Enquête et Porcelets
Chapitre 8 : Enquêtes et Porcelets
Jour 152
Le jeune sorcier était sur la terrasse de sa maison ancienne tout en lisant un Scherlock Holmes, l’avantage de lire des romans policiers lorsque l’on vivait seul on n’avait pas à s’inquiéter d’un voisin jaloux un d’un accident suspect de chasse. Les tâches de la ferme avaient été rapide juste une tournée pour nourrir tous les animaux, le ruisseau remplissait tous les abreuvoirs.
Il n’avait pas eu d’autres tâches à faire aucun de ses animaux n’étaient prêt pour l’abattoir et les truies étaient presque prête à mettre bas. La chaleur presque estivale qui l’accompagnait depuis pratiquement 5 mois lui confirmait que les saisons de cette planète étaient différentes que la sienne. Il espérait juste que ses réserves et sa magie seraient suffisants quand l’hiver ou une saison moins clémente sera là.
La lecture était devenue un nouveau passe-temps pour le sorcier comme il ne pouvait se permettre de quitter son foyer avec les œufs en plein incubation. Il était tombé sur cette série sur la table de chevet dans la chambre de Régulus, qui avait été occupé par Hermione lors de ses études d’avocates à Londres. Il se souvenait lorsque sa meilleure amie était dans sa période roman policier :
« Harry tu devrais lire les romans de Conan Doyle, ils sont incroyable le regard de Watson sur Sherlock et tous ces personnages si complexe et prévisible une fois que l’œil de Sherlock les analyse. Il faut que tu les lises. »
A l’époque il l’avait écouté d’une oreille et il regrettait aujourd’hui de ne pas pouvoir échanger avec son ami sur ses hypothèses et les différents moments forts qu’il avait apprécié.
Une alarme sonna dans la clairière, Harry se leva tout en marquant la page de son roman avant de laisser le livre sur une petite table. Le bruit indiquait qu’il fallait ajouter du bois dans le four pour les œufs, il lui restait quelques heures avant que le feu ne soit pas assez fort pour maintenir les bonnes conditions d’incubations. Il prit les 10 buches qu’il avait laissé en avance à côté du four et les ajouta rapidement aux flammes. Il jeta un œil aux deux œufs et dans les flammes ardentes, il arrivait à les différencier que par leur gabarit, leur couleur or et noir étaient caché par des couches de suies et de braises.
Une fois terminé, il inspira une grande bouffé d’air et regrettait l’absence de brise dans le cratère de Valyria.
« Une journée de plus vers un chaos assuré avec deux dragonneaux. Je devrais peut-être commencer à faire une maquette du réseau souterrain, comme je suis bloqué ici de toute façon et il y a une grande table dans la bibliothèque qui pourrait servir. »
En retournant dans le manoir, Harry regarda son miroir pour la centième fois en se demandant qui pouvait bien être l’enfant qui arrivait à lui parler par magie accidentelle.
« Plutôt que faire une maquette que me servira à rien je devrais essayer d’explorer le monde par-delà les volcans. »
Harry grimaça.
« Je vais devoir utiliser une branche de divination, cette maudite femme ne me laissera donc jamais en paix. »
Maugréant, il alla chercher les livres de sortilèges expliquant comment réaliser des projections astrales. Cette pratique était rependue chez les sorciers durant leurs années de fuite le corps se repose mais l’esprit protège et peut surveiller les alentours, mais elle avait perdu en popularité une fois que le monde avait été cartographié et des lieux sûrs avaient été créé aux quatre coins du monde. Lorsque l’on connaissait son environnement il était possible de voyager à des vitesses importantes mais acquérir ce genre de savoir lui prendrait beaucoup de temps.
Il commença par lire les ouvrages qui lui étaient à disposition.
Jour 163
Harry inspectait ses cochons quand il remarqua que l’une d’entre elle était couché sur le flan, c’était un des signes expliqués dans ses guides qui indiquaient qu’elle allait mettre bas.
Les heures suivantes furent éreintantes pour le sorcier car la nature avait fait qu’il n’avait pas isolé ses truies de ses verrats et elles avaient dût quasi toute être fécondé dans le même laps de temps. Il assista à la mise-bas de 14 de ses 20 truies et en tout 197 porcelets qui étaient maintenant nourris par leurs mères qui devrait bientôt avoir besoin d’une autre source de nourriture. Il érigeât des petits enclos pour chaque truie ayant mise bas pour leur permettre d’être au calme avec leur porté, et en profita pour rajouter une couche de protection pour éviter que ses deux porcs reproducteurs Gaston et Jafar ne s’échappent et avec des petits porcelets sans défense il voulait éviter tout risque.
Il était déjà pratiquement 21 heures quand il se posa enfin sur la chaise de sa cuisine et il put prendre une grande tasse de thé tout en attendant que son dîner cuise lentement. Il sortit son journal et nota que pour les prochains portés il allait décaler les mise-bas le plus possible, dès qu’il fermait les yeux il entendait les hurlements des truies et des porcelets lui donnant une migraine affreuse. Il mangea dans un état second avant l’aller se coucher en faisant ses ablutions du soir avec un simple coup de baguette.
Harry était allongé dans son lit et hésitait à commencer sa journée car il sentait que le moindre mouvement allait le faire souffrir.
« Ça m’apprendra à ne pas refaire des potions anti-douleur de grade 1»
Il était toujours en train d’essayer de trouver le courage de bouger quand l’alarme des œufs résonna, ce qui lui donna la motivation nécessaire pour sortir du confort de son lit. Il éteignit l’alarme avant de suivre sa routine matinale, et une fois qu’il eut finit de mettre les buches dans le foyer et de refaire une réserver pour la prochaine alarme il se tourna vers l’enclos des porcs.
Une fois qu’il fut collé à la barrière de l’enclos, il sortit sa baguette et d’un murmure jeta.
« Accio porcelets morts. »
Et sans surprise une quinzaine de petits porcelets voltaire jusqu’à lui, ils étaient probablement morts durant la nuit comme il avait pris le temps de vérifier que tous les porcelets étaient vivants avant d’aller se coucher. Il les mit tous dans un sac et les fit disparaitre dans son « garde-manger pour bébé dragons », ensuite il fit son inspection des truies pour vérifier si tout se passaient bien et si elles avaient assez à manger. Satisfait de ses aménagements pour ses animaux il retourna faire les plans sur comment il allait pouvoir gérer autant d’animaux en même temps.
Note de l’auteur : Je n’ai pas encore d’idée de nom pour les 2 dragonneaux si jamais vous en avez hésité pas à les mettre dans les commentaires.