. Une table se trouvait à quelques mètres de lui, il entreprit de la pousser et de la rapprocher du hamac occupé par son malade. Il finissait de s’assurer d’avoir une bonne visibilité quand des pas lui annoncèrent le retour du pirate. Celui-ci surgit avec le matériel demandé et trois autres membres de l’équipage.

- On aussi prit une chandelle, dit le pirate en montrant l’objet susnommé.
- Parfait Monsieur...
- Appelez moi Marty. Et lui là c’est Cotton, à côté c’est Duncan et le dernier là c’est Requin.
- Requin ? s’étonna John.
L’homme ainsi nommé sourit largement dévoilant une dentition étonnamment pointue et impressionnante, expliquant ainsi son patronyme.

John ne chercha pas à en savoir plus, retroussant ses manches il se saisit d’un des draps supposément propre, même si des tâches suspectes le parsemait. Il l’étala sur la table puis se tournant vers les marins il expliqua :
- Nous allons le poser sur la table pour que ce soit plus facile.
Aussitôt dit aussitôt fait. Mouche fut soulevé du hamac puis déposé sur la table d’opération sommaire.

A peine fut-il installé que John demanda à Marty de découper les vêtements du blessé pour le déshabiller. Pendant ce temps il versa une généreuse dose de rhum sur le couteau propre et bien aiguisé amené par son aide médicale improvisée. Puis il se tourna vers Monsieur Mouche et sa cuisse qui avait servi d’amuse bouche à une tortue.
- Bien, dit-il, il va falloir le tenir. Même inconscient il peut réagir à la douleur et s’il bouge je risque d’aggraver les choses.

Les quatre pirates se mirent immédiatement en place pour maintenir leur frère d’arme immobile. John positionna soigneusement le seau sous la plaie, la cuisse infectée étant positionnée hors de la table. D’un geste sûr il incisa la partie purulente de la plaie. Immédiatement le liquide jaunâtre virant au vert s’écoula en quantité importante de l’incision. Monsieur Mouche sortit de son inconscience en hurlant, mettant les muscles de ses camarades à rude épreuve en s’agitant fortement.

John posa le couteau et saisit la cuisse enflée à deux mains avant d’appuyer fortement pour faire sortir le maximum de pu. Indifférent aux cris inarticulés de son patient, John serra et serra encore jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de pu à sortir mais uniquement du sang bien rouge. Alors seulement il cessa. Attrapant une bouteille de rhum il la versa entièrement sur la plaie sanguinolente, tirant du malheureux Monsieur Mouche de nouvelles lamentations.

- Tenez le encore un peu, j’ai presque fini, lança John aux pirates.
Il attrapa l’épée courte mais dotée d’une lame très large il l’a plongea dans le seau de braise et patienta quelques secondes pour s’assurer que la lame soit parfaitement chauffée. D’un coup d’œil il informa ses aides temporaires de ses intentions. Ceux ci comprirent parfaitement le message et resserrèrent leurs étreintes, immobilisant le blessé au maximum.

Puis sans prévenir, John appliqua la lame chauffée à blanc sur la plaie, tirant un véritable hurlement au pauvre infortuné.
- Et bien, et bien, je vois qu’on s’amuse bien ici, lâcha une voix rieuse derrière eux.
- Oh ! Capitaine ! salua John en s’épongeant le front. Nous venons de terminer.
Puis se tournant vers les quatre autres il leur dit :
- Merci pour votre aide Messieurs. Vous pouvez le réinstaller dans son hamac et le couvrir de ce drap.

Tout en parlant, John avait attrapé le second drap propre et le tendit aux pirates qui s’exécutaient.
- Je vois que vous avez bien travaillé docteur, dit Jack Sparrow en voyant la quantité de pu présente dans le seau.
- En toute franchise je doute que cela lui sauve la vie, il aurait fallu l’amputer dès le début pour éviter une infection d’une telle ampleur.
- Hélas Monsieur Mouche a refusé qu’on lui coupe la jambe, soupira le capitaine. Il préférerait se faire avaler la main par un crocodile, enfin c’est ce qu’il a dit... Je doute qu’un crocodile le trouve comestible ceci dit.

John sourit à la blague et rangea le matériel utilisé, rendant aux pirates leurs couteaux et sabre. Il prit le seau plein de pu et se dirigea vers le pont.
- Je vais jeter ça à la mer, informa-t-il.
- Je vous accompagne docteur, lança le capitaine.
Les deux hommes montèrent les escaliers d’un même pas, et John sourit en sentant l’air frais du large venir chasser l’odeur pestilentielle de son seau.

- Votre ami, ce Monsieur Holmes... commença le capitaine.
- Oui, demanda John un peu tendu, ce demandant ce que Sherlock avait encore bien pu inventer.
- Il est... surprenant, conclu Jack.
- Oh ! Oui, il peut être...
Mais John ne finit pas sa phrase, étant arrivé sur le pont et voyant Sherlock en bras de chemise, debout sur une vergue, arguant les marins pour remonter la voile.

John sourit et se dirigea vers le bord pour vider son seau. Une fois chose faite, il se permit d’admirer Sherlock qui volait littéralement d’une voile à l’autre, de vergue en vergue, changeant de mat avec une aisance et une grâce qu’aucun des autres pirates n’avaient. Rassuré sur le sort du navire (Sherlock n’avait pas l’intention de le couler pour une quelconque raison), John s’accouda sur le bord et admira la vue.

Il n’y avait rien... rien à par la mer. L’immense étendue bleue s’étalait à perte de vue, seulement troublée par quelques brides d’écumes surmontant les vagues. Un trou particulièrement profond fit tanguer le bateau, obligeant John à se tenir au bord avec force pour ne pas tomber. Amusé, il nota dans un coin de sa tête qu’il n’était visiblement pas victime du mal de mer ce qui était plutôt une bonne chose. Vu l’enthousiasme de Sherlock nul doute qu’à l’avenir il remonterait sur un bateau.

- Oh ! Oh ! Oh ! A Babord toute ! A l’abordage dans 10...
- Sherlock !!! Hurla John pour se faire entendre de son compagnon perché dans l’un des mâts.
Mais celui-ci ne l’entendit pas et continua à virevolter au milieu des voiles et des cordages.
- 8...
- SHERLOCK !!!!!!!!!!!!!! s’époumona John, réussissant enfin à attirer l’attention du détective.
Ce dernier lui fit un grand geste et repartit à son activité première, ce qui fit enrager John.
- 7...
Agacé le médecin attrapa le premier cordage et entreprit de rejoindre son pirate personnel.
- Putain Sherlock ! grogna-t-il.
- 6...
La bateau tangua et John lâcha une de ses prises se retrouvant pendu par une seule main à plusieurs mètres au dessus du vide. Comme s’il avait sentit son médecin en danger, Sherlock baissa les yeux à ce moment précis.
- 5...
- John !!!!! Tiens bon j’arrive !!!!
Puis avec des gestes souples Sherlock descendit jusqu’à John qui tentait d’agripper le cordage avec sa seconde main.
- 4...
Alors que John se tendait une énième fois vers le cordage, une poigne puissante et rassurante lui saisit la main.
- John ! Mais qu’est-ce que tu fous ?! s’exclama Sherlock en remontant John sur la vergue.
- Je t’ai appelé, rugit John. Et toi, tu m’ignores !
- 3...
- Oh ! Fit Sherlock en entendant enfin le compte à rebours. Désolé... J’ai cru...
- Laisse tomber, soupira John, j’ai bien compris que tu t’amuses comme sur une scène de crime. L’essentiel c’est qu’on soit réunis.
- 2...
- Oui, et j’ai même un souvenir, plaisanta Sherlock en enlaçant John et en pointant son tricorne.
- Voilà qui va aller parfaitement bien avec la décoration de notre sapin, rit John en lui rendant son étreinte.
- 1...
Le tourbillon se déclencha et les emporta loin du Black Pearl, de son équipage et de la mer des caraïbes. John ne sut jamais qu’il avait sauvé la vie de Monsieur Mouche qui se retira de la piraterie pour ouvrir un bar nommé Au Capitaine Crochet.

De retour dans leur appartement de Londres, les deux hommes posèrent le tricorne sur l’une des branches du sapin et prirent une tasse de thé.
- Tu as tort... dit soudain Sherlock surprenant John.
- Sur quoi ?
- Quand tu as dit que je m’amusais comme sur une scène de crime. Je m’amuse bien plus sur une scène de crime que sur un bateau pirate... Surtout si tu es avec moi...

Puis sans rien ajouter d’ajouter, Sherlock s’installa devant son ordinateur pour contacter Charles Xavier et lui faire part de ses dernière aventures et discuter des dernières découvertes du mutant. John sourit en voyant le détective faire, puis il se retroussa les manches et s’attela à la confection du pudding de Noël.

A suivre....

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