
Chapter 2
Chapitre 2 : changer le passé.
Il fallut presque deux jours à Harry pour reprendre conscience. Celui-ci grogna de douleur, sa tête agressé, par la lumière et les sons environnant.
- Putain de merde, où sont les potions que j'ais emmené avec moi ? Demanda t-il a voix haute et se tenant les tempes.
- J'ai dû les laisser en bas, il soupira en se laissant tomber en arrière dans le vieux canapé inconfortable, dans lequelle il s'était écroulé il y a deux jours.
Au bout de un quart d'heure pendant lequelle il souffrait toujours autant, il se décida enfin à se diriger vers le sous-sol où il avait laissé ses affaires ayant voyagé avec lui dans le passé.
Il attrapa la première potion contre les maux de tête qui passa et l'avala sans tarder.
- Oh, ça fait un bien fou, il s'exclama en se détendant un petit peu.
- J'ai besoin d'un relaxant musculaire et d'un bon bain maintenant, mais avant ça, il va falloir dépoussiérer cette maison qui d'après ce que j'ai vu est dans un état lamentable.
Et à son grand désespoir, il avait raison. Même avec la magie, il lui fallut toute la journée pour dépoussiérer la grande maison de trois étage que lui avait dégoté Hemionne. Quatre chambre, deux salles de bains, la cuisine, deux salons, une salle à manger, une petite étude et au sous-sol tous ce qui servait au ménage ou les objet inutiles.
- Je me sens vraiment fière de moi, j'ai mérité ce bain maintenant.
...
Les jours passèrent sans problème, Harry s'occupa de mettre en place quelques protections sur sa maison temporaire et joua les décorateur d'intérieur dans celle-ci. Son plus grand succès devait être le salon du premier étage qui avait une magnifique cheminéee en briques grises foncé. Les murs était de coureur gris assez clair avec la moitié basse de ceux-ci fait de bois de chêne. Devant la cheminée, une table basse tu style de l'époque en chêne aussi avec autour de celle-ci deux canapé et trois fauteuil de couleur gris foncé. La fenêtre a droite illuminait bien la pièce et une petite bibliothèque sur le mur de gauche.
- C'est décidé, je vais me reconvertir en décorateur d'intérieur une fois cette histoire de fin de monde passé, annonça t'il les mains sur les hanches et un sourire satisfait au lèvres.
Un hiboux arriva à ce moment là, le surprenant. Le pauvre hiboux se retrouva avec une baguette pointé sur lui accompagné regard mortel du sorcier qui la tenait.
Harry cligna ses yeux de surprise.
- Ho, juste un hiboux.
Le hiboux en question lâcha son paquet devant lui et lui picora la main de mécontentement.
- Oui, oui, je suis désolé, les vielle habitude reste, tu aurait pu être une bombe... Et puis merde ! Je vais pas m'expliquer à un hibou quand même, il s'exclama finalement.
Le hibou en question hulula pour protester et s'envola par la fenêtre toujours ouverte.
- Tu n'attend meme pas une réponse, Harry s'indigna.
- Le respect se perd.
Il ouvrit la grande enveloppe qui contenait des informations sur l'actualité du moment et une réponse de Gringott.
- Et bien, enfin les choses vont pouvoir avancer, il murmura pour lui même.
...
Les prochains mois se passèrent calmement et sans problèmes, Harry s'adaptait au manière de l'époque et avait avancé comme il le voulait dans ses affaires.
Il avait pris contact avec Appoline, la première fois avait été une catastrophe et la femme avait essayé de le sucer à sec. On ne peut pas dire qu'il avait apprécié, heureusement il a rapidement réussie à s'expliquer avec la vampire, celle-ci c'était vu rendre ses souvenir d'un futur qu'ils c'étaient promis d'éviter.
Il avait passé la plupart des derniers mois avec la vampire millénaire et les deux avaient bien avancé dans leurs projets.
*Juin 1913*
Ce fut en juin, le 21 que Harry alla traquer sa cible principal (C'est effrayant dit comme ça). Le plan avait un objectif principal, retarder, voir empêcher le plus possible la découverte du monde magique par les moldus et ainsi avoir le temps de se préparer si un jour ceux-ci décidé d'attaquer le monde magique.
Pour ce faire, il avait fallu découvrir la cause principale qui avait fait que leur monde avait été découvert. Après de nombreuses recherche, ce fut avec étonnement qu'ils se sont rendu compte que tout partais d'un homme seul. Un amoureux des moldus qui ne les voyait pas comme une menace et vivait dans un monde d'amour illusoire.
Si vous n'avez pas encore compris, oui nous parlons bien de Albus-bien-trop-de-nom-Dumbledore, le futur directeur de Poudlard qui deviendra un des homme les plus influents de Grande Bretagne et une voix écouté et respecté dans le monde.
Si Harry avait voué un culte à l'homme quand il était enfant, se n'était plus le cas en grandissant. Le vielle homme et ses machination avait détruit la vie de bien des gens, il était rempli de préjugés qui l'avait poussé à se méfier d'un enfant de 11ans, ce qui avait sûrement du aider au fait que l'enfant en question devienne un seigneur des ténèbres.
Ce n'est pas qu'il haïssait l'homme, mais juste que celui-ci n'aurait jamais dû d'après lui avoir tant de pouvoir entre ses mains.
C'est donc comme ça qu'il se retrouva Diagon Halley en juin 1913, attendant l'apparition d'un moment à l'autre d'un jeune Albus, venus passer un interview pour devenir professeur à Poudlard. La première base de son influence.
Harry sifflota, se baladant tranquillement dans la rue. D'après le frère de Albus, celui-ci devrait se trouver dans une auberge de Digon, attendant la date de son interview. Le jeune Dumbledore est arrivé environ une semaine avant de devoir aller à son entretien d'embauche et en passait du temps à se balader dans Diagon. Ce n'était qu'une question de temps avant de croisé l'homme dont on lui a heurseument fournie une image.
Il avait raison, il a passer les deux dernier jours à trainer dans Diagon et enfin, il a repéré l'homme roux. Il le suivit discrètement de loin au départ puis se décida à l'approcher quand il s'arrêta dans un petit bar pour prendre un verre.
Il s'installa à côté du roux devant le bar et commanda un verre.
- Un whisky pur feu s'il vous plaît, héla t-il le barman.
H
arry prit une gorgée de sa boisson et engagea la discussion avec Albus qui ne l'avait pas vraiment remarqué.
- Bonjour, dur journée demanda Harry à l'homme à l'air très fatiguée, avec un sourire engageant.
Celui-ci tourna la tête vers lui, son verre à la main et un petit sourire au lèvre.
- On peut dire ça, lui répondit-il, et vous ?
- On ne peux pas dire que j'ai eu ni une bonne ni une mauvaise journée, rigola Harry.
La discussion se poursuivit tranquillement et 2h passèrent sans que les deux ne s'en rendent compte. Le bar annonça sa fermeture, surprenant les deux hommes de l'heure tardive.
- Peut-être pourrions nous remettre notre discussion à plus tard, proposa Harry, êtes vous libre demain ?
- Oui, bien sûr, un endroit en particulier ?
Harry fit mine de réfléchir quelques secondes.
- Vous pourriez venir chez moi, nous ne serions pas interrompu par l'heure comme ça, et je pourrais vous montrer les livres et quelques uns des artefacts dont je vous ai parlé en même temps.
Voyant l'hésitation de l'homme roux, il essaya de lui donner une marge de manœuvre.
- Si vous avez un autre endroit en tête, ça me vas aussi.
- Non, non, ça me va, chez vous, 18h ?
- Ça me va très bien, voilà mon adresse. Je vous vois plus tard, le salua finalement Harry.
...
Le jour suivant passa lentement, Harry tournait en rond se demandant comment faire pour convaincre Albus d'abandonner son idée de réunirent les moldus et les sorciers sans aucune précaution.
La vérité était qu'il aurait préféré simplement le tuer, c'était plus simple et plus sûr. Ça pouvait peut-être paraître extrême, mais en vrai il avait lui même un peu de rancoeur personnel avec l'homme. De plus qu'est-ce que la vue d'un seul homme si cela empêche la destruction de toute vie sur Terre. Malheureusement pour lui, un bon nombre de personne ayant encore une moral se sont opposés à son idée, car en fin de compte il n'avait rien fait de mal à cette époque. C'était donc à lui de trouver une idée qui empêchent la guerre et ceux sans tuer l'homme qui même sans le vouloir les as affaiblie face au moldus et a fait s'écrouler le statut du secret.
Il gémit à la tâche a venir, en ayant déjà marre de devoir communiquer joyeusement avec le jeune Dumbledore.
Vers 17h45, il se calma quelque peu, n'ayant plus l'air d'être un adolescent attendant l'arrivée de son béguin chez lui pour la première fois. Rien que la pensée le fit grimacer, peut importe à quel point il pouvait être jeune maintenant, pour lui Albus Dumbledore serait toujours le vielle homme à la barde trop longue et aux robes mal assortis.
Vers 18h05, on toqua à la porte. Harry prit une grande inspiration, l'anticipation formant une boule dans son ventre, il espérait vraiment pouvoir convaincre l'homme dans son sans, sinon il faudrait l'écarter par d'autres moyens.
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J'ai pensé à m'arrêter là, mais je me suis dit, nannn, soyons gentil, en plus j'ai en vie que Harry y retourne ( devinez où).
Il alla ouvrir la porte un sourire chaleureux sur le visage.
- Salut, heureux que tu es pu venir, salua-t-il Albus.
- Bonsoir à vous, j'espère que vous avez eu une bonne journée, répondit-il joyeusement.
- Très bonne, entré, j'espère que la vôtre a été aussi bonne.
Les deux se dirigèrent vers l'étude à l'étage. Celle-ci était confortable, une cheminée sur la droite, un bureau plutôt imposant en bois de chêne foncé devant. Sur la gauche deux canapé l'un en face de l'autre avec une table basse entre eux. Et juste derrière à la gauche du bureau un meuble à étagères avec divers livres et bibelots entreposé.
Il fit signe à Albus de s'installer dans une des canapé alors que lui même se déplaçait pour prendre un livre assez gros auquel il sourit.
- Parfait, tien, voilà se que je voulais te montrer, dit-il en tendant le livre qu'il avait ouvert à un endroit précis, vers la fin.
- Que ce que c'est ? demanda Albus curieux du Titre : L'histoire des années 1300 à nos jours.
- Un livre d'histoire ?, pourquoi aurais-je besoins de lire ça ?
- Avant de parler , tu devrais regarder la section que je t'ai ouverte.
Albus le regarda d'un air septique mais acquisa tout de même.
Moins de 30 secondes plus tard, il pris une grande inspiration et commença à tourner rapidement les page suivante en marmonnant.
- La défaite du seigneur des ténèbres Gellert Grindelwald 1945, monté d'un nouveau seigneur des ténèbres, Voldemort, défaite de Voldemort 1981, renaissance de Voldemort 1994, mort de Voldemort 1997, début de la guerre avec les moldus, 2000...
Il releva la tête le fixant maintenant avec suspicion, ses mains tremblant légèrement mais toujours prêtent à atteindre sa baguette à tout moments.
- Qu'est-ce que ça veut dire ? demanda t-il aussi fermement qu'il pouvait.
- Tu l'as dit toi même, c'est un livre d'histoire, répondit calmement Harry pas du tout touché par l'hostilité du sorcier en face de lui.
- C'est impossible, ces dates ne sont pas encore arrivé, il s'exclama en se levant d'un coups.
- Asseyez-vous Mr.Dumbledore, je vais vous expliquer et pour ça j'ai besoins que vous soyez calme.
Avec réticences, le sorcier roux se rassit, gardant tout de même sa baguette en main.
- Expliquez.
- Ce livre est un livre que j'ai ramené avec moi du futur, ne m'interrompez pas, prévint t-il quand Albus ouvrit la bouche pour parler.
- Je sais que c'est dur à croire, mais bon la magie est pleine de surprises. À cause de la guerre avec les moldus, que vous avez du entrapercevoir rapidement dans le livre, le monde c'est écroulé, littéralement. D'après plusieurs experts, de toute races, le monde était condamné, d'ici une dizaine d'années, c'est à dire en 2018 environs, toute vie sur Terre aurait disparu.
- Par Merlin, souffla Albus incrédule.
- N'est ce pas, demanda Harry réthoriquement. Il donc fallu agir, il y eu une réunion entre chaque différentes espèces magique de toute nationalité, la première fois dans l'histoire que tout les chefs d'état se sont réunis de toute les espèces se sont réunis.
À la fin de cette réunion, il a été décidé qu'il fallait changer le passé pour changer le présent et le futur. Et voilà comment j'ai atterri là. Des questions ?
Albus était pâle et si Harry ne savait pas mieux, il aurait pensé que l'homme était sur le point de s'évanouir.
- Voyage dans le temps, dit-il en s'étranglant sur ses mots.
- Ce n'est pas bien, nous ne devrions pas jouer avec le temps. Ce n'est pas pour rien que les seul dispositif de voyage dans le temps autorisé soit les retourneurs de temps. C'est dangereux et pourrait provoquer des interférences ou encore autre catastrophes.
- Ça n'arrivera pas, l'interrompit Harry.
- Comment pourrais tu savoir, demanda Albus à moitié hystérique.
- Car mon futur n'existe plus, peut importe ce qui arrivera, le rituelle utilisé ne crée pas une nouvelle chronologie parallèle à la première mais détruit toute la ligne chronologie jusqu'au moment où revient le voyageur dans le temps.
- Quoi... Pourquoi autorisé ça et pourquoi remonter aussi loin. Beaucoup de gens ne naîtront jamais, tous se qui à été accompli, disparue. Tu ne vois pas à quel point c'est mal, nous n'avons pas le droit de décidé comme ça pour tous ses gens qui ont vécu et son mort.
- Je m'en fou, l'interrompit Harry froidement.
- Ce ne sont pas mes affaires, on m'a demandé de sauver le monde, je ne peux pas et sauver le monde et garder la chronologie intact.
Albus le fixa bouche bée, clairement mécontent de son raisonnement.
- Je ne comprends pas pourquoi, n'auriez vous pas pu juste revenir un peu avant la guerre avec les moldus et arriver à un accord pacifique avec eux. Après tous, si nous leur montrons que nous ne leur voulons pas de mal, les moldus pourront nous accepter.
- Nous accepter, se moqua Harry, non ce n'est pas en essayant d'arriver à un accord pacifique avec eux que nous serons accepter. Ils voudront nous étudier, prendre le pouvoir sur nous, détruire notre culture. Nous serons utilisé et marqué comme des bêtes et au moment où nous nous rebellerons, ils nous déruirons.
- Je suis sûr que...,essaya d'argumenter Albus.
- non !, Le coupa sèchement Harry, il n'y a rien à faire. Si nous voulons cohabiter avec les moldus, nous devons soit rester cacher, soit leur montrer qu'ils ne peuvent pas nous contrôler et que nous pouvons les détruirent, nous devons nous imposer pour leur montrer qu'ils ne peuvent rien nous faire.
- Mais et si les sorciers s'enregistraient et que le gouvernement pouvait contrôler nos connaissances, ça pourrait marcher, il nous verraient sur un pied d'égalité.
La rage de Harry monta en entendant ça.
- Ce que tu propose est exactement ce qui est arrivé, en essayant de faire des compromis avec eu, nous somme devenus leurs esclaves. Je ne laisserai pas l'histoire se répéter, s'exclama Harry, sa magie sortant par vague de lui.
En face de lui, Albus voulu se recroqueviller devant le pouvoir écrasant du sorcier devant lui.
Il comprit enfin à quel point il en danger et essaya de transplaner.
Harry se moqua en voyant la tentative infructueuse du roux qui commençait à paniquer.
- Ça ne sert à rien, dès que tu es rentré dans cette maison, tu était prisonniers jusqu'à ce que je décide de te laisser partir.
Albus brandie sa baguette avec l'intention d'attaquer mais celle-ci vola d'entre ses mains pour finir entre celle de Harry qui n'avait pas prononcé un mot ni sortie sa propre baguette.
Des liens magique s'installèrent autour de Albus qui se retrouva collé au canapé sans aucune liberté de mouvements.
- Laisse moi partir ! Cria t-il à Harry en se débattant sans succès.
- Je suis désolé, je ne peux pas faire ça, lui répondit Harry sans une once de remord.
- Je n'ai rien à faire avec ton histoire, je ne peux pas changer les choses, cria Albus à Harry, l'air toujours aussi calme.
- Tu te trompe, tu peux faire beaucoup de chose pour aider, et je vais maintenant te laisser le choix. Soit tu jure de ne jamais essayé de réunir les moldus et les sorciers, de soutenir nos traditions, et de tout faire pour équilibrer la magie, c'est à dire rendre plus légal les sort et rituels qui ont été dit sombre et interdit sans raison ou, je ferait en sorte que tu n'ai jamais aucune influence sur le monde magique et tu n'aimera pas ça.
- Je ne peux pas accepter la première option, lui dit sombrement Albus, donc, que va tu faire dans ce cas, me tuer.
- Nan, je vais te retirer ta magie, tu vivra comme un simple moldus, je vais te retirer la possibilité d'accéder au monde magique. Tu n'auras plus aucune influence.
- Non, murmura Albus les yeux vague, avant de commencer à se débattre violemment.
- Tu ne peux pas faire ça ! C'est impossible !, hurla Albus sur le point de faire une crise de panique.
- Je t'ai donné le choix Albus, tu as fais le mauvais.
Harry pointa sa baguette sur lui et se fut la dernière chose que vit Albus avant de s'évanouir.
- obseres magicas, murmura Harry, un sort violet profond frappant Albus au yeux écarquillés.
Harry souffla et se laissa tomber en arrière dans le canapé, épuisé.
Le sort d'enfermement de la magie avait été inventé en 2005, par un sorcier qui voulais éviter à son enfant la souffrance de vivre comme un sorcier. La magie du sorcier existait toujours, elle était juste inaccessible, rendant les sorcier ayant vécu toute leur vie avec leur magie complétement dévasté et un malaise constant tout au long de leur vie.
Grand nombre de sorciers se sont pourtant soumis au sortilège pour ne pas souffrir au main des moldus. Harry les pensaient faible, peut importe le nombre de fois où Hermione lui a demandé de comprendre.
Harry ne comprenait pas, il ne pouvait pas comprendre, la magie était son monde, elle l'avait sortie de son enfer personnel et prouvé qu'il n'était pas faible. Pourquoi quelqu'un voudrait abandonné ça.
Il soupira une nouvelle fois, essayant de se relever, grognant au manque d'énergie et à ses muscles brûlant.
Ce sortilège malgré qu'il soit simple à exécuté, demandait une énergie magique énorme selon le sorcier. Plus le sorcier dont on voulait lier la magie était puissant, plus il fallait d'énergie pour le lier et Albus Dumbledore, malgré ses nombreux défaut était puissant. Si ça avait quelqu'un d'autre, il y serait passé, mort à cause de l'épuisement magique.
- Je ne peux pas le laisser là, souffla Harry près à s'écrouler de fatigue.
Il attrapa l'homme toujours lié et transplana avec lui dans une petite maison de compagne à l'air confortable.
Il déposa Albus dans une des chambre puis se dirigea vers la salle à manger pour vérifier tous les papier déposé ici.
- Une identité, de l'argent moldus, les coutumes moldu, de quoi rattraper une éducation moldu, l'acte de propriété, une explication, et toute les autres choses. Qu'il ne vienne pas se plaindre avec ça. En plus il a assez d'économie pour les 5 prochaines années, après, il faudra se débrouiller. Quelle merde, ça aurait été plus simple de juste le tuer, fini-t-il par soupirer.
Il quitta la demeure pour revenir à son propre logement et s'écroula dans son lit, s'endormant sans attendre.