Break the Time

Se réveiller endolorie et avec l'impression d'être presque aussi épuisé que lorsque on s'est couché n'est pas une sensation agréable. Surtout quand on fait un rêve, on sait qu'on a rêvé et surtout on sait que c'est important, mais on ne s'en rappel plus du tout.

Et c'est avec cette sensation de merde que Harry se réveilla le lendemain, et grognant contre tout et n'importe quoi. Il n'a pas amélioré son humeur quand il s'est cogné dans le coin de la table avant d'avoir pris sont café. Café qui d'après lui avait un goût absolument merdiques mais il fallait bien se contenter de se qu'on avait.

1h plus tard heureusement pour les gens qui le fréquenterait plus tard dans la journée, il était d'une meilleure humeur. Son esprit lui avait rappelé sa victoire d'hier, le rendant très heureux, sachant qu'il pourrait bientôt rentrer.

' J'en ai presque fini ici, je dois aller rendre visite à ce cher Grindelwald et peut être empêcher un massacre. Je me demande comment ça va influencer la 1ere guerre mondial et la seconde d'ailleurs. Si je me rappelle bien c'est lors de la seconde qu'il s'est associé à Hitler.'

Contrairement à avec Dumbledore, il n'eu pas besoin de chercher le futur mage noir. Tous ce qu'il eu à faire fut de  l'appâter avec les reliques de la mort.
Il a répandu des rumeurs sur l'emplacement de la baguette qui ont rapidement atteint l'oreille du jeune sorcier qui c'est précipité à la recherche de celle-ci.

Contrairement à avec Albus, il ne fut pas gentil dans sa façon d'emmener Grindelwald. L'homme se réveilla attaché à une chaise avec sa tête très douloureuse. Harry assit en face de lui eu un sourire moqueur à la grimace de douleur de l'homme.

- Gellert Grindelwald, c'est bien ça ?, demanda Harry connaissant déjà la réponse.
L'homme en question leva vivement la tête se rendant compte maintenant qu'il n'était pas seul. Le mouvement lui attira une nouvelle pointe de douleur qui le fit gémir.
- Désolé pour le réveil douloureux, tu n'as pas vraiment voulue coopérer quand j'ai voulue te parler.
- Toi...Qui est tu, grimaça le sorcier toujours très dans les vapes.
- Harry, ravie de te rencontrer, j'ai beaucoup entendu parlé de toi. Enfin surtout dans les livres d'histoire, fini t'il avec un sourire amusé.
- Quoi? Livre d'histoire, de quoi parles-tu.
- C'est une longue histoire qui d'ailleurs commence à être embêtante à raconter. Mais pour faire court, je viens du futur et je suis là pour empêcher une guerre avec les moldus et j'en profite pour t'empêcher de devenir un seigneur des ténèbres.
- Le futur, souffla Grindelwald avec des yeux brillants d'intérêt.
- Mhm, surprenant n'est ce pas, lui sourit joyeusement Harry.
- Très, traîna Grindelwald, reprenant ses esprits. Je suppose que se seigneur des ténèbres à arrêter serait moi.
- Tu as tout à fait raison, je vais te donner deux options, tu peux soit signer un contrat pour ne jamais nuire à la populations magique et d'aider le plus possible à l'évolution de notre société. Les conditions seront plus expliqué dans le contrat ou,  tu subis le même sort que ton viel ami, Albus.

Les yeux de Grindelwald s'écarquillèrent de surprise mêlé à de l'angoisse.
- Albus, que lui a tu fait, grogna le sorcier, les yeux plissés.
- Wahou, tu tiens vraiment à lui, pas comme le dise les histoires, se moqua Harry surprit. Sais-tu se qu'il dise dans le futur, que tu l'as utilisé et manipulé, que tu n'as jamais tenu réellement à lui.
- Des conneries, cracha Grindelwald, je tenais à Albus mais il m'a repoussé, il a changé d'avis et m'a tenu responsable de la mort de sa soeur.
- Et bien, considère toi chanceux, vous allez pouvoir renouer, peut importe l'option que tu choisie, lui annonça Harry avec entrain.
L'homme n'avait pas du tout l'air rassuré de ce fait.
- Tu m'a jamais dit ce que tu lui as fait, dit froidement Grindelwald.

Harry eu un sourire carnassier qui fit frissonner Grindelwald.
- Je lui est offert le choix, il a refusé, j'ai donc du prendre des mesures un peu plus... drastique. En ce moment, Albus n'a plus accès à sa magie et n'y aura plus jamais accès si j'ai quelque chose à dire à ce sujet.
- Sa magie..., murmura Grindelwald. Comment ?, Demanda t-il entre horrifié et impressionné.
- Quelque chose du futur, inventé par un homme qui voulais éviter à sa fille une mort misérable, répondit Harry dans un fredonnement léger.
Grindelwald fronça les sourcils d'incompréhension.
- une mort misérable ?
- Mhm, il pensait qu'en faisant ça, les moldus la laisserait tranquille, qu'ils ne sauront pas que sa fille est un des 'monstre' qu'ils chassaient. Ça a marché au début, jusqu'à ce que les moldus inventé une arme détruisant la magie.
L'homme blond était maintenant horrifié.
- Mais, la magie est partout, faire ça est juste du suicide, il s'exclama.
- Bien sûr, mais ils ne le savaient pas. Les moldus nous voyaient comme une anomalie à détruire et voyaient la magie de la même manière. Pas tous mais assez pour qu'une guerre éclate.

- Au début, les choses ont marché comme il le voulait. Les sorciers, les créatures magiques, les protections, toute chose avec une magie assez forte ont commencé à ce faire vidé de leur magie, celle-ci étant détruite. 80 % de la population magique à été détruite en 1 mois. Les seuls qui ont survécu sont ceux qui avait un noyau assez puissant pour tenir le temps qu'on trouve une solution pour contré les effet de leur arme. On a réussi, mais malheureusement pour la Terre, les moldus ne savait pas que la magie traversait toute chose vivante existant sur Terre, l'arme avait juste eu un effet plus lent sur ce qui avait une magie moindre. Les moldus, les plantes, les animaux, tout à commencé à dépérir et en fin de compte, les résultats que nous on donné des expert était qu'il n'y avait rien à faire pour empêcher la fin du monde. Même les protections inventé par les sorciers commençaient à tomber. Le verdict fut qu'il faudrait maximum 10ans à la Terre pour dépérir.
À ce moment là, il restait moins de 1000 sorcier vivant sur Terre et malgré les résultat, les moldu on continué à nous détruire pensant que c'était notre fait et que nous faire disparaitre sauverait le monde.

Harry était complètement perdue dans ses souvenirs et avoir un sourire triste et amer sur le visage.
- Tu sais, même nos enfants n'était pas sauf, ils étaient attrapé et utilisé comme expérience. L'Avada était enseigné aux enfants dès qu'il pouvait magner une baguette, pour te dire à quel point le monde était foutue. Le pire était que la plupart de ces gosse en aurait l'utilité avant d'avoir 15ans, chaque enfants auraient tué au moins une fois avant même d'être adultes.

Grindelwald était pâle et sur le point de vomir. C'était horrible, absolument horrible. Dans leur peur de ce qui est différent, les moldus ont créé une arme détruisant le monde et ne se sont même jamais remis en question.

- Je...Commença Grindelwald ses mots coincé dans sa gorge, j'aimerais voir le contrat.

Harry lui glissa la feuille devant lui le laissant lire tranquillement.
- Puis-je avoir une plume, demanda le sorcier dans un murmure.
Sans un mot, Harry lui en passa, le regardant signer le contrat contraignant. Une fois son nom signé, la magie entoura le parchemin qui pris feu activant le contrat.
- Je vais t'emmener à Albus si tu veux, lui proposa Harry.
- Je, je ne préfère pas pour l'instant, répondit Grindelwald incertain.
- Comme tu veux, voilà son adresse au cas où. Tu peux emprunter la cheminer pour partir. Je serait là pendant encore un mois, donc chouette moi en cas de besoin. Après je serais partie, l'informa t-il.
- Retour au présent, essaya de rigoler Grindelwald, mais ça sortait un peu forcé. Il était toujours touché par les révélations.

Harry eu un sourire compréhensif puis répondit.
- Je dois bien aller le fruit de mon travail quand même.
- N'est ce pas?, je vais y aller maintenant, j'espère te revoir dans le futur. Dans combien de temps d'ailleurs ?
- Je suis né en 1981, lui répondit Harry.

Ils se quittèrent rapidement dernière, Grindelwald avec beaucoup de chose à réfléchir et Harry très fière de lui.

Le mois qui passa alterna entre des lettres de Grindelwald et Appoline et la préparation du rituelle de retour. Le rituel nécessitait la quantité en sang de deux corps humains. On peut dire qu'il à pris des potion de reconstitution sanguine très régulièrement pendant ce mois. Il du tracer un cercle de rituelle qu'il devait graver à la main sur le sol de pierre du sous-sol et le jour du rituel il devra remplir tous le cercle de son sang et tracer des runes sur son corps avec ce qu'il restait.

Le jour J arriva enfin accompagné d'un Harry sur les nerfs et stressant comme un fou. Il devait commencé le rituel au couché du soleil qui arriverait dans moins d'une heure.

L'heure qui passa fut la plus longue de sa vie.
Il alla se placer au centre du cercle et commença à chanter, le sang qu'il avait récolté tout au long du mois commença à descendre en quantités, s'infiltrant dans les ligne du cercle les rendant d'un beau rouge. Une fois le processus terminé, il trempa la bout de ses doigts dans le sang qu'il restait et traça les runes sur son en continuant à chanter. Petit à petit la douleur monta, empirent. Quand il eu fin de tracer les runes, il s'assit en tailleur et fini son chant, la douleur augmentait de note en note jusqu'à ce soir tel qu'il eu juste envie de se recroqueviller sur lui même. Son sang bouillonnait, chacun de ses os on commencé à craquer, se brisant et quand sa peau commença à fondre il ne pouvait plus réfléchir c'était douloureux si douloureux et pas qu'au plan physique, son âme tout entière le faisait souffrir.

Et puis c'était fini.