Moi sorcier ? Peut-être pas !

Harry Potter - J. K. Rowling
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Moi sorcier ? Peut-être pas !
Summary
Un jeune sorcier de Durmstrang se rend au tournoi des trois sorcier à Poudlard mais les dragons ne sont pas la seul chose qu'il va devoir affronter durant cette année particulière.
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Une arrivée en douceur

Pour ce chapitre je vous conseilles les musique:

- Blue motorbike - VCTRY "black magique woman" - oneheart "snowfall"-Charlotte Cardin "Sun goes down" - mehro "chance with you - stuck in a moment you can't get out of - thrapie TAXI "été 90"- R.City "locked away" -basshunter "Now you're gone"

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Les derniers jours sur le bateau sont passé à une vitesse folle. Après ce fameux jour où Viktor et moi avons dormi ensemble, notre relation a évolué mais rien de plus ou de nouveau ne c'est produit. Et nous voilà, le vendredi 1er octobre, dans 1h à peu près nous serons à Poudlard. L'excitation est à son comble et l'envie de revoir mes amis se fait de plus en plus grande ! En se moment je suis sur le pond avec Zeus, Abraxi et Viktor. On discute, on rigole, en bref on fait passer le temps comme on peut ! Je profite aussi un maximum de Zeus car il ne fait aucun doute qu'une fois arrivé sur la terre ferme, il s'en ira à la conquête de ce nouveau territoire.

Très vite nous sommes arrivé au château ou tout du moins sur les rives, enfin pour être précis, sous les rives. Le directeur nous a tous réunie dans la grande salle du bateau.

- Dans une dizaine de minutes, le bateau remontera à la surface et vous rencontrerez les élèves de Poudlard et de Beaubâton ainsi que leur directeur respective. Mme. Olympe Maxime et le grand Albus Dumbledore. Je ne tolèrerais donc aucun écart de comportement de votre part. Il est hors de question de déshonorer le nom de Durmstrang tant que je serais directeur. Aussi j'espère que vous profiterais de cette année pour en apprendre plus sur la magie, les pratiques des autres mais aussi sur vous même et votre propre identité et je vous encourage à forger des amitiés solide car dans les moments les plus sombre de vos vie, une amitié pourra toujours vous sauver. Bon, maintenant que cela est claire, nous pouvons faire remonter le bateau.

Le discourt du directeur terminé, nous nous sommes tous dirigé vers la passerelle. Dehors la nuit commençait déjà à tomber pourtant, je pourrais facilement me mettre en t-shirt ici. Ça n'a rien n'avoir avec le grand froid de Durmstrang. Dans la nuit, le château de Poudlard se dessine à travers l'obscurité. Il doit faire au moyen deux fois la taille de Durmstrang ! Si je devais le décrire je dirais que la château a un style gothique, de hautes tours s'élever entre les bâtiments et des centaines de fenêtres d'où s'échappe la lumière donne l'impression d'un lieu chaleureux. Nous avons monté des escalier puis marché sur un chemin de pierre avant d'arrivé devant deux portes en bois massive, des portes énorme, les portes du château. Un étrange vieux monsieur tenant un chat dans ses bras nous attendait devant. Le dos vouté, le visage pâle et fin, une calvitie mais les peu de cheveux qui lui reste sont long, au moins jusqu'en dessous de ses épaules. Il se présenta comme un certain M. Argus Rusard et sa chatte Miss Teigne. Ils nous conduisis à travers les couloirs de Poudlard. Mon dieu il serait si facile de se perde dans cette immense château mais les couloirs son somptueux. Des gravures sur tout les murs fait de pierre taillé, des torches pour éclaire ces grand espace, des tableaux magique accroché de partout ! Chaque couloir est une découverte ! Nous avons fini par atteindre la grand salle de Poudlard. Les portes de cette salle sont presque aussi grande que celle de l'entré du château. C'est assez impressionnant. Ça laisse imaginer la taille de la salle ! Derrière, on peut entendre le directeur de Poudlard parlait, de quoi, je ne sais pas mais il parle ! Et se qui doit sûrement être des centaines d'élèves. Mon dieu qu'ils doivent être nombreux. Jusque là, je ni avais pas fait attention mais les élèves de Beaubâton sont présent aussi. J'essaye de trouver Amélie parmi les élèves mais sans succès. Puis les portes s'ouvrient et les élèves de Beaubâton ainsi que leur directrice entrèrent. Quelque minutes plus tard se fût à notre tour d'entrer. En rang, bâton à la main, nous avancions en le faisant claquer au sol pour en faire jaillir des étincelles. Un peu de capoeira, un dragon de feu et des salutations et le tour est joué. On nous fît attendre sur le côté pour nous placer et j'en profita pour observer cette immense salle. Déjà, mais c'est quoi se plafond de dingue ! Il est incroyable ! Et toute ces bougies flottantes ! Tout est magnifique ici ! Les grands piliers de chaque côté de la pièce, la grande vitre au fond de la salle. Je crois que je vais adorer cette endroit ! Enfin, ils finirent par nous placer à la table des Serpentard. Ils sont louche eux, je pense que j'aurai été dans cette maison ! C'est la maison de Stephen, le chéri de Chloé. Mais je ne l'ai pas vu. Nous nous sommes donc assis avec le cousin de Abraxi, Draco Malfoy. Viktor c'est assis à ma droite, Abraxi à ma gauche. Zeus lui comme prévu a filé dès que nous sommes arrivé mais je ne doute pas qu'il viendra me rendre visite. Devant nous, Draco est assis en face de moi et deux ami à lui à chaqu'un de ses côté. Ils m'ont l'air d'une bêtises incroyable ces trois là ! D'ailleurs Draco fait un peu le coq de la basse-cour pour impressionner Viktor, l'embêtent plus qu'autre chose à vrai dire. Mais c'est assez amusant à regarder pour Abraxi et moi, un peu moins pour Viktor vu son expression. Pourquoi même dans cette situation il est si mignon ! Rah c'est possible ça ! Il me fait littéralement fondre ! Mais là, il faut que je le sauve !

- Bon alors mon petit Dragouner quand tu aura fini de nous montrer tout ton immmmense pouvoir, à n'en pas douter bien sûr, sur tes deux petit camarade et t'a super attitude rebelle de ne pas avoir fait tes trois devoirs hier, tu nous laissera bien manger, hein ? Dit-je en lui offrant mon plus beau sourire. Enfin le plus hypocrite possible surtout ! Viktor et Abraxi pouffaient de rire alors que Draco devint tout rouge.

- Comment ose-tu- Commença-t-il a crier avant que je le stop nette.

- Veux tu vraiment aller sur ce terrain là Draco ? Souviens toi, la dernière que tu a essayé. Il se rassit en silence, le dos vouté alors qu'Abraxi rie en se souvenant de cette vieille histoire. Viktor se pencha vers moi et me murmura :

- Il c'est passé quoi exactement avec ce petit hooligan ? Je rigole discrètement à l'entente du surnom.

- Oh pas grand chose, il a essayait de m'attaquer une fois et d'utiliser la renommer de son père et ses richesse comme menace.

- Oh je vois, et que s'est-il passé ensuite ?

- Eh bien je lui ai dit que je n'en avais rien à faire de son père et tout l'argent qu'il pourrait avoir, il n'a pas aimé ça et a essayait de me jeter un sort que j'ai facilement repoussé et je lui ai donné une queue et un museau de rat qu'il n'a pas pue retirer pendant une semaine, il est aller le dire à son père en pensant qu'il le vengerait mais à la place son père l'a obligé à garder cette queue de rat une semaine de plus pour avoir perdu face à moi.

- Eh bien ça ne peux pas faire de mal, il est trop hautain à mon goût.

- Oui mais il a un bon fond en vérité, ce n'est pas de sa faute si son père est abject. Dit-je en me plongeant dans mes pensées, quelque image remonte à la surface.

- Adré ? Adré, ça va ? S'inquiéta Viktor.

- Hein ? A oui pardon ça va, sûrement la fatigue !

- Bon d'accord, c'est vrai que je me sens un peu fatigué aussi.

Nous avons fini par manger tout en continuant à discuter. Malfoy c'est très vite remis de sa petit honte à notre grand désespoir mais à la seconde où Abraxi, Viktor et moi avions fini de manger, je ne pouvais plus attendre, pas le temps pour un dessert. Je l'es attrapa par le bras, me suis levé et me suis précipité à la table des Gryffondor où j'avais aperçu Chloé et Amélie entrain de manger un peu plus tôt. Trainent derrière moi mes deux amis, je courrais dans leur direction.

- Amélie ! Chloé ! Criai-je sans me soucier des regards qui se tournaient vers moi.

A l'entente de leur prénom les deux filles se retournèrent vers moi. Quand elles me virent, elles se levèrent et coururent dans mes bras.

- Les filles vous m'avez tellement manqué ! M'exclamai-je tout excité.

- Adré ! Tu nous a tellement manqué aussi ! Ça fait trop du bien de vous voir ! Me dit Amélie sur le même ton d'excitation que moi.

- Et moi, j'vous ai pas manqué ? Même pas un petit peu. Ria Abraxi en se joignant à notre câlin collectif.

- Bien sûr que si mon bebou ! S'amusa Chloé.

On se détacha les uns des autres après quelque secondes, j'en profita pour me décaler vers Viktor, lui attrape la main et l'approchai du groupe.

- Chloé, Amélie, voici Viktor Krum. C'est un ami à Abraxi et moi. Viktor je te présente donc Amélie et Chloé, mes amies d'autres horizons !

- Hey belle homme au allure ténébreuse. Souffla Amélie en s'approchant de Viktor pour lui serrer la main.

- Calme t'es ovaires Amélie. Soupira Chloé. Désolé pour ça. Dit-elle en lui serrant la main à son tour. Enchanté Viktor, t'a réputation te précéde.

- Enchanté de même, Adré ma beaucoup parlé de vous.

- Vous vous joignez à nous pour le dessert ? Demanda Chloé en se rasseyant.

- Ouep ! Répondis Abraxi du tac au tac.

Naturellement les personnes assises sur la tables se décalèrent pour nous laisser de la place. Je me retrouve assis entre Amélie et un garçon à l'air ébahi que je ne connais pas. En face de moi il y a Viktor assis entre Chloé et Abraxi.

- D'ailleurs lui c'est Neville Londubat. Il sursauta à l'entente de son prénom. Ici c'est le meilleur ami que j'ai ! Il est un peu timide mais c'est un super gars !

- Bonsoir. Dit-il timidement en nous saluant de la main. Je me tourne légèrement vers lui et le salut à mon tour.

- Hey ! Je m'appelle Adrénadiel mais on m'appelle Adré. Heureux de te rencontrer et merci de prendre soin de mon ami, notre ami. Dis-je confiant en lui tendant ma main qu'il accepta.

- C-c'est normal. Répondit-il en me souriant.

- Et moi c'est Abraxi ! Pour le reste tout pareille que Adré.

Les salutations faites, le dessert son apparu sur la table. Et pendant que nous mangions, en n'apprenent à faire connaissance les uns avec les autres. Alors que je m'apprêtais à prendre une bouchée du délicieux gâteau vanille chantilly qui se trouver face à moi, un frisson parcouru toute ma jambe. Comme un courent d'air qui glissa le long de mon tibia. Je relève immédiatement la tête pour regarder Viktor qui me regarde déjà, un légé sourire sur les lèvres. Je plonge mes yeux dans les siens et le courant d'air atteint mes cuisses. Je prend une grande inspiration et mon regard se fait plus intense alors que lui, comme si de rien n'étais, mange son dessert. Comme je le hais en se moment mais, j'en veux plus encore.

- La terre appelle Adré ! Je sursaute à l'appel d'Abraxi.

- Oui ! Oui, pardon je suis avec vous ! Je vois le sourire de Viktor s'étirer un peu plus. Qu'est-ce que je peux le maudir là tout de suite.

- Est-ce que tu va bien Adré ? Tu avais l'air ailleurs. Me demanda un peu inquiet Amélie.

- Oui ça va, enfin je suis exténué ! J'ai grandement besoin de dormir. Je tant comme je peux de me concentrer mais le pied de Viktor c'est posé sur ma chaise, entre mes cuisses, putain impossible de me concentrer.

- Oh oui dormir. Même moi je suis claqué ! S'exclama Abraxi.

- Je pense qu'on l'est un peu tous à se niveau là. Enchaîna Chloé.

- Eh bien et si nous allions nous coucher ? Proposa tout naturellement Viktor alors que sa putain de jambe caresse toujours l'intérieure ma cuisses.

- Oui c'est une excellente idée ! Dis-je en soupirant lorsque Viktor retira son pied.

Nous nous apprêtions à nous lever quand le directeur Dumbledore pris la paroles.

- Maintenant que notre appétit est comblé et notre soif étanché, j'aimerai vous parler de cette événement légendaire que Poudlard a l'honneur d'accueillir cette année. Le tournois des trois sorciers qui offrira honneur et gloire pour le reste de ça vie au sorcier qui remportera le tournoi ainsi que ce magnifique trophée des trois sorciers ! Mais avant tout, laisser moi vous présenter le directeur du département de la juste du ministère mais aussi le directeur de la coopération magique international et l'instigateur et organisateur de la remise à jour de ce tournoi. Monsieur Barty Croupton.

- Merci Albus. En effet, j'organise cette événement avec l'aide du ministère et des conseils respective de vos écoles ainsi que leur directeur. Un événement grandiose oui mais tout autant dangereux. Et en raison de ces très grand danger aux qu'elle seront confronté les champions choisi et que seul un sorciers aguerri peut faire face, le ministère de la magie, les conseils et moi même avons pris la décision d'imposer une limite d'âge à se tournoi et seul les sorciers de 17 ans ou plus pourrons participer à ce tournoi. Des exclamation de mécontentement s'élevèrent de partout dans la salle, les élèves exprime leur déceptions et leur énervement.

- Silence ! Cria le directeur Dumbledore et la salle se fît silencieuse. Je dois l'avouer, cette homme et aussi admirable que terrifiant, il transpire la puissance.

- Bien. Repris Barty Croupton. Merci Albus. Donc, une limite d'âge sera posé autour de la coupe par nul autre que Albus. Merci pour votre attention. J'entendis un élève de Gryffondor pas très loin de moi dire ''Merde, si c'est notre directeur qui la pose, même les jumeaux Weasley n'auront aucune chance''. Albus doit être un très grand sorcier.

- Maintenant, voici la coupe de feu ! S'exclama Albus en s'approchant d'une tour un peu plus haute que lui, que deux professeur avais avancé quelque minutes auparavant. Albus tapa du bout de sa baguette la tour qui se mis à fondre en une coulé d'or qui fini par s'évaporé, laissant apparaître une grosse coupe au-dessus de la qu'elle flottais un feu bleu, c'est d'une élégance presque parfaite.

- La coupe de feu est un puissant et ancien artéfact crée par des sorciers de légende, des fidèles du plus grand sorcier qui n'ai jamais existais. Merlin. Dans le but de réunir le monde magique, de l'unifier et mais aussi de choisir des héros, des sorciers hors du commun pour révéler leur potentielle véritable. C'est cette coupe qui jugera digne les trois champions du tournoi ! Vous avez jusqu'à demain 17h pour mettre votre nom dans la coupe afin d'avoir la chance d'être choisi par la coupe comme champion représentent de votre école ! Sur ce discourt, je vous souhaite à tous une bonne nuit et de doux rêves car croyais moi, vous en aurai grand besoin.

Après ce discourt des plus intéressent, nous étions tous tellement épuisé que nous n'avons pas pris le temps dans parler, nous le feront probablement demain. Nous sommes simplement aller en direction de nos chambre respective après s'être dit bonne nuit.

Je marchais seul avec Viktor, nous avons pris notre temps alors que Abraxi lui avait trop hâte de retrouver son si précieux lit. Viktor s'arrêta soudainement et je m'arrêta aussi pour me tourner vers lui.

- Tu veux aller te promener près du lac avec moi ? Je sais que tu es fatigué mais... Je me disais que ça pourrais être agréable.

- Oh euh oui pourquoi pas, ça ne peux pas faire de mal.

Notre direction changea et nous descendîmes au bord du lac. Les étoiles se reflètes dans l'eau créant un effet d'infini dans le lac, la lumière de la lune éclaire notre chemin et le château scintille de mille lumières dans la nuit, se qui laisse poser une atmosphère chaleureuse et paisible, c'est magnifique, tout est magnifique ici.

- Je vais mettre mon nom dans la coupe de feu. Dit soudainement Viktor.

- Ça tombe sous le sens Viktor, n'est-ce pas pour ça que tu es venu ?

- Si, bien sûr... Tu compte le faire aussi ?

- Mettre mon nom dans la coupe ? Seigneur non, non merci. La gloire éternelle ne m'intéresse pas. Je laisse ça pour les hommes comme toi. Mais quand la coupe te choisira toi comme le champion de Durmstrang, tu pourra compter sur moi pour te soutenir du mieux que je le peu ! Affirmai-je en lui souriant. Il me sourit en retour, un vrai sourire sincère. Mon cœur se mis à battre et la foudre tombe.

- J'aimerai que tu sois avec moi quand je mettrais mon nom dans la coupe demain.

- Pas de problème Viktor, je le ferais.

- Tu sais Adré, je n'aurai jamais pensé que quelqu'un d'aussi brillant que toi puisse un jour être ami avec quelqu'un comme moi.

- Pardon ? M'étonnai-je un peu... Beaucoup surpris d'entendre ça. Attend attend attend, toi, Viktor Krum, aimé de tous, grand joueur international de quidditch, superstar du monde magique et le beau gosse de l'école, avais des doutes quant à notre amitié ?

- Alors... Alors tu me trouve beau ? Demanda-t-il le regarde tourné vers le lac.

Si il ne faisait pas si sombre, malgré les lumières du château et de la lune, j'aurai juré qu'il rougissais un peu. Mais ce qui me surprend encore plus, c'est que, de tout ce que j'ai dit, c'est la seul chose qu'il ai retenu. L'information monta progressivement à mon cerveau et je me mis à rire, je rie souvent avec lui, j'adore ça. Il parut troublé par ma soudaine joie et moi je continua simplement mon chemin en lui tapant légèrement l'épaule et lui dis :

- Je ne l'aurai probablement pas dit si je ne le pensais pas beau gosse. Je continua à avancer et lui ne bouga pas, puis il reprit soudainement conscience et me rattrapa.

- Moi aussi, je te trouve très beau Adré. Pour la seconde fois je fût surpris par Viktor. Mais hors de question de lui montrer cette fois ci.

- Pfff, dit moi quelque chose que je ne sais pas déjà Corbeau. Lui répondis-je sur le ton de l'humour.

- Tu, tu à une âme magnifique Adré. Affirma-t-il sûr de lui.

Je me stoppa nette et plongeai mon regard dans le sien. Sans pouvoir le contrôler et sans vraiment savoir pourquoi, une perle roula le long de ma joue. Ou peut-être que si, je le sais. Il a su lire en moi comme personne ne l'a jamais fait. Il a vu ce que je pensais cacher au yeux de tous.

- Merci Corbeau, merci d'être qui tu es, d'être toi. Merci. Dit-je aussi sincèrement que mon cœur puisse l'être.

Puis ni lui ni moi n'avons bougé, une plénitude c'est installé d'abord en moi, puis en nous et enfin dans tout ce qui nous entoure. Entendre cette parole ma fait un bien dont je ne soupçonnais pas avoir besoin, il a vu à travers moi.

- Est-ce que je peux te prendre dans mes bras Adré ? Me demanda-t-il timidement en s'avançant d'un pas.

Je ne me sentais pas la force de parler alors, pour seul réponse, j'hochai la tête et ouvris mes bras et il m'enlaça délicatement, une délicatesse que je n'avais encore jamais rencontré dans ma vie, comme si je pouvais me briser ou disparaître au moindre faux pas. Je remarque que Viktor est un peu plus grand que moi, en tout cas assez pour que je le remarque, peut-être de 5 ou 6 centimètre. Je trouve que c'est agréable quand il m'enlace, je me sens en sécurité, comme au pied d'une montagne qui te cacherais du monde extérieure. J'inspire profondément et profite de se câlin. Je sens les rayons de la lune sur nous, la chaleur de son corps se confondre avec la mienne, son souffle chaud se glisser dans ma nuque et son odeur de vanille qui emplie l'atmosphère. Autan d'élément qui font que en se moment, je me sens heureux, je suis paisible, tout simplement amoureux. O est resté comme ça... Je ne sais pas vraiment combien de temps on est resté comme ça mais je m'en moque. Le temps ne compte plus, mais on a quand même fini par s'éloigner l'un de l'autre et malgré le petit vide dans mon ventre, c'était comme si toute mes batterie était rechargé.

- Au faite Adré, d'où sors ce surnom ? Me demanda Viktor alors que nous reprenions la route vers le bâteau.

- Corbeau ? Eh bien, j'ai toujours trouvé que les corbeaux étaient majestueux, leur plumage noir, noir comme t'es cheveux, leur façon de voler si gracieux, comme quand tu te met à voler et que tu survole le monde Viktor, tu me fais penser à un corbeau quand tu vole. Donc ça me semblais approprié de te surnommer Corbeau.

- J'aime bien. Dit-il simplement un sourire légé sur les lèvres. Tu sais, ça ne se vois peut-être pas mais, je suis quelqu'un de très timide et j'ai parfois du mal avec les interactions social...

- Je l'avais remarqué oui, mais rassure toi, tu le cache très bien que les autres ne l'ont sûrement pas remarqué.

- Étrangement avec toi, je n'ai pas cette barrière de timidité, c'est comme si tout était très naturel alors, comment l'a tu remarqué ? Me questionna-t-il curieux. Je senti instantanément mes joues se peindre en rouge car la raison pour la qu'elle je l'ai remarqué est que je l'ai beaucoup observé même de loin. Mais ça bien sûr il ne doit surtout pas le savoir !

- P-p-p-parce que je suis quelqu'un de très perspicace voilà tout ! Béguillai-je précipitamment, c'était l'excuse la plus nul que je n'ai jamais entendu.

- Oh je vois, j'espère que les autres ne le sont pas autent que toi alors parce que. Il se penche vers moi et me dit doucement dans l'oreille. Je n'aimerai pas que quelqu'un d'autre m'observe si ce n'est pas toi.

Si il y avais un doute quant à la couleur de mes joues, il n'existe plus, il aurait pue au moins faire semblant d'y croire quand même ! Je lui met un coup dans l'épaule mais je sourie malgré tout. Et le reste du trajet c'est fait dans un silence agréable, le genre de silence que seul Viktor peut m'offrire. Nos mains se frôlaient parfois et nos regard se croisaient de temps en temps. Là sous la lune, il n'y avait plus que lui et moi. Le trajet jusqu'au bateau se fît en douceur.

Arrivé sur le bateau, mon ventre se mis à gargouiller.

- Désolé. Murmurai-je. La promenade ma un peu creusé.

- Oui, moi aussi. Répondit Viktor sur le même ton. Hey, j'ai une idée un peu folle ?

- Oui, dit moi.

- Et si on s'introduisé dans la cuisine pour voler de la nourriture, il garde toujours plein de gâteau là-bas.

- Whoua, t'es un vrai rebelle se soir Corbeau, je te connaissais pas ce petit côté. Carrément partant !

- Génial, mais faut pas faire de bruit.

- Bravo Sherlock, ta deviné sa tout seul ? Me moquai-je gentiment de lui en le poussant de l'épaule. Aller, allons si.

Sans faire le moindre bruit, on a marché jusque devant les portes de la grande salle qui se situe à l'étage.

- Oh, j'espère que ces portes sont bien huilé . A trois on ouvre d'un coup sec, c'est encore ce qui fonctionne le mieux pour faire le moins de bruit possible. Chuchotai-je. Viktor plaça une main sur une poignet et moi sur l'autre.

- Un... Deux... Trois.

On tira chaqu'un sur notre côté de la portes qui ne s'ouvrit pas, pour cause toute la force qu'on avais mis nous propulsa dans une chute tonitruante.

- Merde on est trop con, faut tourné les poignets !

- Putain on a fait plein de bruit en plus. Rigola Viktor et je rigola avec lui.

- Bah tu dis des gros mot toi maintenant ?

- Se soir je suis un Corbeau rebelle tu te souviens ? Me dit-il en souriant. Aller, on réessaye. Poursuit-il en se levant et en m'aidant à me relever à mon tour avant de se replaçais. A trois, un... Deux... Trois.

Cette fois ci, on tourna puis tira les poignets et les portes s'ouvrirent !

- Génial ! M'exclamai-je juste avant que Viktor plaque sa main sur ma bouche en pouffant.

- Chuuuuuuut. Dit-il simplement.

- Décholé. Murmurai-je comme je pue avec la main de Viktor sur ma bouche.

On rigola en essayant d'être discret en traversent la grande salle pour atteindre la porte de la cuisine qui se trouve au fond sur le côté gauche. On entra dans la cuisine et une délicate odeur sucré chatouilla instantanément nos narines.

- J'ai la dalle, viens, là-bah il garde toujours des gâteau. Me dit Viktor que je m'empressa de suivre.

- On pourrait croire que c'est pas la première fois que tu fais ça Corbeau.

- Quoi ? Moi ? Non, je suis un ange, je n'ai jamais fait ça presque tout les soirs depuis qu'on n'est sur le bateau. C'est pas mon genre, tu le sais bien. Je rigola à son ironi avant qu'il ne continue. Attention, tu vois cette porte ? C'est la porte de la chambre du directeur.

- Quoi ! Attend tu plaisante là ? Murmurai-je un peu fort.

Viktor hocha la tête de droite à gauche pour seul réponse et il prit un air si grave qu'on fini par rire tout les deux.

- Oh alors faisons ça le plus discrètement possible.

On continua notre chemin jusqu'un placard et on chargea nos bras de gâteau en tout genre. Une fois satisfait de nos prisent, on entreprit de faire le voyage retour maus au moment de faire demi-tour Viktor fît tomber une pille de casserole qui fît un vacarme pas possible. On se regarda les yeux grand ouvert.

- Je crois qu'on n'est les pire cambrioleur de tout les temps. Me dit Viktor, puis un silence s'en suivi avant qu'on éclate de rire tout les deux.

- QUI VA-LA ? Résonna la voix du directeur àtravers la porte de sa chambre.

- Fuit ! Me cria Viktor avant qu'on se mette à courire tout les deux en riant

Je n'ai jamais fait le trajet jusqu'à ma chambre aussi rapidement que se soir. On entra dans notre chambre et on s'écrasa sur le lit de Viktor en riant. Tout les gâteau étalé entre nous.

- Par Merlin, c'était moins une ! S'exclama Viktor en reprenant son souffle.

- C'était tellement amusant ! Moi qui pensais que tu n'étais pas du genre à rire beaucoup la première fois qu'on c'est rencontré alors que tu me fait rire tout les jours et j'adore ça Corbeau ! Je pense qu'on a mérité notre petit festin !

- Tout à fait d'accord ! S'enjoua Viktor en prenant un gâteau qu'il me tendi et il en prit un autre pour lui. A nous deux, cambrioleur du dimanche à nos heures perdu !

- A nous deux ! Répétai-je en tapant mon gâteau contre le sien.

Assis sur ce lit, nous avons rigolé, discuté, on a même fait une bataille de polochon. C'est comme si pour se soir nous étions redevenu des enfants a nouveau. Laissant tout les problèmes de la vie à côté. Viktor a se pouvoir sur moi, le pouvoir de me faire oublier tout le reste et de vivre le moment présent à ses côtés. Je n'aurai pas pue rêver d'une meilleur arrivé à Poudlard. Viktor et moi avons fini par mettre un épisode de ''The oa'' et nous nous sommes simplement endormis l'un à côté de l'autre, comme deux enfant trop fatigué. Pour se soir, j'abandonne tout, et je lâche prise, parce que quand je suis avec Viktor, je sais que tout ira bien. Qu'elle arrivé en douceur.

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