Christmas Magic is here !

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Christmas Magic is here !
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Summary
Il était là, attendant simplement qu’un client l’achète, espérant trouver une âme charitable pour qu’il puisse faire son office : Offrir un chocolat par jour pendant vingt-quatre jours pour attendre Noël. Un peu de bonheur dans cette période d’attente fébrile. Un certain John Watson le sauva en le glissant dans son panier de courses. Le Calendrier fut heureux. John, lui, ignorait qu’il trouverait bien plus que de simples chocolats dans ce calendrier de l’Avent.
Note
Ceci est un cadeau de Noël pour Maeglin Surion. J'espère que cela lui plaira, et à vous aussi. Comme c'est le principe du calendrier de l'Avent, il y aura un chapitre posté chaque jour jusqu'à Noël (enfin si tout va bien, on est jamais à l'abri d'un accident hein.). Bonne lecture. Lili
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Où John et Sherlock jouent les voyeurs.

John s’étira longuement, un sourire béat aux lèvres. Il avait parfaitement dormi et son nouveau réveil l’avait sorti du sommeil en douceur. La vieille, sa conversation avec sa sœur s’était avérée bien moins décevante qu’il ne le craignait. Harry ne buvait plus depuis presque un an, elle avait retrouvé un travail stable et avait rencontré Kelly, une esthéticienne, avec qui elle vivait un amour naissant et épanouissant. Harry lui avait raconté que Kelly lui apportait une stabilité et lui rendait une estime d’elle-même qu’elle avait perdue depuis longtemps.

Au fil de la discussion ils avaient plaisanté et échangé des souvenirs d’enfance. Ils étaient encore loin de l’amour fraternel qui unissait les frères Elric mais c’était un net progrès dans leur relation chaotique. Ils s’étaient promis de s’appeler une fois par mois, et de se voir à Pâques. Harry avait promis qu’elle lui présenterai Kelly et avait espéré que John lui présenterai celle qui faisait battre son cœur. John avait brillamment éludé la question et assuré que si d’ici là il rencontrait la femme de sa vie, il ne manquerait pas de la lui présenter.

Bref, John avait renoué avec sa sœur, et cette seule pensée avait réchauffé son cœur. Et rien, pas même l’humeur tristoune des airs de violons de Sherlock n’avaient pu changer ça. De ce fait, il avait dormi comme un loir d’un sommeil sans rêves (ou s’il avait rêvé il ne s’en rappelait pas) et était donc en pleine forme pour la journée.

Après une bonne douche et un bon petit déjeuner, il se décida à frapper à la porte de la chambre de Sherlock, surpris que celui-ci ne soit pas encore levé. En l'absence de réponse, il se décida à entrer dans l’antre du détective. Un coup d’œil au lit l’informa que son colocataire n’y avait pas dormi, ce qui l’inquiéta un peu. Mais son inquiétude fondit comme neige au soleil quand il vit la haute silhouette avachie sur une chaise près de la fenêtre, le violon en travers des genoux.

Un sourire amusé étira les lèvres de John quand il s’approcha de Sherlock qui dormait. Son sourire s’adoucit à la vue du visage aux traits fins et détendus baignés par le soleil timide de décembre. Il eut l’envie étrange, et mal venue, de le réveiller d’un baiser. Il la chassa vite, secouant la tête en se promettant d’arrêter de regarder des films de Noël à l’eau de rose. Au lieu d’un baiser il décida de le secouer légèrement par l’épaule.

Sherlock émit un borborygme vaguement humain avant d’entrouvrir les yeux.
- Allez Sherlock, c’est l’heure de se lever, chantonna John. Il est l’heure... Monseigneur...
- Je ne suis le seigneur de personne, grogna Sherlock.
John se contenta de rire et quitta la chambre en invitant son colocataire à se dépêcher sous peine de rester ici pendant que lui partirait à l’aventure seul.

La menace eut l’effet escompté, Sherlock se levant d’un bond et se préparant en un temps record. John se vit dans l’obligation de lui promettre qu’il ne partirait pas sans lui pour l’obliger à prendre une douche et à changer de vêtements.
- Pitié Sherlock, je te jure de t’attendre ! Mais va te changer ! supplia John en riant à moitié et poussant son colocataire dans la salle de bain.
- Si tu pars sans moi, je te jure que...
- Je t’attends promis !!! Allez file !

Moins d’un quart d’heure plus tard, le tourbillon les déposait dans un immense et classieux hall. Les deux hommes tournèrent lentement sur eux mêmes, constatant qu’à part une massive porte d’entrée, un impressionnant escalier et d’antiques portes ils étaient seuls.
- Ça a l’air vide, souffla John.
- La dernière fois aussi et pourtant on a finit coursés par un psychopathe, rétorqua Sherlock sur le même ton.

Par mesure de sécurité John sortit son arme de sa poche et se tint prêt. Sherlock lui désigna l’escalier et en silence ils montèrent à l’étage. Les marches en bois parfaitement ciré eurent l’amabilité de ne pas grincer sous leurs poids et ce fut sans un bruit qu’ils atteignirent le premier palier. Ils commencèrent à longer le couloir, rasant les murs jusqu’à la première porte. Ils allaient l’ouvrir quand un bruit étrange leur parvint.

- C’est quoi ça ? murmura John.
- Aucune idée, mais ça vient de là bas, répondit Sherlock en désignant une porte plus loin dans le couloir.
- On va voir ?
- Je préférerai savoir qui est là avant qu’on nous tombe dessus armé d’une hache, grogna Sherlock.

Lentement, et en faisant bien attention à ne pas faire le moindre bruit, ils se dirigèrent vers l’origine du son incongru. Une fois devant la porte, John l'entrebâilla doucement, son arme au poing, puis ne voyant aucun danger, ni personne, il entra dans la pièce. Un court corridor les mena à une vaste chambre où le bruit était parfaitement identifiable et reconnaissable. John se sentit rougir jusqu’aux oreilles et recula dans le corridor, n’ayant pas vraiment envie d’être découvert maintenant.

Surpris par l’attitude du médecin, Sherlock passa la tête dans l’ouverture et se figea en voyant la scène se déroulant dans la chambre. Sur l’immense lit se trouvaient deux hommes entièrement nus. L’un d’eux était à quatre pattes et le second, à genoux derrière le premier, s’activait d’une manière qui ne laissait aucun mystère sur leur activité. Imitant John un peu plus tôt, Sherlock se colla contre le mur du corridor, les joues rougies et le cœur battant à tout rompre.

Un pouffement discret attira son attention sur son colocataire qui se retenait difficilement de rire. Sentant un fou rire monter en lui, Sherlock quitta précipitamment la chambre, suivit de près par John. Tous deux coururent dans le couloir et dévalèrent l’escalier jusqu’au hall. Arrivés là ils laissèrent libre court à leur hilarité, John se tenant les côtes tant il riait.
- Oh mon Dieu, bafouilla-t-il. On l’avait pas faite celle là encore !
- Peut... Peut-être qu’on... aurait du... se présenter, rit Sherlock. Et interrompre leur tête à tête...
- Leur tête à queue plutôt ! s'esclaffa John.

- Je doute que Monsieur Bruce apprécie que vous l’interrompiez pendant qu’il est... occupé, fit remarquer une voix grave qui les fit sursauter.
Devant eux, armé d’un pistolet antique, se tenait un homme à l’allure stricte et aux cheveux blancs. John leva les mains au ciel, laissant son arme pendre au bout de son index en signe de non violence, pendant que Sherlock croisait obstinément les bras sur sa poitrine, décidant qu’il en avait marre de se faire menacer d’une arme à tout bout de champ.

- Je suis désolé, commença John, nous sommes arrivés par...
- Magie, je sais, l’interrompit l’homme. Il y a des caméras de surveillance un peu partout dans la maison, et je vous ai vu arriver dans un tourbillon.
- Oh... et bien euh... bafouilla John. En tout cas soyez sûr que nous n’avons aucune intention malveillante.
- Pourquoi cette arme alors ? demanda l’homme un fin rictus aux lèvres.
- Simple mesure de sécurité, intervint Sherlock. Si vous nous avez vu arriver, pourquoi ne pas vous être montré plus tôt.

L’homme eut un franc sourire et baissa son arme avant de répondre d’un ton tranquille :
- J’étais curieux de voir ce que vous comptiez faire... Je n’avais pas envisagé la possibilité que vous surpreniez Maître Bruce dans une position... délicate.
- Maître Bruce a-t-il les cheveux verts ? s’enquit Sherlock.
- Non, absolument pas, répondit l’homme.
- Alors ce n’était pas lui qui était dans la position la plus... délicate...

Ce fut plus fort que lui, John éclata de rire à la réponse de Sherlock. Il vit l’homme en face d’eux réprimander un rire discret. Puis il leur fit signe de le suivre et les emmena jusqu’à une cuisine à la taille impressionnante mais chaleureuse.
- Un tasse de thé ? proposa l’homme. Et peut-être vos noms aussi...
- Ce sera avec plaisir, répondit John en souriant. Je suis John Waston, et mon ami Sherlock Holmes.

- Vous êtes anglais, assura Sherlock en s’asseyant. Nous sommes donc en Angleterre.
- Je suis anglais c’est un fait, affirma l’homme. Je m’appelle Alfred Pennyworth et je suis le majordome de la famille de Maître Bruce depuis de nombreuses années maintenant. Mais vous n’êtes pas du tout en Angleterre. Vous êtes en Amérique, à Gotham City pour être exact. D’où venez vous ?
- De Londres, souffla John en prenant la tasse de thé que lui tendit Alfred.

- Et si vous me racontiez cette histoire de magie ? proposa Alfred en prenant place lui aussi autour de la table centrale.
John se lança dans le récit de leurs diverses mésaventures, récit que Sherlock ponctua ici et là de détails ou de remarques. Alfred écouta avec attention, souriant à certains passages, ouvrant de grands yeux surpris à d’autres et posant de temps à autre des questions pour plus de précisions.

- Voilà qui est tout à fait fascinant, intervint une voix grave et légèrement moqueuse. Et où avez-vous acheté ce si génial calendrier ?
John tourna la tête et vit les deux hommes dans l’ouverture de la porte. Il les reconnut immédiatement, même si là ils étaient habillés de la tête aux pieds.

Celui qui était, sans aucun doute possible, Maître Bruce darda un regard suspicieux sur son amant et lui demanda :
- Rassure moi, ce n’est pas une de tes idées ?
- Crois moi, si je savais comment un tel objet fonctionne, je m’en servirai pour moi-même !
Levant les yeux au ciel, Bruce s’assit à table et prit la tasse de thé tendue par Alfred.

- Je suis Bruce Wayne, se présenta-t-il, et voici mon... ami, Jack. Et vous êtes ?
- John Watson et Sherlock Holmes, répondit Alfred avant même que les deux concernés n’aient pu répondre. Ils viennent de Londres.
- Et depuis quand invite-t-on des inconnus à boire le thé ? Surtout quand ces inconnus sont armés ?
Devant le reproche à peine voilé, et le regard direct de Bruce vers l’arme de John posée bien évidence sur la table, Alfred eut une légère moue.

Mais avant même qu’il ne puisse répondre, Jack s’interposa en riant.
- Voyons Bruce, s’ils étaient réellement mal intentionnés ils auraient profité de notre activité, fort réjouissante au demeurant, pour nous tuer ou au moins nous blesser. Nous n’étions pas vraiment en position de pouvoir répliquer.
Bruce manqua s’étouffer avec son thé en comprenant et lança un regard noir à son amant :
- Tu les as vu ?
- Je les rapidement aperçu juste avant qu’ils disparaissent. Ça n’a duré que quelques secondes...

Les deux hommes commencèrent à se disputer, l’un accusant l’autre d'exhibitionnisme, le second reprochant au premier d’être trop coincé et assurant qu’il devait ça à son éducation majoritairement faite par un majordome anglais. Les trois anglais autour de la table ne jugèrent pas indispensable de s’offusquer et préférèrent laisser les deux amants débattre de ce point ensemble.

Si Sherlock était, malgré lui, fort intéressé par la dynamique du couple face à lui, les pensées de John allait totalement ailleurs. Le physique particulier de Jack l’interpellait. Les cheveux verts ? Passe encore. Avec toutes les teintures possibles à notre époque, voir quelqu’un avec des cheveux verts n’avait rien de bien surprenant. John en avait même croisé avec des cheveux arc-en-ciel alors... Le teint blanc était déjà bien plus inquiétant de son point de vue.

Un être humain n’était jamais réellement blanc, pas même le plus pâle des albinos. Non, la peau virait éventuellement au rose très pâle, ou légèrement beige, mais jamais blanche craie comme pouvait l’être celle de Jack. Il tenta discrètement de voir si celui-ci avait du fond de teint, après tout tout était possible. Mais il était bien incapable de ce souvenir si le corps nu qu’il avait rapidement entraperçu plus tôt était aussi blanc que le visage qui lui faisait face.

Mais ce qui le frappait le plus c’était la bouche. D’un rouge vif elle sautait aux yeux de par sa couleur et de par sa taille. Les lèvres allaient jusqu’au milieu des joues. En tant que médecin militaire, déployé dans des pays où ce genre de pratiques étaient hélas monnaie courante, John avait déjà vu des gens défigurés par le sourire de l’ange. Cette technique barbare consistait à couper les joues de la commissures des lèvres jusqu’à la jonction des mâchoires, agrandissant de ce fait l’ouverture naturelle de la bouche.

Il lui était arrivé plusieurs fois d’avoir à recoudre des joues ainsi lésées, principalement chez des jeunes filles, et il avait toujours eu à cœur de réparer au mieux les dégâts et de laisser des cicatrices les plus fines possibles. Or l’homme qui lui faisait face présentait des cicatrices très laides, boursouflées et ondulées. Cela lui donnait un faciès particulier... un faciès de...
- Joker, souffla-t-il un peu trop fort.

- C’est comme ça qu’on m’appelle effectivement, ricana ledit Joker.
- Oh, je suis désolé, s’excusa John. Je ne voulais pas...
- Allons, allons, il n’y a pas de mal, assura Jack en agitant la main comme s’il chassait les excuses de John. J’ai bien vu que cela vous intriguez. Je dois ces charmantes cicatrices à un ami que nous avons en commun, Bruce et moi. Et mon chirurgien était un boucher... voyez le résultat.

- John est médecin, expliqua Sherlock. Médecin militaire pour être exact. Il a donc une fâcheuse tendance à s'intéresser aux problèmes de santé des gens.
- Déformation professionnelle sûrement, rit le Joker. Mais dites m’en plus sur ce calendrier... Comment fonctionne-t-il exactement ?
- Si seulement je le savais, grogna Sherlock.
- Vous avez bien dû remarquer deux trois petites choses ? Insista le criminel.

Il n’en fallait pas plus à Sherlock pour se lancer dans la description précise du calendrier et de ces effets, ainsi que des toutes ses hypothèses. Il fut ravi de trouver en Bruce un scientifique averti qui lui apporta de nouvelles propositions et en Jack un esprit créatif et retors qui en suggéra d’autres. John écouta d’une oreille la conversation des trois autres avant de s’en désintéresser totalement.

Il se rapprocha d’Alfred qui avait commencé à cuisiner et entama une discussion simple mais fort plaisante avec le majordome. Celui-ci échangea avec plaisir des souvenirs de l’Angleterre et de l’armée. Ce fut en souvenir de tout ceci qu’Alfred se lança dans la préparation de scones, spécialités anglaises, qui rappelèrent immédiatement à John l’adorable Mrs Hudson.

Se sentant soudain l’âme d’un cupidon, John entreprit de vanter les mérites de sa logeuse. Il fut ravi de constater le réel intérêt d’Alfred pour cette femme admirable. Tout en racontant diverses anecdotes sur la sexagénaire, John croisa les doigts pour qu’elle et Alfred puissent se rencontrer. Il était certain que ces deux là s’entendraient comme larrons en foire. Il laissa même à Alfred l’adresse de Mrs Hudson, tout en lui précisant qu’il n’avait aucune idée de si la lettre arriverait réellement ou pas. Alfred promis qu’il se ferait une joie d’écrire à Mrs Hudson, ne serait-ce que pour échanger des recette de cuisine, ajouta-t-il en riant.

- Oh ! Oh ! Oh ! Veuillez garder les bras bien le long du corps ! Décollage dans 10...
- Ah, c’est l’heure du départ pour nous, sourit John en se levant.
- Oh ! Attendez, prenez ça, dit Alfred en lui tendant une plateau de scones. Vous me direz ce que vous en pensez.
- 9...
- Avec plaisir, sourit John.
- Vous pouvez le garder, dit Bruce en désignant le shuriken en forme de chauve-souris que Sherlock tenait dans ses mains. J’en ai d’autres en stock.
- 8...
- Docteur Watson ce fut un plaisir de vous rencontrer ! s’exclama le Joker en serrant John dans ses bras.
Puis baissant le ton pour n’être entendu que de John il souffla :
- C’est un bien bel homme que vous avez déniché, si je n’avais pas Bruce j’aurai tenté de vous le piquer.
- 7...
Et avant de John ait pu répondre quoi que ce soit, le criminel se tourna vers Sherlock pour le saluer d’une chaleureuse accolade. Il fit un clin d’œil appréciateur à John en posant une main taquine sur le postérieur du détective, ce qui étrangement agaça John.
- 6...
- N’hésitez pas à revenir nous voir, si vous en avez l’occasion, dit Bruce en serrant la main de John. Je me ferai une joie de vous faire visiter mes entreprises.
Imitant son amant, il se pencha à l’oreille de John pour souffler :
- J’espère que Mrs Hudson répondra à Alfred. Un peu d’amour lui ferait le plus grand bien.
- 5...
Sherlock se rapprocha de John en entoura ses épaules d’un de ses bras, son autre main jouant avec le shuriken noir. John se trouva bien embarrassé avec le plateau de scones entre les mains, ne sachant comment tenir Sherlock sans faire tomber les gâteaux si gentiment offerts.
- 4...
- Donne, décida Sherlock en lui ôtant le plateau des mains.
Le plateau entre les mains, il incita John à se glisser entre ses bras, permettant ainsi au médecin de le tenir par la taille.
- 3...
- Quand je trouverai comme ce calendrier fonctionne, je vous tiendrai au courant, promis Sherlock aux deux autres.
- C’est de la magie, rétorqua John. Il n’y a rien à comprendre !
- 2...
- La magie n’existe pas !
- Tu en es encore là !!
- 1...
Le tourbillon les emporta en pleine dispute sous l’œil très amusé de leurs hôtes.

Dès leur retour, Sherlock alla suspendre le shuriken dans le sapin, en vantant les mérites à John qui se contenta de l’écouter sans rien dire. Il posa rapidement le plateau de scones sur la table et pris une assiette dans le placard. Il y déposa quelques uns des gâteaux et descendit à l’étage inférieur pour les offrir à Mrs Hudson. Celle-ci fut absolument ravie de l’attention et très curieuse quand John lui parla d’Alfred, même s’il se garda bien de préciser dans quelles circonstances il l’avait rencontré.

A suivre...

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