XXI
- Iris puis-je te parler s'il te plaît ?
- Bien sûr professeur Snape. Je suis mon parrain dans son bureau. De quoi voulais-tu me parler ?
- J'ai parlé avec le professeur Quirell de ton positionnement de la guerre. En ce moment il eberge, le seigneur des ténèbres et il souhaite te rencontrer Samedi.
- Laisse-moi deviner, je n'ai pas le choix d'y assister ?
- Exactement, la première année soupire.
- Très bien j'irai.
- Je t'en supplie ne l'énerve pas. Je n'ai pas envie d'avoir comme mission de te tuer.
- Je ferai mon possible, je ne te garantis rien. Tu sais comment je suis !
- C'est ce qui me fait peur.
- Ne t'inquiète pas, je serai me contrôler.
- Je l'espère, elle lui sourit et quitte la pièce.
Le reste de la semaine se passe. Et la rencontre entre Iris et le professeur Quirell avance à grand pas.
Après avoir fini son petit déjeuner et vérifier que son professeur n'est pas là. Elle quitte ses amis, les prévenant qu'elle doit rencontrer le professeur Quirell pour aborder certaines notions des cours avancés vu qu'elle était la meilleure de son année.
La rousse prend une inspiration et frappe trois petits coups à la porte.
- Entrez Miss Potter !
- Bonjour professeur ! La première année salut poliment
- Bonjour Miss Potter, veuillez vous asseoir, il désigne la chaise en face de lui.
- Merci professeur. De quoi vous voulez me parler professeur ?
- Severus m'a expliqué votre situation
- Oui et ?
- Je voudrais votre point de vue, miss Potter.
- Comme je l'ai dit, je resterai neutre le temps que je le peux, si ne peux pas le faire, je rejoins le côté obscur et en dernier recours je monterai sur le trône de la Grande Bretagne magique. Je sais que Severus vous en a parlé, je ne suis pas folle. Je ne lui en veux pas, il cherche juste à me protéger et part la même occasion à se protéger lui même. Faîtes un seul faux pas ou osez m'attaquer et je monterai sur le trône. Albus à utiliser toute sa chance en manipulant des milliers de personnes et en trahissant les autres. Vous êtes sur fine couche de glace, professeur. Si cela ne vous dérange pas, je vais aller à la bibliothèque pour faire mes devoirs.
La jeune sorcière se lève de la chaise avance jusqu'à la porte se retourne avant de quitter la pièce.
- Professeur notre rencontre était très enrichissante. J'espère professeur que notre entrevue ne va pas s'ebruiter. Il serait fort dommage qu'un accident vous arrive. Cela est si vite arriver professeur.
- Vous me menacer Miss Potter !
- Non professeur, juste un avertissement. Jamais je n'oserais menacer un professeur ! C'est vrai une petite erreur ou manque d'inattention peut avoir de grave conséquences. Et professeur avant que je ne parte, la prophétie a été enclencher par votre faute. La phrase clé de cette prédiction est il le marquera comme son égal, si vous n'aviez jamais attaqué les Potter cette nuit fatidique d'halloween, qui sait vous dirigerez peut-être la grande Bretagne à l'heure actuelle. Avec des si, nous pouvons refaire le monde. Sur cette derniere parole, la sorcière ferme la porte et part rejoindre ses amis dans la bibliothèque.
Le professeur de défense contre les forces du mal reste bouche bée devant le cran de l'enfant. Il pourrait la tuer d'un simple sort sans qu'elle ne le sache. Pourtant quelque chose dans sa magie trouve le comportement de la première année amusante. Il voyait bien pourquoi serpentard était sa maison. En classe, elle était calme, n'était pas dispersée et ne créait pas de chaos comme les autres le faisait. Il venait de voir une autre facette de sa personnalité qui lui plaisait plus. Une enfant qui était sûre d'elle et qui connaissait la dureté du monde, il n'en doutais pas.
Aussi la première année possède une magie d'une force brute qu'il n'avait jamais vu avant chez un enfant de son âge et surtout avec une telle maîtrise.
Il devait avoir à tout prix la jeune sorcière à ses côtés.
Pour l'instant, il laisse la pierre philosophale tranquille, il l'a récupéra qu'une fois l'année scolaire terminée. Elle ne le saura pas. Ce qui est caché ne peut pas tuer.