
Tout avait commencé lors d'une journée ensoleillé. Aucune nuage en vue, seulement un ciel bleu et un soleil brillant et chaleureux. Le monde vivait à son rythme. Un rythme reprit depuis 5 ans.
C'était fou de se dire que cela faisait déjà 5 longues années que la moitié du monde avait disparu en cendres. Le monde avait avancé mais jamais oublié cet événement. Des dizaines de monuments aux morts ont été construit dans le monde entier. De grandes stèles gris avec des centaines de noms gravés en eux.
Aujourd'hui, New York était toujours aussi vivant que d'habitude. Les routes et les rues étaient grouillés d'individus conversant ou s'ignorant les uns les autres. L'économie de la bourse s'était enfin stabilisé après cinq ans d'incertitude et les investisseurs étaient plus confiants. La vie était redevenu ausis normal que ça pouvait l'être quand la Terre avait la moitié de ses habitants et l'autre moitié disparu.
Il n'y avait aucun avertissement, ni présage que quelque chose allait changer comme la dernière fois. Et puis tout d'un coup, les personnes qui ont disparu se mirent à réapparaître. Les morts s'il y a 5 ans revenaient à la vie et se fut la panique et l'incompréhension total.
Quand tout est arrivée, Matt était au travail derrière son bureau à répondre à des appels, relier des dossiers et faire des négociations. Il sentit tout se brouiller d'un coup. Son ouïe fut submergé par des nouveaux bruits, trop de bruts à la fois.
Des battements de cœur, de respirations, des klaxons de voiture.
Plaquant ses mains contre ses oreilles, un gémissement de douleur s'échappe de lui. Il se tord sur sa chaise respirant rapidement. Il ferme les yeux serrant la mâchoire. Tout était de trop. Pourquoi y avait-il étant de bruits ?
Alors qu'il essaie de reprendre le control de ses sens, il sent une main se poser sur son épaule.
—Matt, c'est moi. Qu'est-ce qui t'arrive ? entend-t-il la voix d'un collègue qui semblait inquiet pour lui.
—Tout. Il y a trop de bruits. Qu'est-ce qui se passe ? gémit Matt trouvant difficile de relever la tête.
—Ils sont tous revenus.
—Quoi ? Qui ? demande-t-il, confus. De quoi parlait-il a la fois ? Il était complètement perdu.
—Les gens. Les disparus, ils sont tous revenus.
Cette déclaration provoque un choc chez Matt. Il sent son cœur manquer un battement.
Ils étaient tous revenus, pour de vrai ? Tous les battements de cœur qui avaient disparu étaient revenus. Le monde était devenu aussi bruyant qu'il l'était il y a 5 ans.
Foggy.
Karen.
Immédiatement, son esprit se tourne vers eux. Étaient-ils eux aussi revenus ?
Mais il fut rapidement forcé de penser à autre chose car tous les téléphones se mirent à sonner en même temps.
Le travail ne pouvait plus attendre.
C'était l'effervescence partout. Les téléphones n'arrêtaient pas de sonner et les demandes et questions virvoltaient de partout.
C'était un stunamie d'affaires légales à devoir gérer. Des personnes morts revenus à la vie qui découvrent leurs maisons vendus, leurs propriétés et héritages perdus. Personne ne comprenait comment tout le monde était revenu mais maintenant, ils devaient gérer des milliers de gens qui avaient tout perdu et étaient déclarés morts depuis 5 ans.
Les bureaux étaient en mouvement. Le département des affaires légales étaient surchargés, aucune pose était autorisé jusqu'à ce que la situation soit enfin compris.
Matt passe une main contre son visage en soupirant. Son téléphone pesonnel longuement abandonné, il discutait avec quelqu'un qui venait de perdre sa maison et se disputait avec le nouveau propriétaire.
—Murdock, on a un problème s'écrit un collègue à un bureau de lui. Les assurances ne savent pas s'il faut rembourser les personnes mortes mais qui sont plus mortes !
—Bien sûr qu'elles ne savent pas. Depuis quand les morts reviennent à la vie ? Matt prend le dossier déposant son téléphone contre le bureau quand le client lui raccroche au nez. Fais-moi un mémo sur les décès du Blip, je vais essayer de voir si je peux en tirer quelque chose.
Deux avocats passent en coup de vent devant son bureau.
—Les successions ! Certaines entreprises appartiennent maintenant à des héritiers qui ne sont pas les héritiers légitimes, s'apitoie un avocat en avalant son café d'une traite.
—Sans parler des anciens employés qui veulent reprendre leurs emploies initiales mais leurd remplaçants refusent de perdre leur place, continue son collègue faisant serrer la mâchoire à Matt.
—Y a-t-il un seul service qui fonctionne correctement ? questionne Matt en passant sa main dans ses cheveux.
—Les maternelles ? dit quelqu'un pas loin de lui. Y a toujours besoin d'instituteurs en maternelle.
C'était vrai. Même avec les habitants revenant des morts, les instituteurs seront enfin moins en manque qu'aujourd'hui.
Un soulagement allège les épaules de Matt. Au moins, Jake ne sera pas ennuyé par tout ce qui arrivait. Son fils était en sécurité et complètement aveugle de la tempête qui traversait le monde.
—Murdock, j'ai besoin de ton assistance ! cri quelqu'un à l'autre bout du bureau qui était clairement au bout.
—J'arrive.
Les prochaines heures furent chaotiques et fatiguantes. Matt n'avait pas eu une minute de répit, impossible de répondre à un seul appel qu'il recevait. Il savait que c'était Foggy et Karen qui essayaient de l'appeler mais il était trop pris par le travail pour même envoyer un message.
Mais alors que les choses semblaient enfin de calmer, une nouvelle est communiqué.
Tony Stark vient d'arriver d'urgence au département de soin avec de graves blessures.
Leur patron était entre la vie et la mort.
Comme si le chaos présent n'était pas suffisant, il empire après cette nouvelle.
Bon sang, Jake lui manquait terriblement.
Matt avait perdu la notion du temps. Il enchaînait dossier sur dossier, prenant juste quelques secondes pour lui pour prendre une gorgée de son café froid. Personne n'avait encore de nouvelles sur l'état de leur patron à part que les blessures étaient inimaginables mais pas impossibles à soignés. Il fallait juste être très minutieux.
C'était Pepper qui était a la tête de tout. A peine revenu, même si chamboulé par l'état de son mari, elle avait donné des ordres stricts à tout le monde et était entrain de s'occuper des emploies de Stark Industries morts puis revenus à la vie.
—Hé, Murdock. Matt tourne la tête vers sa gauche en arquant un sourcil. Je crois que la maternelle de ton gosse t'appelle.
A ceci, Matt répond sans attendre à son téléphone. La voix rassurante de Melissa arrive à ses oreilles une fois avoir mit son téléphone contre son oreille.
—M.Murdock ? Mes excuses de vous déranger lors de vos heures de travail mais je suis forcé de vous prévenir que Jake à eu une petit altercation avec un camarade.
—Que s'est-il passé ?
—Jake a essayé de défendre Nathan d'un camarade qui l'embêtait et ils sont tombés dans bac à sable, ensemble, explique Melissa, calmement.
Matt se pince le nez en soupirant.
—Est-ce qu'il va bien ?
—A part une fierté légèrement meurtrie et un pull couvert de sable, il va bien.
—Très bien, j'arrive. Matt se lève attirant l'attention d'un collègue.
—Tu pars ?
—Oui, mon fils a essayé de jouer au justicier à la maternelle.
Il quitte le bureau en effervescent sans regret. II avait assez eu de chaos pour aujourd'hui. Là, Jake importait plus.
Une fois installé dans un taxi en route vers Hell's Kitchen, il vérifie les appels et messages manqués.
7 appels manqués de Foggy.
5 appels manqués de Karen.
Une dizaine de messages chacun manqués. Tout ça en quelques heures.
Matt sent sa respiration se couper. C'était comme si ses rêves venaient d'être réalisé. Les deux personnes les plus importantes de sa vie qui sont morts étaient revenus.
Il y a 5 ans, Matt aurait rappelé immédiatement et se serait précipité pour les voir.
Mais le Matt d'aujourd'hui avait une personne qui lui importait plus et qui voulait dire le monde pour lui. Jake l'attendait a l'école pour être récupéré. Il ne pouvait pas se permettre de le faire attendre.
Il n'envoie alors qu'un message.
Je vous rappelle une fois que je serais libre. C'est bon de vous savoir de retour.
C'était Melissa qui l'accueille à la maternelle. Elle soupire de soulagement en le voyant arriver.
—Merci, vous êtes là.
Matt arque un sourcil, un sourire en coin des lèvres taquin.
—Vous doutiez de ma présence ?
—Aujourd'hui est une journée folle et miraculeuse. Ceux que nous avons perdu viennent de nous revenir et j'en suis complètement perdu.
C'était compréhensif. Lui-même avait encore du mal à réaliser l'ampleur de ce qui venait d'arriver.
Matt incline la tête sur le côté repérant le battement de cœur familier de son fils. Il pouvait sentir le petit garçon frustré mogréant sous sa barbe inexistante.
Un ricanement s'échappe de lui. Il passe l'entrée de la cours, le bout de sa cane tapotant le sol vérifiant ses alentours.
Jake relève la tête à ce son familier et toute frustration disparaît à la vue de la silhouette de son père. Il se lève précipitamment de sa chaise et court vers son père.
Matt s'accroupit ouvrant les bras poir accueillir son fils. Il serre son fils contre lui, enfonçant son nez dans sa chevelure flamboyante. L'odeur de fruit rouge et de miel venant de Jake appaisa instantanément les muscles de son père.
Jake a toujours eu cet effet-là. Un calmant dans un monde d'ouragans et de souffrance.
—J'ai entendu dire que tu t'es battu ? dit-il quand Jake se détache légèrement de lui.
—Il l'a cherché ! Il embêtait Nathan, se défend le petit garçon en gouflant des joues. Si Matt avait sa vue, il était certain qu'il tomberait dans le panneau et fondrait sur place.
—Je te crois, Jake. Mais dois-je te rappeler que la violence ne résout pas tout. La prochaine fois, va voir un instituteur.
Jake fronce légèrement des sourcils contrarié mais son visage s'adoucit rapidement et il hoche vivement la tête.
—Je le ferai, dit-il sans dispute. Après tout, son père avait souvent raison. Excepté quand c'était l'heure du couché. 18h était trop tôt pour dormir. Jake était toujours prêt à se disputer sur l'heure du couché. Il était très têtu, comme son père.
—Prêt à rentrer à la maison ?
—Oui, papa. Puis-je juste dire au-revoir à Nathan ?
—D'accord mais vite. Il y a beaucoup de bouchons aujourd'hui.
Le retour a la maison était étrangement calme. Jake s'était assoupi contre lui, sa tête posé sur sa poitrine, marmonnant des mots incompréhensibles du à sa fatigue. Matt entremelait ses mèches rousses dans ses doigts écoutant les bruits de la ville maintenant bien plus bruyante que ce matin.
Matt glisse ses doigts vers la nuque de son fils, la tapotant doucement pour le réveiller remarquant qu'ils étaient bientôt arrivé à la maison.
—Papa ? Jake se frotte les yeux, parlant avec une petite voix.
—On est arrivé, bonhomme, déclare Matt pile au moment où le taxi s'arrête.
Jake baille fortement étirant ses bras et lâchant un gémissement.
—Toi, tu vas faire une sieste en rentrant.
A ces mots, Jake lance un regard vif à son père.
—Non. Je suis pas fatigué.
—Mhm. Tu sais que c'est mal de mentir à un aveugle.
—Je ne mens pas ! insiste Jake en gigotant sur lui-même, se sentant insulté.
Matt rit secouant la tête. Il attrape le corps de Jake dans ses bras le portant contre lui. Il remercie le conducteur puis prend la direction de son immeuble. Un bras soutenait Jake tandis que l'autre maintenant sa cane.
—Je ne mens pas, papa. Le petit était toujours bloqué sur le fait d'avoir été traité de menteur.
Matt s'arrête au pas de l'entrée de l'immeuble, sa tête se relevant de manière imperceptible.
—Mmm. Ressert sa prise sur son fils qui somnolait dans ses bras. Ok, temps de rentrer.
Il grimpe les escaliers avec prudence ne voulant pas faire un faux pas et finir par blesser Jake en tombant.
Ils arrivent au niveau de l'appartement, Matt insert sa clé et avec un mouvement de poignet la porte était débloqué. Il fait attention à ne pas réveiller Jake en fermant la porte lentement. Il pénètre dans la chambre de Jake et le dépose délicatement dans son lit douillet. Matt lui embrasse le front en bordant correctement.
Les bras croisés et le dos contre le mur de la cage d'escaliers, il fixait Hell's Kitchen depuis le toit de l'immeuble. La ville était déjà plus chaotique que ce matin. Le mode entier l'était. Ce qui était attendu.
Quand des milliards d'habitants reviennent à la vie, ça ne passe pas inaperçu.
Le bruit de la porte de la cage d'escalier s'ouvrant le sort de ses pensées. Un sourire en coin apparait sur ses lèvres à la vue de l'homme.
—Red.
Matt tourne la tête vers lui, malgré son manque de vue, il savait exactement où il se trouvait.
—Frank. Pourquoi es-tu ici ? Sur mon toit ?
Frank Castle alias le Punisher se tenait debout sur le toit de Matt, habillé comme à son habitude de ses chaussures militaires, ses armes chargés sous ses vêtements. Mais aucun crâne.
Pour l'instant.
—La moitié de la Terre est revenu, Red. Pourquoi pense-tu que je suis ici ?
Matt serre la mâchoire.
—Je n'ai pas besoin du Punisher.
Frank lâche un rire amer.
—Tu pense vraiment me faire croire ça, Red ? Je me souviens qu'il y a cinq ans, tu m'as pratiquement supplié de t'aider a gérer tout ce bordel.
—J'étais désespéré, réplique Matt. C'était vrai qu'il y a cinq ans il s'est tourné vers Frank. Une des seules connaissances toujours vivantes après le Blip.
Hell's Kitchen était chaotique avec le Caïd qui en profitait pour essayer de prendre le contrôler de la ville. Il avait détesté demander l'aide de Frank mais il en était obligé.
Pour la sécurité de sa ville.
Pour la sécurité de son fils.
—Tu pense que juste car tes petits amis les Defenders sont de retour que tu pourras te passer de moi ? Tu sais aussi bien que moi que c'est faux. Les gangs qui ont disparu vont refaire surface dans quelques jours et tu en ais conscient.
Les mots de Frank étaietn durs et secs frappant Matt en pleine face.
—Bordel Red, je ne fais pas ça pour t'emmerder, OK ? Je fais ça car tu ne peux pas redevenir l'ancien toi avant le Blip. Tu as Jake, le gamin à besoin d'un père présent qui ne sort pas toutes les nuits pour battre le mal et finir blessé. Tu te souviens comment je t'ai trouvé ? Tu étais à moitié mort de fatigue avec un gosse de 4 mois qui pleuré car il avait besoin de toi. Ne lui fait pas ça. Ne soit pas un père merdique.
Les poings serrés, Matt se tenait figé et silencieux. Il n'aimait pas l'admettre mais tout ce que disait Frank était vrai.
Il ne pouvait pas reprendre son ancien rythme, sortir tous les soirs pendant des heures en Daredevil et revenir blessé constamment. Ça inquiéterait son fils qui était déjà trop observateur pour son âge.
Et comme la dit Frank, il ne voulait pas être un père merdique. Il voulait être un bon père qui rendrait son fils fier comme son propre père à essayé de faire avant de mourir.
Il se souvenait quand Frank lui avait sauvé la vie. Il avait à peine dormir depuis trois jours avec Jake ne faisant que pleurer. Ça avait été un simple moment d'inattention qui a permis à un criminel de le poignarder dans le ventre à plusieurs reprises. Frank l'a trouvé et l'a soigné.
Si Frank n'avait pas été là, il serait mort laissant son fils orphelin. Matt ne s'en ait jamais vraiment pardonné. Il avait failli abandonné son fils pour toujours. C'était pour ça qu'il avait demandé l'aide du Punisher. Il savait qu'il ne pouvait pas le faire seul.
—Juste...s'il te plaît Frank, ne tue pas. C'était la seule chose qu'il arrivait à dire. Il se sentait déjà fatigué à la simple pensée de se disputer avec Frank.
—Ouais, ouais, on verra. Je peux pas promettre que quelques cadavres jongeront le sol de Hell's Kitchen.
Frank n'était pas du genre à faire des promesses mais il pouvait au moins essayer. Pas pour Matt. Il s'en foutait de se faire engueuler par le Murdock. Mais pour Jake.
Depuis qu'il a rencontré le gamin, il s'était adoucie—il n'hésiterait pas à tuer Matt s'il osait dire à quique soit ça. Il a toujours eu un faible pour les enfants. Ils lui rappelaient les siens.
Et puis, il voulait être un bon oncle—Non Murdock, il ne voulait pas de son foutu sourire narquois et moqueur. Oui, le grand Punisher aussi terrifiant qu'il soit adorait le petit Murdock.
Il n'était pas aussi agaçant que son père–malgré les caractéristiques clairement similaire à Matt que Jake avait hérité.
Comme si Matt pouvait lire dans ses pensées, il propose:
—Tu veux voir Jake ? Il dort comme une loutre.
Frank souffle du nez amusé, un sourcil haussé. C'était tentant. Jake était le plus adorable des enfants qu'il n'a jamais vu avec évidemment Lisa et Franky a côté.
—Je me demande ce que tes amis diront quand ils apprendront que tu as laissé le Punisher baby-sitter ton fils.
—J'ai demandé à Frank Castle, pas au Punisher. Il y a une dinstinction, rétorque Matt et il n'avait pas tord. Frank Castle était différent du Punisher. Frank Castle était un père et un mari qui a perdu sa famille tandis que le Punisher était la personnification de sa rage et de sa douleur, un monstre aux mains couvertes de sang.
—Est-ce un oui ou un non alors ?
Frank tourne les talons ouvrant la porte de la cage d'escaliers, il lance un regard vers Matt qui suivait ses mouvements.
—Qu'est-ce que tu atteins ? Y a un gosse de 5 ans seul chez lui, on ne t'a jamais appris de ne jamais laisser un enfant seul ?
Matt esquisse un sourire.
—Si. Je me rappelle d'un certain Castle qui m'a fait la morale pendant trois longues heures sur les règles de sécurité pour un enfant.
—Et il n'hésitera pas à le refaire si tu ose les oublier.
Les deux hommes descendent les escaliers, la porte claquant derrière eux.
Si on avait dit à Matt qu'un jour il discuterait au sujet d'enfants, de son propre enfant. Il n'y aurait jamais cru.
Mais le voilà avec Frank dans son appartement, le plus âgé vérifiant toutes les demi-heures Jake s'assurant qu'il dormait bien et était donc en sécurité.
Ironique quand on pense que l'homme qui lui a tiré une balle dans la tête veille maintenant sur son fils comme une mère poule. Très ironique—Ni Foggy ou Karen n'y croiront, c'est certain.