
Réveil des sentiments
Pour ce chapitre je vous conseille les musiques suivantes:
- November ultra: ''Open arms'', ''come into my arm'', '' november'', ''the end"
- Skott: "overcome"
- Charlotte Cardin: "Phoenix", "sun goes down", "oceans"
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L'esprit embrumé, les yeux encore fermé, je me blottie contre les bras puissant qui m'enlace. Des bras... Un torse contre mon dos ? C'est agréable mais... A qui est-ce ? Je ne sais pas mais je m'en inquiéterais plus tard... J'ai encore sommeil... Je me blottie un peu plus et me laisse tomber dans les bras de Morphée... Ou de cette inconnue.
°°°
J'ouvre lentement les yeux, l'eau claire et bleu de l'océan se reflète dans la chambre, apportant avec elle une atmosphère de douceur presque touchable. Je reprends petit à petit contact avec ce qui m'entoure. Un souffle chaud se pose délicatement sur ma nuque et je remarque que deux bras emprisonne ma poitrine et qu'un torse est rivé à mon dos. Je suis pourtant sûr de mettre endormie seul... Enfin, presque sûr... Je suis pris d'un moment de panique, je tourne délicatement la tête afin de ne pas réveiller l'inconnu, tant que je ne sais pas qui sais, le fait qu'il soit endormie est un avantage. Quand je vis que cette inconnu n'était personne d'autre que Viktor, calmement endormie, son visage si près du miens que sa respiration se mêle à la mienne, mon cœur fît un t-elle bond que j'en tomba du lit, ce qui au passage réveilla Viktor. Allongé par terre, je l'entendis se déplacer sur le matelas et il laissa simplement sa tête dépasser du lit pour pouvoir me regarder.
- Bonjour Adré. Est-ce que tout va bien ? Me demande-t-il, le visage encore endormie, les yeux mi-clos et la voix rauque. Oh dieu, même au réveille il est si mignon.
- Ou-oui, je voulais juste me rafraîchir un peu sur le sol. Dit-je en plaçant mes mains derrière ma tête. Mais qu'est-ce que tu fais dans mon lit Viktor ? Et je viens de me rendre compte que je suis en caleçon... Attend quoi !
- Tu ne te souviens pas ?
- Eh bien non, pas vraiment...
- Oh... Il parût d'abord déçu pendant une fraction de seconde mais se reprit rapidement . Zeus c'est allongé et endormie sur mon lit et il ne voulait plus bouger, regarde. Expliqua-t-il en pointant son lit du doigt, je redresse ma tête pour pouvoir le voir. Il est encore dessus.
- Lui alors...
- Et tu m'a proposé de partager ton lit pour cette nuit et j'ai accepté.
- Oui, tu a bien fais, tu n'allais tout de même pas dormir par terre. Répondi-je en me levant pour m'étirer correctement avant de continué.
- Zeus ! Tonnai-je. Il se redressa immédiatement. Tu veux pas laisser le lit de Viktor tranquille, je t'es fait un lit. Dit-je en pointant le fameux lit. Ça n'est pas pour rien. La prochaine fois, viens plutôt sur mon lit ! Il baisse les oreilles de mécontentement mais descend tout de même du lit à Viktor pour s'allonger sur le siens.
- Merci Adré. Au faite, tu peux me dire l'heure qu'il est ?
- Oui bien sûr ! Je me retourne et attrape le petit réveille posé sur la table de chevet. 11H 26.
- Je vois, on ferait mieux de se lever... Mais en même temps, j'en ai si peu envie, j'ai envie de rester au lit encore un peu. Foutu lendemain de soirée.
- Oui, personnellement, je ne comptais pas me lever, donc je peux te proposer une journée à regarder des films et des séries. Je n'ai pas plus envie que toi de sortir d'ici. On peut très bien faire apporter le déjeuner ici et rester au lit puis quand le bateau remontera à la surface, on n'ira prendre l'air ? Qu'en pense-tu ?
- J'en pense que c'est une excellente idée. Mais j'aimerai quand même prendre une douche avant... Dit-il en se mordant la lèvre inférieur.
- Oui, moi aussi, ça serais pas mal.
- Tu devrais y aller en premier... Me suggéra-t-il toujours emmitouflé dans la couverture, ma couverture...
Il a d'ailleurs l'air un peu gêné, le regard presque fuyant, faisant des aller-retour entre moi et le hublot. Il rougit même légèrement ! Je ne comprend pas vraiment ce qu'il se passe avant de baisser les yeux sur mon corps et de me rendre enfin compte que j'ai une gaule matinal... En caleçon... Debout juste devant Viktor... J'ouvre grands les yeux et attrape un coussin que j'utilise pour cacher mon entrejambe tout en reculent pour atteindre la salle de bain.
- Oui oui, tu a raisons, je ferais mieux d'y aller en premier ! M'exclamai-je en claquant la porte de la salle de bain. Putain la honte... Me dit-je à moi même.
Un soupir s'échappa de ma bouche en me disant que ce genre de chose n'arrive vraiment cas moi... Je fini par laisser tomber le seul habille que je porte, met en route ma musique et entre dans la douche. Musique, eau chaude, détente... Voilà le remède parfait pour un lendemain de soirée. Je flâne sous l'eau chaude un petit moment et reste bien quinze minutes dans la douche avant de sortir me sécher.
Par habitude je tend mon bras pour attraper mes vêtement, vêtement que je n'ai évidemment pas pris. Dans ma précipitations j'ai oublié de prendre même juste un caleçon. Bon bah foutu pour foutu ! J'enroule une serviette autour de ma taille et sors de la salle de bain. De tout façon ça serais pas la premier fois qu'il me voit comme ça et puis de tout façon, après ce qu'il c'est passé... En sortant de la salle de bain, la première chose que je remarque est que Zeus est retourné s'étaler sur le lit de Viktor et il dort à point fermé. Mais je m'en inquiéterais plus tard. Je trace tout droit jusqu'à mon armoire et ouvre les portière pour mis cacher derrière. La seconde chose qui attire mon attention est le regard amusé de Viktor qui se trouve toujours sur mon lit. Il finit par se lever de mon lit etttt... Il est en caleçon aussi... Ce qui veux dire que nous avons dormie si proche lui et moi... Oh non non non, ne pense surtout pas à ça ! Merde, je vais de nouveau avoir la gaule si ça continue !
- Je vais me doucher, tu peux laisser Zeus dormir sur mon lit, il à veiller tard pour faire attention à toi. Dit-il en ferment la porte derrière lui.
J'en profite pour m'habiller d'un caleçon et d'un bas de pyjama propre puis je range un peu la chambre et lance un sort de rafraîchissement pour purifié et renouveler l'air de la chambre ainsi que dégager toute mauvaises odeurs. Je secoue mes draps avant de les vaporiser d'un produit nettoyant senteur lavandin et patchouli. Une fois fini, je m'allonge sur mon lit pour attendre. J'écoute l'eau coulé et laisse mon imagination dériver.
Viktor sous la douche... L'eau ruissellent le long de son corps... Le savon glisser sur son torse bien dessiné... Ses mains frottant chaque partie de son corps... C'est moi ou il commence à faire chaud ici ? Ça fais dix minutes que Viktor est sous la douche et l'eau coule toujours, je ne pense pas qu'il soit décidé à sortir maintenant. Je pourrais peut-être... Enfin est-ce que sa serais mal ? ... Non, je pense pas... Je me lève pour verrouiller la porter mais étrangement, elle l'est déjà. Je retourne donc m'allonger sur mon lit et glisse ma main le long de mon corps, de mon torse, jusqu'à attendre mon entrejambe déjà durci par tout les pensées qui traversent mon esprit. Est-ce que c'est mal de penser à lui ? Mais c'est si bon... Quand je vois son corps si parfait, quand je le vois lui, en caleçon, dans mon lit, quand je vois son âme qui fait vibrer la mienne de toute son essence... Comment je peux m'en empêcher. Malgré la vaporisation, son odeur de vanille est de partout sur mes draps... Je commence à mouvé ma main de haut en bas alors que son odeur emplie mon esprit, m'enivre et que son corps éveille de plus en plus mon désire. Je courbe sous l'effet du plaisir, serrent mes draps de l'autre main. Et l'eau continue de couler, dans mon imagination, ses mains ce promène sur mon corps chaud, d'abord sur mes mollets puis remonter doucement jusqu'à mes cuisse, s'arrêter sur mon bas ventre. Sa bouche embrasser chaque centimètre de mon cou, me laissant complètement à la dérive, à sa merci. Son corps onduler contre le miens, le sentir proche de mon corps, de mon âme. Et l'eau continue de coulé, mes mouvements s'intensifie et le plaisir avec, je pince mes lèvres pour qu'aucun son ne franchise la barrière de ma bouche. Tout ces images paraissent tellement réel... Les frissons de nos peau en contact... Les lèvres sucrés de Viktor... C'est comme un souvenir de sensation laissé caché dans le noir... L'eau continue de coulé et je continue de penser, de me perdre dans les méandres d'un rêve oublié jusqu'à ce que le plaisir devienne si intense et que toute l'eau à perlé dans mon esprit que mon plaisir atteint son paroxysme, Viktor dans mes pensées. Je courbes de nouveau le dos sous les assauts de plaisir qui résonne dans ton mon corps avant de me laisser tomber sur le matelas, respirant lourdement ? J'essuie mon torse avec des mouchoirs et les jettes à la poubelle. L'eau c'est arrêté de couler. Je me rallonge torse nu sur mon matelas, la respiration légèrement saccadé, l'esprit encore embrumé et le visage tourné face au plafond.
- Est-ce que tout va bien ?
Je sursaute à l'entente de la voix de Viktor et me redresse en paniqué.
- Hein ? Oui oui tout va bien ! Pourquoi ça n'irais pas ? Tout le monde va bien ! J'ai rien fais et surtout rien de mal alors pourquoi ça n'irais pas ! Non rien n'a étais fais ici ! AHAH. C'était pas du tout bizarre ça Adré... Super !
- Oh je vois, si tu le dis. Comme tu respirais un peu fort je me suis dit que tu avais peut-être un problème.
- Quiiiiiii ? Moiiii ? Pfff nonnn, personne n'a de problème ici, personne ne respire fort ! Tu t'enfonce mon vieux.
- Si tout va bien alors. Il se dirige vers son armoire et choisi un pyjama... Enfin seulement le bas, qu'il enfile immédiatement.
- Tu n'a pas faim toi ? Parce que moi si. Ça te dis que l'on nous fassent apporter à manger maintenant ? Me proposa Viktor en s'approchant de moi.
- Si, maintenant que tu le dis c'est vrai que je crève la dalle. ''Ça c'est clair'' pensai-je avant de me gifler mentalement.
- D'ailleurs comme Zeus a élu domicile sur mon lit, je me disais que je pouvais rester dans le tiens pour l'instant et puis ça sera bien plus facile pour regarder un film ou une série.
- Oui, bien sûr que tu peux. Installe toi, moi je m'occupe d'appeler un ami. Je vois dans son expression qu'il n'a pas bien compris mais il ne me demande rien et s'installe dans mon lit. Je donne trois coup de baguette sur le bois puis de nouveau trois et mon ami apparaît.
- Hey Zoldi ! Comment vas-tu aujourd'hui ? Demandai-je en tendant ma main vers l'elfe qui venait d'apparaître et qui s'empressa de taper dedans.
- Oh bonjour M. Adré, merci merci de vous inquiéter de l'état de Zoldi ! Zoldi va bien, même très bien M. Adré ! Qu'est-ce que Zoldi peut faire pour vous aujourd'hui M. Adré ?
- Mais c'est tout à fais normal Zoldi que je m'inquiète de savoir comment tu vas, nous sommes ami après tout ! Zoldi bomba le torse de fierté en hochant la tête. Si mignon ! Est-ce que sa serais possible que tu nous apporte deux plateau repas s'il te plaît Zoldi ?
- Oh oui M. Adré ! Je m'étonnais de ne pas vous avoir vu avant... C'est comme si c'était fait ! Puis il claque des doigts et disparaît aussi vite qu'il est arrivé. Quelque seconde plus tard, deux repas apparaisse sur les tables de nuits. Merci Zoldi, t'es le meilleur. Dit-je a vois basse.
- Tu es ami avec un elfe de maison ? Me demanda Viktor surpris par cette échange avec Zoldi.
- Évidemment, je le connais depuis ma première année à Durmstrang. Et pour ma part, je pense que les elfes sont des être tout aussi méritent que n'importe lequel des sorciers ! Affirmai-je avec conviction.
- Adrénadiel Univers, tu ne cessera jamais de m'étonner. Dit-il avec un regard doux. Je le regarde en retour avec un air un peu confus par ce qu'il vient de dire. Et si nous mangions ? Termina-t-il en s'asseyant sur mon lit.
- Ou-oui, faisons ça. Marmmonai-je toujours confus. Mais passons à autre chose. Je m'assois à côté de lui et me tourne légèrement pour le regarder. Je met en route la série maintenant ? Enfin il y a une série que j'avais envie de regarder, je me suis dit qu'on pourrait la commencer ensemble.
- Oui, parfait ! Tu peux la mettre !
Je me retourne vers ma table de nuit et me penche pour atteindre le tiroir et attrape mon ordinateur qui si trouve puis me rassois correctement. Je l'allume et entre le mot de passe. C'est une invention des moldus, très très ingénieux ! Évidemment, les sorciers l'on amélioré pour en faire un mélange de magie et de technologie. Alors même que les ordinateurs des moldus doivent rester fixe et ressemble à des gros bloques, ce des sorciers peuvent être utilisé n'importe où et non pas besoin d'être branché puisque qu'il fonctionne à l'énergie crystallin ! Une fois que l'ordinateur est déverrouillé je clique sur un site de streaming et vais directement sur la série.
- La série s'appelle ''The Oa''. C'est bon ?
- Je suis prêt, tu peux la mettre en route !
1 (je vous conseille fortement la musique "Open arms" de novembre ultra pour ce passage)
J'appuie donc sur play, attrape mon plateau et m'assis correctement après avoir placé l'ordinateur.
L'épisode défile et nos plateau se vides petit à petit. Bientôt il ne resta rien de notre repas et une fois terminé, les deux plateau disparurent, je sais que c'est un coup de Zoldi pour nous éviter le déplacement jusqu'en cuisine ! Merci Zoldi ! Ils ne nous reste plus cas bien nous installer et profiter de n'avoir rien d'autre à faire que rester dans nos lit ! Je suis très vite emporté par cette série, elle est super intéressante. La suite de la série est prometteuse. L'épisode un se termine et Viktor et moi décidons sans hésiter de lancer l'épisode deux.
2
Un début d'épisode intriguent, je m'enfonce un peu plus dans mon lit, je sais que je vais adorer cette série, Viktor à l'air de l'aimer tout autant que moi ! Durant tout l'épisode, je suis tellement concentré sur ce qu'il se passe que je ne fais plus attentions à ce qui m'entoure. Ce n'est cas la fin de l'épisode que je remarque qu'inconsciemment je me suis rapproché de Viktor, ou peut-être est-ce lui ? Quoi qu'il en soit, je ne dis rien car ça ne me déplaît pas et d'un accord mué, je laisse l'épisode trois commencer.
3
Nos épaules se frôlent, parfois je sens ses mouvements, s'avançant millimètre après millimètre, il est un peu plus près de moi. La foudre tombe, sentiments électriques dans l'estomac, mon cœur bat. Peut-être qu'il glisse ? Je ne sais toujours pas. J'essaie de suivre l'épisode mais chaque nouveau contact de la peau nu de Viktor contre la mienne me rappelle qu'il est si près de moi, ce qui rend la tâche compliqué. Impression d'une pluie de papillon. Puis Viktor c'est levé pour aller au toilette, je lui demande de l'eau au passage. Je suis un peu déçu d'avoir perdu ce contact qui fait vibré mon être tout entier. Quand Viktor reviendra il se replacera probablement correctement. Mais au final, rien n'a changé, quand il est revenu, il c'est assis comme avant qu'il soit partie. Un fin sourire se dessine sur mon visage, et la fatigue commence à posé un voile sur mes yeux. Je me rend compte que j'aime l'avoir près de moi, j'aime ressentir les frissons de sa peau contre la mienne. L'épisode trois se termine mais la foudre elle, frappe toujours plus fort.
- Le bateau ne devrait pas tarder à remonter à la surface mais je pense qu'on a le temps pour encore un épisode. Je suis devenu totalement accros à cette série ! S'exclama Viktor en tournant sa tête vers moi.
- Oui moi aussi ! Dis-je en faisant pareille. Totalement... Accro...
Ses yeux encré dans les miens, sa respiration se mêle à la mienne, nos visage si près, sa peau collé a la mienne... Autant d'éléments qui font cas ce moment là, tout s'effondre autour de moi et deux chose sont certaine : J'aime cette homme, je l'aime et c'est certain mais... J'ai peur. A cette pensée, je détourne la tête et mon cœur se pince.
- Remettons la série en route alors... Dit-je en appuient sur play.
- Oui faisons ça... Murmura-t-il simplement.
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L'épaule de Viktor est totalement contre la mienne et ça main rencontre parfois la mienne. Chaque frôlement me donne un peu plus envie de serrer sa mains dans la mienne et je ne peux m'empêcher de me répéter que ''j'aime cette homme'' c'est instant parfait, magique, seul le son de la série se fait entendre dans cette atmosphère bleu océan, sa respiration me berce et me laisse flotter entre mer et ciel comme si la vie n'étais qu'un rêve, un doux rêve. Mais ses doigts posés contre les miennes me ramène à la réalité. Je me sens calme et détendu, comme ces eau, profond mystère qui nous entoure. Je suis perdu dans les limbes de la réalité, en sécurité, comme si j'étais enfin chez moi. Quelque minutes après le début de l'épisode, je sens un poids se déposer délicatement sur mon épaules, un souffle lent caresser mon cou. Il c'est endormie. Je le regarde d'un air doux, je fais attention à ne pas trop bouger et me laisse absorber par la profondeur de sa respirations chaude qui s'échoue sur mon cou comme une vague qui s'efface au bord de l'océan. Et bercé par le monde, mes yeux se ferme un peu plus chaque seconde. Les limbes se sont transformé en labyrinthe, perdu entre rêve et réalité, je laisse flottais ma tête jusqu'à se posé sur la sienne et je ne combat plus le sommeil. Le bleu océan se reflet sous mes yeux clos et je coule doucement dans les bras de l'océan. Endormie auprès de celui que j'aime... Je l'aime... aimer...
°°°
Un bruit tonitruant me sors de mon sommeil, quelqu'un frappe à la porte. Je relève la tête, les yeux mi-clos, Viktor se reveille à son tour, il s'étire, me regarde et me souri.
- Tu sais que tu es la chose la plus confortable sur la qu'elle il m'est été donné de dormir ? Me dit il tout sourire.
- Oh donc je suis une chose ?
- Quoi ! Non, c'est pas ce que-
- Ça va Viktor, je rigole. L'interrompai-je en souriant alors qu'il commençait à paniquer. Et puis, je peux te retourner le compliment.
Les coup à la porte qui s'était fait silencieuse me les faisant oublier au passage, reprirent de plus belle, aussi intensément que la premier fois.
- Quelque chose me dit que c'est pour toi Adré. S'amusa Viktor.
- Et tu ne sais même pas à qu'elle point tu à raison Viktor. Confirmai-je en me levant pour aller ouvrir la porte. Je me place sur le côté, déverrouille la porte et ouvre en grand. Comme prévu Abraxi entra dans la chambre comme la tempête qu'il est.
- Adrénadiel Gideon Univers ! Ça fait 5 minutes que je toc ! Est-ce que tu te fou de mmmmm ooooh Viktor. Bonjour.
- Bonjour Abraxi. Souri Viktor qui s'attendais exactement à la même chose que moi.
- Mais, où est Adré ? Viktor me pointe du doigt et Abraxi se retourne vers moi, qui depuis le début attend à côté de la porte.
- Bonjour à toi aussi Abraxi, c'est un plaisir de te voir aussi calme aujourd'hui. Ironisai-je en ferment la porte et en allant m'asseoir sur mon lit.
- Adré ! Hey, j'espère que je dérange pas !
- Pour ça, c'est trop tard, mais c'est pas grave. Répondis Viktor en me faisant un clin d'oeil. Je vois exactement où il veut en venir et j'adore l'idée .
- Qu-quoi ? Dit-il en me regardent de nouveau.
- Disons que nous n'avons pas ouvert pour une raison. Expliquai-je alors alors que Viktor remonta un peu plus la couverture sur son torse nu et souri à Abraxi, geste qui ne lui échappa pas.
- Attend... Abraxi devint tout rouge et ouvrit grand les yeux. Son expression était tellement inhabituel et si ridicule que s'en étais trop pour moi et j'explosai de rire.
- On rigole Abraxi ? Détent toi ! On dormait juste ! M'exclamai-je en pointant du doigt le lit à Viktor encore occupé par Zeus. Regarde qui à kidnappé le lit à Viktor. Abraxi poussa un soupir de soulagement.
- Oh par Merlin merci ! Vous êtes tout les deux des sales con ma parole ! A la base j'étais juste venu vous dire que le bateau était remonté, mais puisque c'est comme ça je vous le dirais pas ! ... Eh merde ! Bah j'me casse voilà ! S'écria-t-il en claquant la porte de la chambre. A la seconde ou la porte se ferma, Viktor et moi éclatons de rire.
Je ne l'avais pas remarqué avant qu'il ne le dise mais c'est vrai que le bleu profond de l'océan à laissé place au rayons du soleil qui emplissent désormais la chambre d'une douce chaleur.
- Mais il à raison, on devrait monté et je rejoindre maintenant. Dit-je en récupérant un haut. Zeus ! Réveille toi mon beau, on va prendre l'air.
Zeus se leva immédiatement tout excité à l'idée de sortir et de profité du soleil. Viktor lui pris un peu plus son temps pour sortir du lit. Après le passage d'Abraxi, la chambre est resté silencieuse, mais pas le genre de silence qui te met mal à l'aise, non, un silence tranquille, calme même apaisent, un silence de deux personne à l'esprit serein qui veulent garder la magie d'un instant un peu plus longtemps. Un silence agréable durant le qu'elle Viktor et moi nous préparions pour monter.
Cinq minute plus tard Zeus, Viktor et moi étions prêt et déjà en marcher vers le pont que nous avons très vite atteins. La plupart des élèves flânaient déjà sous les rayons du soleil très apprécier, ils discutaient et rigolaient.
- Viktor, Adré ! On ne vous attendez plus ! S'exclama Marlo en s'approchant de nous. Ça fait déjà 30 minutes que le bateau est remonté, il ne reste plus qu'une heure, pas moins pas plus d'après le dirlo, j'ai bien cru que vous n'arriveriez jamais ! Termina-t-il en se plaçant entre moi et Viktor, mettant son bras autour de mes épaules. Je ne comprend pas vraiment ce geste, c'est pas comme si nous étions devenu les meilleur ami du monde en une soirée, si ? Quoi qu'il en soit, ça ne me dérange pas plus que ça alors je ne dis rien.
- Adré ! Comment ça va après la soirée d'hier ? Tu étais on fire, j'comprend mieux le fameux surnom en France !
- Que veux tu, j'aime danser ! Ça va plutôt bien, j'ai pue me reposer et toi ?
- Ça va ouai, très bien même. Dit-il en me souriant d'une manière que je ne saurais décrire.
Enfaite peu importe, je voudrais retourner parler à Viktor mais lorsque je me retourne pour lui parler, il a disparut. Quand est-il parti ? Bon pas grave, je lui parlerais plus tard. Pour l'instant ma priorité est Zeus.
- C'est pas que je ne veux pas rester discuter avec toi Marlo mais je vais aller jouer un peu avec Zeus, il faut qu'il se dégourdisse un peu les jambes et visiblement moi aussi.
-Bah super ! J'peux me joindre à vous ?
- Bien sûr, plus on est de fou plus on rit ! Di-je en me retournant pour appeler Zeus qui renifle par si et par là des caisses qui se trouve sur le pont.
A l'entente de son prénom, Zeus accoure vers nous et Marlo recule instinctivement à l'arrivé de Zeus.
- Bah alors Marlo ? On a peur d'une grosse bébête ? Je pensais pas que tu te laisserais si facilement impressionner ! Le taquinai-je un peu.
- Moi peur ? Ah ah tu sais à qui tu as à faire là ? Dit-il en reculant encore un peu alors que Zeus s'avance. Bon d'accord peut-être un peu. Mais c'est plus une bête qu'une bébête ton Zeus. Putain il me dévore quand il veut je suis sûr. Je rigole à ses paroles et m'assis à côté de Zeus.
- Mais non, l'écoute pas mon trésor, tu est très beau et très mignon ! Chouchoutai-je Zeus avant de me retourner vers Marlo. Et sache pour ta gouverne que Zeus ne mange pas d'humain, enfin pas les gentils en tout cas. Rigolai-je en lui faisant un clin d'oeil. Aller vient par là, je reste à côté de toi promis. Dit-je en allant lui attraper la main pour l'approcher. Zeus, tu peux t'asseoir aussi s'il te plaît ? Il s'assit simplement et j'approche doucement Marlo et on s'assoit face à Zeus.
Marlo tend la main vers Zeus pour le caresser mais s'arrête à mi-chemin. Je soupir et lève les yeux au ciel.
- Seigneur ! Je pose ma main sur la sienne et le pousse vers Zeus jusqu'à ce qu'elle se pose sur le haut de la tête à Zeus et toujours ma main sur la sienne je la bouge de façon à ce qu'il caresse Zeus.
- Oh whoua, il-il est tout doux ! Dit-il en riant. C'est incroyable ! Poursuit-il en se tournant vers moi un grand sourire sur les lèvres.
Zeus profite de se moment d'inattention pour lui lécher tout le côté du visage, ce qui me fait énormément rire. Lui un peu moins. Au final je me rend compte que Marlo se donne des air de mec dure mais c'est juste un gentil garçon. Je fini par lui rend son sourire. Quand je remarque que ma main et toujours sur la sienne, je la retire immédiatement et m'excusai-je simplement avant de me concentrer de nouveau sur Zeus.
- Non c'est rien, t'inquiète... Mon pote.
Après ça nous avons joué avec Zeus et aucun autre événement de ce genre n'est survenu, au contraire ! On a bien rigolé. Abraxi et Viktor ont totalement disparu mais ça ne m'a pas empêché de passer un bon moment . Marlo est un jeune homme intéressent, plus que ce qu'il montre, ça c'est sûr. Puis le bateau est a plongé et j'ai dit au-revoir à Marlo qui est parti rejoindre sa bande. Peut-être que Viktor est avec eux ? Je me demande pourquoi il est parti comme un voleur... Quoi qu'il en soit, je m'apprêtais à retourner dans ma chambre quand, de nulle part, Abraxi est réapparue.
- Adré ! Et si on n'aller discuter ? Tu sais entre meilleur ami.
- Oui, viens on va dans ma chambre. Répondis-je un peu frustré qu'il réapparaisse que maintenant avant d'appeller Zeus. Viens, on y va. D'ailleurs Abraxi, tu ne saurais pas où est Viktor ? Il a disparut exactement comme toi. Dit-je exaspéré mais pas vraiment en colère, après tout je ne suis pas leur tuteur, j'aurai juste aimé qu'on me préviennent. ''Karma'' résonna une petit voix dans ma tête. Bon d'accord c'est vrai.
- Nop, on a passé un moment ensemble puis il est parti d'un, coup sans donner d'explication. En parlant de lui explique moi ce qu'il se passe entre vous exactement. Et ne me dis pas ''rien'' parce que, vous êtes super proche, vous dansé ensemble, vous dormez ensemble. Et tout à l'heure je l'ai clairement vu à moitie nu dans ton lit ! Me dit-il alors que nous commençons à marcher en direction de ma chambre, Zeus à nos côtés.
- C'est vrai, tu a raison, il se passe quelque chose. Du moins de mon côté oui mais je ne suis pas encore prêt à totalement l'accepter, j'ai besoin de temps. Je ne suis sûr de rien, je ne suis même pas sûr de moi et j'ai peur Abraxi. Je ferme les yeux une seconde et respire un grand coup. Je refuse, je refuse tu comprend.
- Adré... Je, je pensais pas que- Si tu te sens pas prêt alors ne te précipite pas.
- Mais il y a une chose dont je suis sur Abraxi.
- Quoi ? S'empressa-t-il de demander.
- Cette fois je n'abandonne pas, cette fois je serais fort. Des images défile dans ma mémoire et mon cœur se serre. Mais je veux être plus fort que ça, je suis plus fort que ça. Il ne me laisse pas indifférent, il m'intrigue, il m'attire, il me plaît. J'adore l'écouter parler et apprendre toujours plus de lui et j'adore qu'il s'intéresse à moi et je vais me battre pour ça.
- Je le savais ! Depuis le début j'en étais sur ! S'exclame-t-il se qui a pour effet de me faire sourire. Je suis avec toi Adré, quoi qu'il arrive. Quoi que tu décide de faire, je serais toujours ton soutiens et tu sera toujours le miens. Mais et lui, tu ressent des signaux de sa part ? Qu'elle question, évidemment que oui. Répond-t-il à sa propre question.
-Honnêtement, je ne veux pas me faire d'illusion, tu comprend. Et surtout, surtout je veux être sûr de à qui j'ai à faire, c'est plus fort que moi pour l'instant je peux pas.
- Oui, moi je sais, mais lui non alors fais lui comprendre Adré. Quand tu sera prêt tu le sera. Bon mais tout ce que je retiens c'est que vous avez pas couché ensemble... Bizarre, j'vous aurais donné deux jours max dans la même chambre. Dit-il en rigolant et je lui cogne l'épaule en rigolant à mon tour.
- Non c'est la cas, mais je t'avoue qu'il me donne chaud trop souvent, le voir en caleçon tout droit sortie de la salle de bain, t'aurai vu son cul... Un truc de dingue !
- Oh oui j'te comprend, Viktor a un corps incroyable. Ça doit être si dure au quotidien... Ah non excuse moi ça fait que deux jours qu'on est sur le bateau. Dramatise-t-il en haussant les sourcils deux fois. En fait c'est juste toi t'a le feu au cul dans la même chambre que ton béguin. Murmure-t-il dans mon oreille sourire au lèvres et pour la deuxième fois en moins de dix minutes, je lui cogne l'épaule.
- Mais ferme là ! C'est clairement pas drôle ça ! M'exclamai-je sans aucune crédibilité dans ma voix. Et toi alors, je ne sais même pas avec qui tu partage ta chambre.
- Je suis avec Leon Barnier, un mec plutôt cool et on s'entend bien. A part ça rien de nouveau tu sais mais eh, ne change pas de sujet ! C'est de toi qu'on parle ! Plus sérieusement, c'était quoi ce truc avec Marlo ? Vous êtes pote ou un truc dans le genre ?
- Je suppose que oui, c'est un bon gars et puis il serait peut-être temps que j'élargis mon cercle d'ami, tu crois pas ?
- Quoi ! Blaspheme ! Hérésie ! Je n'te suffis donc plus ! Mais qui êtes-vous et qu'avez-vous fait à mon ami ! S'exclame-t-il, mais je sais qu'au fond il est content.
- Roh toujours dans l'extrême ! Ça va j'ai dis que je voulais faire de nouvelle rencontre, tu sais très bien qu'il n'y aura toujours que toi. Dit-je d'un ton mielleux en lui faisant un clin d'oeil.
- J'espère bien ouai ! Non, je suis content pour toi et je te soutiens à fond bien sûr.
- Oui je le sais, merci pour tout Abraxi, je te le dis pas assez souvent. Tu sais que je suis là aussi. Quoi qu'il arrive.
Il me sourit comme simple réponse mais ça me suffis. Je mesure bien toute la chance que j'ai de l'avoir. Mais pour l'heure, je profite du moment parce que il est important, ça n'en a pas l'air mais c'est le cas. C'est le genre de moment rare avec Abraxi ou on peut ressentir toute l'amitié qu'on a l'un pour l'autre, qu'on partage juste nos sentiments, des moments juste à nous, deux frère sans le même sang.
- Je pense que Viktor t'aime bien, même beaucoup.
- Qu'est-ce qui te fait dire ça ?
- Mmmh le faite que je l'ai trouvé à poile dans ton lit ? Juste comme ça hein ! Dit-il en riant.
- Pfff t'es con toi ! Riai-je à mon tour.
- Non plus sérieusement, je l'ai vu dans la façon qu'il a de te regarder. Comme si il voyait plus loin en toi que n'importe qui, comme si il pouvait toucher ton âme. Ça me rappelle la façon dont Chloé regarde Stephen.
- Oula, j'ai du soucis à me faire alors ! Plaisantai-je pour masquer le sourire naissant sur mes lèvres et la foudre dans mon ventre.
- En tout cas, pour ce que sa vaux, je connais Viktor depuis quelque année maintenant et, tu peux lui faire confiance crois moi.
- Merci Abraxi. Dit-je sincèrement.
- Va, c'est normal entre ami, pas vrai ? Bon c'est ici que je te laisse. C'est ma chambre.
Je n'avais pas remarqué que nous étions déjà là. Je pris Abraxi dans mes bras et il fît de même. Avec Abraxi, nous sommes très tactile et les démonstration d'amour ne se font pas rare. Après l'embrassade, il est entré dans sa chambre et je repris la route pour aller dans la mienne. Je mis très peu de temps à arriver à ma chambre. Zeus toujours à mes côté. Lorsque j'ouvris la porte, je vis immédiatement Viktor endormi sur mon lit. Pourtant son lit est vide... Puisque Zeus était avec moi. Je me décale pour le laisser passer puis ferme la porte derrière moi. Je me suis dis que je pourrais faire prendre une douche à Zeus, j'en profiterais pour me rincer comme j'ai beaucoup transpiré. Je prend donc un bas de pyjama propre puis emmène Zeus dans la salle de bain ou je pose mes affaires. Je pense bien cette fois ci à prendre un caleçon propre, je ressors donc de la salle de bain pour le récupérer mais je m'arrête à côté de mon lit et tourne mon regarde vers Viktor. Il est si calme, si beau. Il dort profondément, là où rien ne peut l'atteindre. Là où même les étoiles danse pour toi. Je ne sais pas combien de temps je suis resté à le regarder, regarder sa pureté, sa bonté. ''Un peu flippant le mec'' me dit-je à moi même me faisant un peu rire. Mais c'est comme magnétique, je suis indéniablement attiré par lui, comme un papillons qui cherche la lumière. Par exemple, je pourrais l'écouter parler pendant des heures, je pourrais le regarder pendant des heures, dessiner les courbes de son visage, de son corps, le frôler du bout des doigts, frôler le paysage que son monde m'offre, plonger dans les eaux les plus profondes de son esprit, juste l'admirer, lui, seulement lui. Mais je ne voudrais pas le tirer de son paradis alors je repris simplement le cour de mon chemin. J'attrape mon calçons et fil à la douche. Je fît d'abord entrer Zeus puis j'entra à mon tour. Il est vrai que la douche est très grande, alors nous n'avons pas eux de mal à entrer à deux. Je me suis un peu amusé avec Zeus, l'éclaboussent et le gratouillent plein de savon. La douche aura bien duré vingt minutes. Un sort de chaleur pour sécher Zeus et je lui ouvre la porte pour qu'il puisse se balader librement dans la chambre et que je puisse me sécher à mon tour. Je m'habille de mon calçons et de mon bas de pyjama propre, je sors de la salle de bain et vais m'installer dans mon lit. Je remonte la couverture jusqu'à mes épaules et ferme les yeux. Je n'ai que le temps de sentir des bras m'enlacer avant de sombrer de nouveau dans mon paradis.