Christmas Magic is here !

Harry Potter - J. K. Rowling The Lord of the Rings - All Media Types X-Men - All Media Types Batman - All Media Types Death Note (Anime & Manga) Dragon Ball Sherlock (TV) Hannibal (TV) Jurassic Park Original Trilogy (Movies) Naruto Fullmetal Alchemist: Brotherhood & Manga Stargate SG-1 Alice in Wonderland (Movies - Burton) Howl's Moving Castle - All Media Types The Shining (1980) Van Helsing (2004)
Gen
G
Christmas Magic is here !
author
Summary
Il était là, attendant simplement qu’un client l’achète, espérant trouver une âme charitable pour qu’il puisse faire son office : Offrir un chocolat par jour pendant vingt-quatre jours pour attendre Noël. Un peu de bonheur dans cette période d’attente fébrile. Un certain John Watson le sauva en le glissant dans son panier de courses. Le Calendrier fut heureux. John, lui, ignorait qu’il trouverait bien plus que de simples chocolats dans ce calendrier de l’Avent.
Note
Ceci est un cadeau de Noël pour Maeglin Surion. J'espère que cela lui plaira, et à vous aussi. Comme c'est le principe du calendrier de l'Avent, il y aura un chapitre posté chaque jour jusqu'à Noël (enfin si tout va bien, on est jamais à l'abri d'un accident hein.). Bonne lecture. Lili
All Chapters Forward

Où John comprend que certains actes sont plus parlants que les mots et où Sherlock trouve encore moins sociable que lui.

Sherlock se redressa lentement, faisant bien attention de ne pas faire grincer la moindre latte du plancher et, tout aussi lentement, colla son œil contre le trou dans la porte. Il retint un cri de victoire quand il vit, à travers le trou, John sortir de son lit. De sa place, Sherlock avait une vue parfaite sur le bas du corps de son colocataire (des pieds jusqu’à la taille). Il nota que pieds, mollets et cuisses étaient vierges de tout tatouage. Ne restait donc que la partie cachée par le caleçon (très moche au demeurant). C’était forcément là que se cachait l’ornement épidermique !

Parce que oui, c’était là l’unique raison de la présence de Sherlock sur le pas de la porte de la chambre de John. Il y avait passé la nuit, profitant du sommeil du médecin pour tenter d’assouvir sa curiosité. Mais John le connaissait bien, un peu trop bien même. Et Sherlock avait trouvé la porte close. Il aurait bien forcé la serrure si John n’avait pas pris la précaution de boucher la serrure avec un mouchoir.

Défoncer la porte aurait réveillé John, et l’aurait mis très en colère. Sherlock avait donc campé devant la porte, creusant minutieusement un trou dans la porte pour pouvoir apercevoir l’objet de sa convoitise. Le trou devait être assez grand pour qu’il puisse voir, mais assez petit pour passer inaperçu aux yeux de John. Il n’était pas sur qu’une seule fois suffirait à assouvir sa curiosité maladive, autant que John ne rebouche pas le trou qui pouvait s’avérer utile dans le futur.

L’œil collé contre l’orifice, Sherlock guetta avec avidité le moindre mouvement de son colocataire. Celui-ci disparut un instant de son champ de vision, très restreint, pour y reparaître vêtu d’un jean usé mais propre. Sherlock retint un cri de frustration ! La chambre n’était pas grande à ce point quand même ! Pourtant John avait réussi à s’habiller loin de sa vue. Déçu, Sherlock s’éloigna sans bruit, rejoignant le séjour où il se laissa tomber sans aucune classe dans le canapé.

Quand John parut devant lui, Sherlock ne répondit pas à sa salutation et fixa avec une obstination boudeuse le plafond. Sherlock était vexé... La veille, John avait catégoriquement refusé de lui dire où se situait son tatouage et encore moins ce que cela représentait. Sherlock y avait pourtant mis tout son talent, mais John s’était avéré un adversaire coriace à ce jeu. Le détective le suspectait de s’être fait trop souvent avoir pour tomber dans les pièges, pourtant subtils, qu’il lui tendait.

Peut-être devrait-il demander à Lestrades. Après tout l’inspecteur était formé aux méthodes d’interrogatoire et John avait confiance en lui. Sherlock se redressa soudain d’un bond quand il réalisa que si quelqu’un savait quoique se soit sur le tatouage de John ce serait forcément Lestrades. D’un pas rapide il rejoignit le médecin et demanda d’un ton furieux :
- Lestrades est au courant n’est-ce pas ? Peut-être même le lui as-tu montré ?!

John leva les yeux, partagé entre l’amusement et l’exaspération, et répondit platement entre deux gorgées de thé :
- Oui et non.
- Oui il le sait ! Je le savais ! Rugit Sherlock. Pourquoi le lui as-tu dit et pas à moi ? N’as-tu pas confiance en moi ? Non ne répond pas ! Comment ai-je pu passer à côté d’une telle chose ? Je te connais par cœur !

John fronça les sourcils, agacé par le comportement de Sherlock, et décida de clouer le bec une fois pour toute au susceptible détective.
- Je t’ai déjà dit que cela ne te regardait pas ! Mais si tu veux tout savoir, Lestrades le sait parce qu’il m’a accompagné le jour où je me le suis fait faire.
Sherlock plissa les yeux prêt pour une salve de questions que John empêcha d’une seule phrase :
- C’était durant ton... absence prolongée.

Sherlock ne trouva effectivement plus rien à redire et son air de poule ayant cassé son œuf amusa beaucoup John. Ce dernier chassa bien vite son envie de rassurer son ami, se convainquant qu’il n’avait rien dit d’offensant ni de méchant et qu’il n’avait aucune raison de culpabiliser d’user de cet argument pour faire taire le curieux. Chassant ses pensées d’un geste de la main, John se saisit du calendrier et le tendit à Sherlock avec un sourire complice.

- Prêt pour une nouvelle aventure ?
- Prêt ! répondit Sherlock en soupirant intérieurement de soulagement que John change de sujet.
D’un geste il ouvrit la case numéro 14 et attendit que John vienne le rejoindre et l’enlace pour sortir le chocolat en forme de boule de noël de sa case.

Le tourbillon les emporta et les déposa dans un jardin verdoyant, tout près d’une maison toute simple avec un immense hangar rond accolé. Les deux hommes regardèrent autour d’eux surpris par la quiétude du lieu. Ils s’avancèrent vers la maison, cherchant des yeux un indice sur leur lieu d’atterrissage.

- Reviens ici ! Immédiatement !
Le cri féminin provenant de la maison fit sursauter les deux compères. Ils virent un petit garçon sortir en courant de la maison, riant aux éclats, visiblement sourd aux injonctions de sa mère. Celle-ci ne tarda pas à paraître sur le seuil de la maison, un poing sur une hanche, et dans l’autre une clé à molette qu’elle agitait vigoureusement. Mais le petit garçon disparu dans le hangar faisant soupirer lourdement la jeune femme.

Celle-ci se tourna alors vers eux et les dévisagea, surprise de les voir là, avant de s’avancer dans leur direction.
- Bonjour, les salua-t-elle. Je peux vous aider ?
- Euh... Oui, bonjour Madame, répondit John. Nous sommes arrivés ici par... magie... mais nous ne savons pas du tout où nous sommes, ni la date du jour. Peut-être pourriez-vous nous renseigner ?

La jeune femme les dévisagea longuement, dubitative, puis elle ouvrit la bouche pour répondre quand une voix grave et moqueuse l’interrompit :
- Par magie ? Voilà qui est amusant. La magie n’existe pas ! Qui êtes vous ? Et d’où venez vous ?
L’homme qui venait de les interpeller n’avait rien de bien avenant. Son air sévère ne donnait pas l’envie de lui taper sur l’épaule et sa carrure outrageusement musclée n’incitait nullement à lui chercher des noises. John jugea préférable d’intervenir avant que Sherlock, silencieux pour l’instant, ne le fasse et tendit une main vers l’homme en souriant poliment.

- Je m’appelle John Watson, et voici mon ami Sherlock Holmes. Nous venons de Londres.
L’homme le fixa durement, sans même faire un geste pour saisir sa main tendue. Ce fut la jeune femme qui la lui serra en souriant et répondit finalement.
- Londres ? Ça vous fait un sacré voyage dites-moi ! Je suis Bulma et voici mon mari Végéta. Le garnement que vous avez vu tout à l’heure est notre fils Trunks. Et vous êtes au Japon, près de Tokyo.

Puis elle les invita à s’installer sur la terrasse pour prendre un rafraîchissement, proposition que John hésita à accepter quand il vit l’air réprobateur de Végéta. Mais Bulma ne lui en laissa finalement pas l’occasion de refuser l’installant de force sur une chaise avec un verre de limonade à la main. Sherlock suivit en silence, imitant John, tout en gardant un œil sur le couple. Comme toujours, constata-t-il, le charme de John fonctionnait à la perfection sur les femmes... Il n’avait qu’à leur sourire pour qu’immédiatement elles soient toutes prêtes à l’aider de quelques façons que ce soit.

Sentant un regard pesant sur eux, Sherlock se retourna et fixa Végéta. Celui-ci s’était adossé au mur de la maison, et dardait un regard réfrigérant sur John. Quand celui-ci félicita Bulma pour sa limonade faite maison et ses biscuits aux épices, Végéta émit un bruit entre le sifflement agacé et le soupir moqueur, mais ne dit rien. Pour un non-initié, Végéta était l’incarnation même du j’en foutiste. Il ne semblait pas s'intéresser à ce qui se passait près de lui, n’avait pas le moindre geste envers son épouse, et semblait subir la situation plus qu’autre chose.

Pourtant, pour les yeux exercés de Sherlock le doute n’était pas permis. Cet homme aux allures mal aimables et peu engageantes était bien plus attentif qu’il n’y paraissait, et très protecteur envers sa femme. Sherlock tenta d’établir un contact visuel avec l’homme, mais celui-ci l’ignora royalement, son attention toute entière tournée vers John et Bulma qui discutaient tranquillement de la pluie et du beau temps.

En tendant l’oreille Sherlock appris ainsi que Bulma était une inventeuse-mécanicienne-électricienne de génie et qu’elle avait créé moultes appareils pour aider son mari et ses amis à protéger le monde de divers menaces. Ces dites menaces intéressèrent grandement Sherlock qui posa plusieurs questions sur le sujet et demanda même à Végéta de lui montrer ses pouvoirs de super-sayen. Végéta ne fit même pas mine de l’avoir entendu, ce qui vexa Sherlock.

John leva les yeux au ciel en remarquant une énième tentative de son détective d’ami pour faire réagir l’inébranlable Végéta. Mais celui-ci ne sembla même pas remarquer ces tentatives, gardant l’air impénétrable et totalement détaché du reste du monde. John ne fut pas le seul à remarquer le manège de Sherlock, ni à s’en amuser. Bulma se pencha vers John et lui chuchota :
- Sans vouloir avoir l’air de vouloir décourager votre ami, mon mari n’est pas très.. Sociable.
- Je crois que mon ami est vexé d’avoir trouvé encore moins sociable que lui, pouffa John.

Bulma pouffa à son tour, puis elle se leva pour aller chercher d’autre limonade. John se saisit du plateau et lui proposa poliment son aide, ce que la jeune femme accepta avec joie. Depuis la fenêtre de la cuisine, John avait une vue parfaite sur la terrasse et les deux hommes qui s’y trouvaient encore, l’un d’eux fusillant du regard la maison et l’autre détaillant attentivement le premier.

- Votre ami a l’air têtu, rit Bulma.
- Têtu ? plaisanta John. Non, pas du tout. Il est borné ! Mais n’allez pas le lui faire remarquer, il est susceptible. Ce qui n’est pas toujours simple à gérer...
- Oh, je connais bien ça, avoua Bulma. Végéta est ce genre d’homme. Si on l’écoute il ne voulait pas se marier, ni avoir d’enfant, et Trunks et moi ne sommes que des boulets qu’il traîne en permanence. Mais il ne faut pas se fier à ce qu’il dit. Ses actes sont plus forts que ses mots.

John fixa Bulma intensément, cherchant à comprendre ce qu’elle voulait dire exactement mais sans oser l’interroger. Mais Bulma comprit sa demande muette et précisa :
- C’est lui qui m’a demandé en mariage, d’une manière assez peu conventionnelle certes, mais c’est lui qui a fait la demande. Il était présent durant toute ma grossesse, et ne m’a pas quitté une seule seconde pendant l’accouchement. Il a même versé une petite larme quand Trunks est né. Et il est mort pour nous protéger Trunks et moi plus d’une fois. Ses actes démentent ses mots. Végéta est ce genre d’homme... Il ne faut pas l’écouter, il faut le regarder... Mais vous connaissez ça n’est-ce pas ? Sherlock est ce genre d’homme lui aussi, non ?

John hocha la tête plus par politesse qu’autre chose, perturbé par les propos de Bulma. Il posa un œil neuf sur Végéta, cet homme apparemment insensible qui s’avérait être très protecteur et bien plus aimant que John ne le pensait. La voix de Sherlock résonna dans son crâne lui soufflant avec conviction : “ C’était le seul moyen de vous protéger”. L’image de Sherlock tombant du toit de l’hôpital le hanta brutalement, faisant resurgir cette douleur qui lui broyait le cœur. Malgré les années, malgré le retour de Sherlock, elle était là, intacte... Comme au premier jour...

Pourtant avec le temps et la réflexion John avait fini par comprendre le geste de Sherlock, par admettre que c’était sûrement la seule solution. Par comprendre aussi que c’était là la plus grande preuve d’affection qu’on ait pu lui faire dans sa vie... Mais si sa raison le comprenait parfaitement, cela ne consolait par son cœur, marqué au fer rouge par cette chute... cette absence... ces mots : “Adieu John.”.

Deux ans... deux ans à vivre dans un brouillard permanent. Deux ans avec la sensation d’avoir perdu une partie de soi-même. Deux ans à jouer la comédie de l’homme allant bien chaque jour, chaque heure, chaque seconde. Deux ans a regretter de n’être pas mort au champ d’honneur. John n’était pas particulièrement croyant, mais si l’enfer existait il le connaissait : c’était ces deux années.

Puis le retour de Sherlock. Fracassant... Inattendu... Réparateur... Salvateur. Et si après avoir eu les détails de la part de Sherlock, John avait donné l’impression d’avoir tourné la page ce n’était pas exactement le cas. Sans que Sherlock le sache, il avait été voir Mycroft, pour l’engueuler tout d’abord (comment avait-il pu lui cacher ça !!!), puis pour avoir plus d’explications.

Et parmi tout ce que Mycroft lui avait dit, une chose en particulier avait marqué John. A son retour, Sherlock se s’était inquiété que de lui, John. Il était le premier que Sherlock avait revu, avait voulu revoir. Le seul aussi à qui il avait donné tant d’explications, le seul auprès duquel il s’était justifié. Finalement Sherlock et Végéta se ressemblaient bien plus qu’il n’y paraissait : leurs actes parlaient bien plus que leurs mots. Et John ne savait pas vraiment quoi faire de ce que les actes de Sherlock sous-entendaient.

Perdu dans ses pensées John porta le plateau garni d’un pichet de limonade fraîche jusqu’à la terrasse et le posa sur la table. Il ne pu manquer le coup d’œil, pourtant discret, de Végéta sur Bulma et sans savoir pourquoi John se sentit de trop sur cette terrasse, dans cette maison... Ce sentiment le tarauda douloureusement, persistant malgré la sympathie de Bulma et la main réconfortante que Sherlock posa discrètement sur son bras quand il s’assit.

Il fut reconnaissant à Sherlock de reprendre la conversation avec Bulma, la lançant sur ses inventions diverses. Le détective s’empressa de proposer des améliorations et de demander des détails techniques, dans le but de pouvoir essayer de les reproduire, même s’il n’était pas aussi douée en électricité qu'en la chimie.

Bulma leur proposa de rester à dîner ce que les deux hommes n’osèrent accepter ne sachant quand ils repartiraient. A peine eurent-ils expliqué ceci à leur adorable hôtesse que la voix, désormais bien connue, retentit :
- Oh ! Oh ! Oh ! Décollage vers d’autres ports dans 10...
- Ah ! C’est justement l’heure de partir, s’exclama Sherlock en se levant.
- Quel dommage ! soupira Bulma. Pour une fois que nous avions une visite qui n’annonce pas un drame imminent.
- 9...
- Tsss... Qu’ils dégagent... grogna Végéta.
- Chéri, le réprimanda Bulma, ne te fais pas plus méchant que tu ne l’es !
- 8...
- Ce fut un plaisir de vous rencontrer, dit John le serrant la main de Bulma. Et merci pour la limonade.
- Oh, ce n’est rien vous savez, rit Bulma. Ce fut un plaisir pour moi aussi. N’est-ce pas chéri ?
- 7...
- Pffff... fut la seule réponse dudit chéri.
John ne pu s’empêcher de sourire en voyant le couple interagir. Ce que Bulma lui avait dit dans la cuisine lui revint et son sourire disparu.
- 6...
Son regard se posa sur Sherlock qui saluait leurs hôtes et tentait une dernière fois de convaincre Végéta de passer en mode super sayen, ce que ce dernier refusa tout net.
- 5...
Bulma disparu soudainement dans la maison et revient en courant, tenant dans ses mains une boule d’un joli jaune-orangé avec une petite étoile rouge dessus.
- 4...
- Tenez, un petit souvenir, dit-elle en leur tendant la boule.
- Tu ne vas pas leur donner ça ! rugit Végéta.
- Ce n’est qu’une réplique, protesta Bulma calmant instantanément son mari.
- 3...
- C’est très gentil, merci beaucoup, remercia John.
- N’empêche que j’aurai vraiment aimé voir cette histoire de super sayen, grommela Sherlock.
- 2...
Bulma lança un regard entendu vers Végéta qui soupira lourdement mais rendit les armes. En un quart de seconde il se transforma, ses cheveux noirs devenant blonds et une lueur vibrante l’entourant. Sherlock tendit la main vers le Super Sayen dans l’espoir de pouvoir toucher cette lueur étrange mais...
- 1...
Le tourbillon les emporta, les ramenant à Baker street.

A peine eurent-ils atterrit que Sherlock se jeta sur son ordinateur, pressé de faire part de sa nouvelle découverte à Charles-Xavier et de savoir si les super sayen pouvaient être considérés comme des mutants. John le laissa faire, amusé par cet empressement presque enfantin. Il déposa la boule offerte par Bulma dans le sapin, bien en évidence entre l’ange d’Erik et la dague de Gimli.

La porte de l’appartement s’ouvrit et Mrs Hudson entra, les mains chargées d’une corbeille bien remplie de gâteaux.
- Bonsoir les garçons, lança-t-elle. Regardez ce que j’ai préparé ! Des Cupcakes !
- Bonsoir Mrs Hudson, la salua John en s’approchant. Oh, ils ont l’air délicieux !
- C’est ce très cher Alfred qui m’a donné la recette, expliqua la sexagénaire en posant la corbeille sur la table de la cuisine.
- Il vous a écrit ! S’exclama John ravi.
- Oui, et vous aviez raison c’est un homme tout à fait charmant, sourit Mrs Hudson.

John sourit largement et écouta la cuisinière raconter sa correspondance avec Alfred tout en dégustant un des délicieux cupcakes. Dans le séjour Sherlock tapait à une vitesse ahurissante sur son clavier, communiquant avec Charles-Xavier sur divers sujets passionnants pour les deux scientifiques. Le sapin illuminait doucement la pièce assombrie par la nuit tombante, ses décorations hétéroclites scintillants au rythme des guirlandes lumineuses.

A suivre...

Forward
Sign in to leave a review.