XV
POV de Severus
Je regarde le parchemin d'Iris et ce qui me surprend le plus c'est le nom du parrain qui est inscrit dessus. Je n'arrive pas à me dire qu'elle m'ai caché cela.
Le lendemain je la convoque dans mon bureau, car je sais qu'elle une heure creuse.
- Mademoiselle Potter, pouvez-vous me dire pourquoi je n'étais pas au courant du rôle de parrain ?
- J'avais peur de ta réaction et peur que tu me rejettes comme l'ont fait mes parents. Donc j'ai préféré ne rien dire et te le dévoiler quand je serai sentie prête à te le dire.
- Je ne te rejetterai jamais même si tu es la fille de ce bâtard de James tu es aussi la fille de la fille dont j'été amoureux dans ma jeunesse. Et je sais très bien que ta famille ne te traite pas bien donc veux-tu que je t'adopte et que tu passes toutes tes vacances avec moi.
- Merci professeur j'accepte avec joie, je ne sais pas comment vous remercie
- Pas besoin que tu me remercies Iris tu es ma filleule et c'est mon devoir de prendre soin de toi quand tes parents en sont incapable de le faire. Il faudra juste que nous en parlions avec Draco dans les plus brefs délais, car il mérite aussi de le savoir.
- Ne vous inquiétez pas professeur nous n'avons pas besoin de lui dire il est dernier la porte entrain de nous espionner depuis le début de notre entretien.
Mon filleul sort de sa cachette et s'assoit près d'iris.
- Iris, as-tu d'autres choses à nous dire ?
- L'élu n'est pas mon frère. Et j'ai la bénédiction des quatre fondateurs ainsi qu'Emerys, Morgana et Mordred. Et je suis aussi une descendante direct des Pendragon et des Peverell. Je pourrais réclamer les titres de ses deux nobles maison une fois mon héritage atteint. Heureusement ma famille n'est pas au courant de ce lien sinon j'en suis sûre qu'elle utilisera pour donner encore plus de pouvoir au directeur qui en possède déjà suffisamment à mon goût, elle siffle.
- Si ton frère n'est pas l'élu alors c'est qui, car cela est impossible que cela soit londubat, il manque de confiance en lui.
- Ce n'est pas un élu, mais une élue et c'est moi. Professeur avant que vous ne fassiez la réflexion je sais que je peux diriger la Grande-Bretagne, mais je n'ai pas envie d'avoir du pouvoir sur les autres. Iris nous annonce cela comme si c'est normal. Je la regarde quelque seconde. C'est vrai que sa magie est puissante pour son âge. Et surtout que ma magie veut se soumettre à elle et je sais que je ne suis pas le seul dans mon cas. Dumbledore en est fou. Il croit qu'il ne doit pas avoir de personne plus puissante que lui. S'il découvre qu'une personne le dépasse, il fera tout pour s'en débarrasser. Ce qui me fait un peu peur pour Iris, s'il découvre son héritage.
- Tu es née le premier août ? Demande Draco
- Non c'est mon frère qui est né le premier, moi je suis née le trente et un juillet à 23h59. De plus Neville est née le trente juillet. Le temps que nous sommes sur les révélations, est-ce que je peux passer les vacances chez vous professeur, mes parents m'ont renié après ma répartition. J'aurais un endroit où aller, mais puisque je suis mineur et pas émancipé et surtout c'est que cette famille de sorcière n'habite pas en Grande-Bretagne, cela pourrait avoir des conséquences. Je ne pourrai pas la protéger du maître et du directeur. Iris dans quoi tu m'entraînes ? Je reprends rapidement mes esprits pour lui répondre.
- Bien sûr Iris que tu pourras venir chez-moi.
- Merci professeur et je compte sur vous deux pour ne pas parler de mon héritage à qui que ce soit. Elle nous jette un regard noir.
- Il n'y a pas de problème Draco et moi tiendrons notre langue. Juste avant de vous libérer tous les deux, Iris de quel côté de la guerre es-tu ?
- Neutre. Je sais que sous les traits du papi gâteau du directeur se trouve être un grand manipulateur qui se bat pour son plus grand bien. Je sais qu'il cache ses vrais intention. Quant au Seigneur des ténèbres, je suis d'accord avec lui sur certains points, comme l'égalité des races et que les sorciers de sang-pur doivent rester en quelques sorte supérieur aux autres car Ils baigne dans la magie depuis son apparition. Je ne tuerait ni empêcherait les né-moldus entrer dans notre monde, ils apportent du sang neuf et cela évite trop de consanguinité. En faisant quelques recherches, j'ai découvert que les né-moldus sont en réalité des descendants de plusieurs familles de cramcols. Donc je construirait un orphelinat ou un programme d'accueil pour que ses enfants découvrent leur héritage magique tôt et qu'ils ont au moins un tuteur pour apprendre les coutumes et comment se comporter dans notre monde. Si je devais choisir un camp cela serait celui des ténèbres car avec notre directeur comme dirigeant, il n'y aurait plus aucune liberté et beaucoup trop d'oppression. Le temps que je peux rester neutre cela m'arrange.
Je ne m'attends pas à une telle réponse. Je dois parler à Quirell pour lui expliquerai la situation et j'espère qu'il l'épargnera. Je laisse les deux enfants partir pour rejoindre leur prochain cours. Quant à moi je vais trouver mon maître. Je le trouve dans sa salle de cours.
- Bonjour Quirell, j'ai besoin de parler au maître de Miss Potter. Je viens d'avoir une discussion avec elle qui a été très enrichissante. L'homme en face de moi hoche de la tête et enlève son turban. Bonjour maître, je m'incline.
- Tu veux me parler de la Potter ?
- Exactement Maître. Durant mon cours de potion, je leur ai fait faire la potion parternis et j'ai découvert que j'étais son parrain. Je l'ai convoqué pour que nous discutions de pourquoi me le cacher. Et m'a dit aussi que c'est elle l'élue, les bénédictions des fondateurs ainsi que celle d'Emrys, Morgana et de Mordred qu'elle à reçu à sa naissance et qu'elle est la descendante directe des lignées Pendragon et Peverell. Pour la guerre à venir, elle préfère rester neutre et que si elle devait choisir un camp dans l'absolu, elle choisirai le vote Maître !
- Très intéressant un Potter du côté obscur !
- Maître, elle n'est plus un Potter, c'est parents l'ont renier à la rentrée pour avoir rejoint les serpentards.
- Encore mieux, Séverus, je veux la rencontrer. Envoie la moi Samedi après le repas.
- Bien Maître, cela sera fait comme vous le désirez. N'évoquez pas son héritage, je lui ai promis de ne pas le dévoilé.
Je quitte la salle et rejoint les cachots perdu dans mes pensées. Une bonne chose, le maître ne la tuera pas. Et j'en suis bien soulagé. Comme le reste des serpentards j'ai ce besoin de la protéger et je la choisirai elle, plutôt qu'un camp.