Rebellion

Harry Potter - J. K. Rowling
M/M
G
Rebellion
Summary
Harry revient en Angleterre après cinq ans passés à l'étranger à chasser des mages noirs. Il a plus l'impression d'avoir survécu que réellement vécu depuis la fin de la guerre.Mais à présent, il attend avec enthousiasme ses retrouvailles avec ses amis, sans savoir que son chemin le mènera vers la dernière personne qu'il aurait imaginé, une personne qui va enfin le faire sentir vivant.
Note
Les personnages et l'univers ne sont pas les miens (JK Rowling), mais l'histoire m'appartient.
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Joyeux anniversaire

Harry se prélassait en sentant le corps chaud et nu de Drago contre lui, l'esprit bien trop engourdi pour songer à le prendre dans ses bras et encore plus à lui parler. De toute façon, s'il l'avait voulu, le vibrenotiste l'aurait fait depuis longtemps. Ils venaient tout juste de clarifier les choses entre eux. Peut-être était-ce un peu trop tôt pour lui. Harry était plutôt du genre tactile, mais il pouvait respecter que son petit ami le soit moins. Petit ami... Ces deux mots résonnaient encore étrangement dans son esprit, surtout en songeant à qui ils correspondaient. Tant de choses avaient changé depuis son retour en Angleterre et ça lui avait semblé très naturel, comme si le destin lui offrait un cadeau après l'avoir si longtemps malmené. Et l'Auror était bien le premier à croire au destin ! Qui mieux que lui était aussi bien placé pour savoir qu'il existe vraiment ?

L'esprit de Harry s'égara, revenant à des sujets plus légers, revisionnant le déroulement de la soirée. Les rires échangés, les anecdotes sur leurs dortoirs respectifs à Poudlard et le visage horrifié de Drago quand il avait dû manger sans couverts (Tout le monde savait que les Fish and Chips étaient meilleurs avec les doigts, non?). Un sourire lui étira les lèvres lorsqu'il se remémora la scène qui avait suivi, quand Harry s'était appliqué à lécher chacun de ses doigts. Il aurait juré que le musicien avait intégralement rougi, autant de plaisir que de gêne.

Puis, le brun l'avait entraîné dans les couloirs jusqu'à sa chambre dans laquelle les vêtements et ses lunettes avaient rapidement rejoint le sol sous des caresses et des baisers ardents. Drago était bien plus enflammé que ne le laissait entendre son attitude glaciale, une fois qu'on savait passer outre ! Harry se souvenait de la brûlure de sa bouche sur lui, du contact électrisant de leurs peaux l'une contre l'autre. Ils n'avaient pas pris le temps de beaucoup s'observer et se découvrir. Ils avaient tous deux hâte de satisfaire leur désir de l'autre. Ils n'avaient pas non plus abordé le sujet de la pénétration, craignant sans doute de bloquer leurs ardeurs alors qu'ils ne rêvaient que de les assouvir.

Drago et lui s'étaient surtout beaucoup frottés, embrassés et caressés. Le blond était venu coller ses hanches aux siennes puis avait unis leurs sexes durs, dressés et suintant de désir, dans son poing avant de les branler ensemble. Ce n'était pas la première fois qu'il expérimentait la masturbation à deux, mais habituellement c'était lui qui s'en occupait. Il n'avait rien eu à faire ce soir, juste à profiter, ses mains libres explorant les cheveux fins, le dos aux muscles bien dessinés (montrant que Drago s'entretenait avec assiduité) et les fesses parfaites de son petit ami. Harry se sentait vivre enfin, à ses côtés, et ressentait de nouveau cette affreuse mais ô combien bienvenue peur de perdre.

D'une main languissante, il osa parcourir le corps envoûtant qui reposait près de lui, dessinant vaguement ses formes et le sentant frissonner de délectation tandis que l'esprit de Harry entrait dans une somnolence reviviscente. Les ténèbres le happèrent dans un cocon de bien-être tandis que ses gestes ralentissaient, se gorgeant une dernière fois du contact de la peau chaude et douce qui leur était offerte, avant de s'arrêter complètement sous la gouverne du sommeil.

Un désir flamboyant l'irradia, lui faisant reprendre conscience, alors que des mains glissaient le long de ses bras, les remontant au-dessus de sa tête, et qu'un corps masculin pesa sur le sien. Harry ouvrit les yeux avec la difficulté du réveil, son esprit pourtant clair. Les rayons de lune qui traversaient la fenêtre éclairèrent le visage éthéré de Drago, à quelques centimètres du sien. La situation paraissait onirique, presque irréelle, mais elle prit toute sa consistance quand il vint jouer avec sa lèvre, la mordillant et l'aspirant avant de la relâcher.

— J'ai encore faim, lui chuchota-t-il en appuyant ses hanches contre les sienne, lui dévoilant toute la puissance de son désir. Tu es rassasié, toi ?

Son souffle venait caresser son menton tandis qu'il y déposait quelques baisers. Harry avait déjà vu Drago distant, froid, cinglant et même – dernièrement – envahi par le plaisir, mais jamais aussi décomplexé que maintenant, les prunelles grises assombries et les paupières alourdies par l'envie. Et à cet instant, le brun était prêt à tout pour le garder près de lui, avec ce sentiment de le découvrir vraiment, sans ce masque que sa naissance lui avait jusqu'alors imposé.

— Non, répondit Harry, la voix enroué par le désir comme par le sommeil récent. Je veux...

Il voulut baisser les mains pour le prendre dans ses bras, mais des anneaux durs et froids les retinrent à la tête de lit et il ne finit pas sa phrase. Il jeta un coup d'œil au-dessus de lui et remarqua qu'il était attaché par des menottes... Ses propres menottes d'Auror. Drago releva le visage affichant ce petit sourire en coin dont lui seul avait le secret et que Harry trouvait très craquant, cessant par là même d'embrasser sa mâchoire et son cou. Le brun eut un petit instant de panique et son cœur déjà rapide manqua un battement.

— Qu'est-ce que tu fais ? l'interrogea-t-il, un peu crispé.

Drago laissa échapper un rire.

— C'était ton idée, non ? De jouer avec des menottes.

— Oui, mais pas de cette façon, grimaça le brun avec un rire nerveux.

— C'est ce qui t'ennuie ? Que je puisse faire ce que je veux de toi ? demanda Drago en s'asseyant sur son bas-ventre, laissant le sexe de Harry glisser contre ses fesses.

Ce dernier ne put retenir un hoquet de désir qui se répercuta dans son phallus et le blond ne le manqua pas. Son sourire arrogant s'agrandit.

— Tu te souviens quand je t'ai dit que j'aimais être le top et que je le suis toujours ? réussit à articuler le brun.

— Je me rappelle t'avoir répondu que les Malefoy dominaient toujours, répondit Drago en glissant son index le long du torse de Harry jusqu'à l'endroit où reposait sa propre turgescence, à la fois dure, douce et légèrement humide sur les abdos de l'Auror. Tu as aussi parlé de le faire à tour de rôle. C'était des mots dans le vent ?

— Je... Non... Je... bafouilla Harry entre deux gémissement tandis que Drago passait sa main libre dans son dos et attrapait son sexe pour le presser avec adresse. Je pensais...

— C'est nouveau ? se moqua le blond en venant jouer du pouce avec son gland tout en le fixant.

— Putain ! Drago ! haleta le brun en tirant sur ses bras, remuant de frustration devant son impossibilité à se libérer et accentuant au passage les délices de son supplice entre les mains et les cuisses de son petit ami.

Puis le blond figea ses mouvements pour le laisser se reprendre quelques secondes.

— Je peux te libérer, si tu me le demandes, lui confia-t-il. Et je te laisserai dormir. Mais avant que tu ne choisisses, sache que si tu gardes ces menottes, je te promets de ne rien te faire que tu ne voudrais pas. Alors, est-ce que tu me fais confiance, Harry ? ajouta-t-il avec le demi-sourire qui avait tant d'effet sur l'Auror.

Drago le défiait, se jouait du fameux courage alloué aux gryffondors. Le brun en avait parfaitement conscience, mais tomba tout de même dans ce piège éhonté.

— Seulement si tu me touches tout de suite, accepta Harry.

Drago émit un petit rire et ses gestes reprirent quelques secondes avant qu'il ne le relâche. Puis il se redressa de toute sa hauteur sur ses genoux pour que Harry puisse l'admirer sous le clair de lune. Les yeux du brun le détaillèrent avec délice et envie, glissant de son visage aux traits fins et aristocratiques à son cou élégant, ses clavicules sexy, ses bras aux muscles déliés et à son torse sculpté orné de deux petites tâches roses qui ne demandaient qu'à être goûtées. Il remarqua quelques lignes asymétriques qui parcouraient sa poitrine et ses abdos, sans doute des cicatrices de leur combat dans les toilettes en sixième année. Il culpabilisa juste un instant, avant que son regard ne descende encore, suivant la fine ligne de poils clairs qui menaient à sa queue.

Harry avala sa salive en posant les yeux sur cette belle et grosse verge, dressée avec autant d'arrogance que son propriétaire. Il se souvenait encore de son goût, de sa texture et de sa chaleur. Il se lécha les lèvres pour les humidifier, désespérant que Drago s'avance pour pouvoir glisser à nouveau sa langue dessus.

— Ouvre la bouche, Harry, que je puisse m'enfoncer en toi, lui ordonna le blond, comme en écho à ses pensées.

Et le brun lui obéit sans contester une seule seconde. Alors le musicien se pencha en avant, s'appuyant d'un bras contre le mur. Sa main libre vint diriger son pénis vers la bouche de son amant, jouant d'abord avec ses lèvres. Harry donnait des coups de langue sur la chair offerte. Des frissons électriques le parcouraient lorsqu'il entendait Drago répondre à ses attentions par des gémissements de plaisir. Bordel ! Ce qu'il adorait le voir et le sentir se laisser aller avec lui ! Puis le blond se glissa enfin dans sa cavité buccale, très lentement, lui permettant de prendre le temps d'aspirer chaque centimètre contre sa langue. Lorsqu'il s'estima assez profond, il commença à donner quelques coups. Harry se sentait envahi, plein, conquis. Un sentiment de satisfaction le parcourut tout entier, savourant cette queue qui lui baisait la bouche et lui donnait le tournis.

Drago soufflait lourdement et gémissait au-dessus de lui, ce qui amplifiait d'autant plus l'excitation du brun. Harry leva les yeux, cherchant ceux du musicien et il admira alors la plus belle vue qui n'ait jamais existé selon lui : le corps frémissant de son amant, la sueur perlant légèrement sur sa peau, ses tétons dressés, son visage licencieux penché vers le sien, sa bouche ouverte et bruyante, les joues rosies par l'intensité du plaisir, des mèches de cheveux retombant en pluie autour de son front... Il était l'image même de la luxure, lui qui avait toute la panoplie d'un ange. Et c'était sa bouche qui lui faisait cet effet.

Quand il sentit sa queue parvenir à l'apogée de son plaisir, Harry l'aspira plus goulûment, donnant quelques coups plus vifs. Alors il vint en lui, se déversant tout au fond de sa gorge avec un grognement d'allégresse. Il se retira ensuite, libérant sa bouche pour l'envahir de nouveau, avec la sienne cette fois. Le baiser était fougueux. Drago insinua sa langue entre ses lèvres pour venir danser avec la sienne, la happant, la caressant, la goûtant encore et toujours. Harry avait l'impression de savourer une friandise qui ne finissait jamais. Le parfum du blond, de menthe, de citron et de cèdre, s'immisçait dans chacun des pores de sa peau. Il voulait le respirer pour toujours, comme s'il était son oxygène.

Mais Drago abandonna sa bouche pour venir mordiller son menton, faire glisser sa langue jusque dans son cou et le couvrir de petits baisers aussi brûlants que des flocons de braises qui retombaient sur sa peau.

— Je vais m'occuper de toi, maintenant, murmura son amant.

Le son de sa voix résonna en onde d'excitation sur son torse, que Drago venait découvrir autant de ses mains que de sa bouche. Il fit glisser la pointe de son téton entre ses doigts, jouant avec, le pinçant légèrement. Harry réagit aussitôt, gémissant à son tour. Comprenant qu'il s'agissait là d'une zone érogène chez l'Auror, le musicien vint titiller l'autre téton de sa bouche tout en continuant avec sa main sur le premier. Il mordilla, suça et lécha la petite protubérance, comme un avant-goût à ce qu'il comptait lui faire. Harry échoua à se contenir, laissant ses gémissements s'échapper à chaque frisson de plaisir qui le traversait.

Après une longue et délicieuse torture, Drago abandonna ses tétons maltraités et descendit le long de son ventre, suivant la ligne qui menait à sa queue. Celle-ci s'agita de soubresauts dans la perspective de sentir les lèvres du vibrenotiste pour la première fois sur elle. Harry se crispa sous l'attente. Mais Drago s'amusait, exhalant doucement sur le sexe dressé sans le toucher, ni avec les mains, ni avec ses lèvres. Il caressait son aine, ses hanches, l'intérieur de ses cuisses. Il frôlait ses bourses de sa bouche, à peine une seconde, avant de souffler de nouveau en remontant le long de sa queue gonflée par l'attente, le soumettant à un fascinant supplice auquel il résistait à peine. Il n'allait quand même pas jouir sans qu'il le touche !

— Bordel, Drago, fous-la dans ta bouche !

— Tu as l'impression de décider de quoi que ce soit, Harry ? répliqua le musicien d'un ton calme mais ferme avant de reprendre ses attouchements fantômes qui le faisaient vriller.

Après plusieurs secondes, qui parurent bien trop longues à Harry, Drago donna un premier coup de langue sur sa verge, positionnant un bras de telle manière qu'il maintenait les hanches du brun sur le lit, l'empêchant de remuer. L'Auror se demanda un instant pourquoi il n'utilisait pas ses deux mains puisqu'il ne le touchait même pas avec l'autre. Peut-être qu'il se caressait ? Cette idée l'excita davantage avant de se perdre loin de son esprit lorsque le blond commença à lécher son sexe et à aspirer son gland, juste ce qu'il fallait pour le rendre encore plus fébrile, s'éloignant parfois pour laisser l'excitation redescendre afin de ne pas le faire jouir trop vite.

Harry eut l'impression de faire un tour sur les montagnes russes de la luxure. Sa peau devint si sensible qu'il frémissait à chaque caresse et chaque baiser de son amant et il en profitait, le soumettant à ses lèvres et à ses doigts. Il ne pouvait que subir, mais il s'en satisfaisait avec exaltation. Drago se redressa, quittant son sexe, et Harry ne put s'empêcher d'éprouver un abandon atroce, lâchant même un pleur de frustration. Le blond posa alors ses chevilles sur les cuisses de l'Auror, ses genoux s'enfonçant de chaque côté de ses hanches. Il avait récupéré sa baguette Harry ne savait ni quand ni comment et la tenait d'une main ferme.

— Tempus, lança-t-il essouflé, regardant l'heure qui s'afficha avant de balancer la baguette plus loin sur le lit.

Le brun avait jeté un coup d'oeil intrigué, bien que son esprit soit toujours aux prises de ses sens. Minuit était passé.

— Joyeux anniversaire, Harry, annonça Drago avant de placer le gland suintant de l'Auror à son entrée préparée et de s'empaler tout doucement dessus, fixant le visage de son amant.

Les yeux de Harry s'écarquillèrent à la fois de surprise et de plaisir. Le blond le maintenait toujours et glissait à une allure enivrante le long de son phallus, qu'il sentait déjà prêt à exploser sous les sensations que lui procurait Drago. Il était encore très serré malgré les étirements qu'il avait dû pratiquer et chaque impulsion pressait sa queue, envoyant des myriades d'éclairs de plaisir jusque dans ses bourses, qui se contractaient déjà. Brodel ! Il voulait tenir, profiter de l'espace chaud et ténu que lui offrait le vibrenotiste, passer des heures à frotter son sexe à l'intérieur de lui.

Enfin, les fesses de Drago entrèrent en contact avec ses cuisses, sa queue de nouveau tendue se posa sur son torse et Harry lâcha un nouveau gémissement. Il fixa le blond, rouge et en sueur, qui se mordillait la lèvre inférieure en lui rendant son regard, immobile le temps que sa chair s'habitue au sexe du brun, bien gonflé et dur en lui. Harry se sentait à sa place, si bien et empli d'une chaleur qui ne demandait qu'à s'enfoncer toujours plus loin. Drago était un délice pour ses sens. Il était...

— Parfait... souffla-t-il avant de sombrer dans une tempête d'émotions lorsque son amant commença à bouger.

Il remontait et descendait doucement tout d'abord, avec une sensualité et un érotisme insoutenable, cherchant visiblement l'angle précis qui atteindrait sa prostate. Puis il accéléra l'allure se hissant et retombant de plus en plus vite, son sexe frappant le ventre de Harry au même rythme, gémissant de plaisir en cœur avec le brun. Ce dernier fut emporté dans un océan de sensations, toutes plus intenses et incroyable que les autres. Il peinait à se retenir, pour faire durer le moment, pour amener Drago au paroxysme de la jouissance. Aussi, quand il sentit la contraction des muscles de son amant au moment où il se répandait sur son torse dans un râle de félicité, Harry se laissa enfin aller au bonheur extatique de la jouissance, s'enfonçant d'un coup presque brutal au fond de Drago pour se déverser dans un spasme de béatitude.

Le blond resta un moment au-dessus de lui, fébrile, avant de se décider à s'allonger contre lui, faisant fi de sa semence qui s'étalait entre eux, reprenant doucement son souffle. Harry aussi était exténué et reprenait doucement une respiration plus régulière, profitant du silence qui se prolongeait pour attraper quelques fragments de plaisir encore présents dans son corps.

Puis le blond tendit les bras pour le libérer de ses entraves tout en déposant un baiser paresseux sur les lèvres de Harry. Ce dernier l'entoura de ses bras pour l'embrasser plus franchement, ce qu'il réussit à faire quelques secondes avant que ses forces ne le quittent et que Drago en profite pour se redresser, s'éloignant de lui pour se relever.

— Merci, lui murmura Harry.

— Ne me remercie pas, contesta le musicien. C'est chacun son tour, tu n'as pas oublié ?

L'Auror avait la vague impression de s'être fait avoir, de s'être fait contrôler quand c'était lui qui entrait en Drago et que la situation serait bien différente lorsque le contraire arriverait. Il angoissa un peu, n'ayant jamais pratiqué dans ce sens. Mais il oublia ses peurs quand il regarda le blond, qui se mit à tanguer légèrement, affaibli par leurs ébats. La scène arracha un rire moqueur à Harry. Le vibrenotiste lui lança un regard noir en retour, se redressant de toute sa taille.

— Je me douche le premier, décida-t-il en disparaissant dans la salle de bain.

Harry soupira en entendant le jet d'eau retentir, se demandant comment il allait faire demain, pour passer toute une journée au bureau sans penser à autre chose qu'à Drago et à ce qu'ils venaient de partager. Bordel ! Ça allait être l'enfer. Il avait déjà envie de recommencer. Sans réfléchir, il se leva à son tour et rejoignit le musicien sous la douche.

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